Anne

J’aimais particulièrement le soir, dans mon lit me caresser comme j’aime en prenant
mon temps : J’ai les jambes écartées, mes deux mains entre mes cuisses, ma main droite
sur mon clitoris avec deux doigts qui se consacrent à me plaisir. A 17 ans presque
finis, je me transforme en Messaline. Il m’arrive une foule d’aventure avec des
hommes bien membrés. En guise d’hommes, seuls mes doigts servent de bite. Je vais
jusqu’à en mettre deux dans mon anus.
Le lendemain de mes 18 ans, Anne, ma copine m’invite pour l’Ascension : ces parents
partent en amoureux pour ce week end prolongé. Ils sont d’accord pour que j’aille
passer ces trois jours avec leur fille. Les mien aussi. Je saute sur l’occasion : nous
allons passer du bon temps en nous gavant de sucrerie, de télé et de sommeil.
Il est tout juste 15 heures quand j’arrive chez Anne. Après les baisers naturels, je
vais poser mes quelques affaires dans la chambre où je suis toujours accueillie. Anna
passe dans la sienne pour prendre un coussin pour mieux regarder la télé.
Désespoir : comme souvent les programmes sont nuls malgré la multiplication des
chaines.
- Tu sais, derrière le poste il y a deux DVD pornos. Tu veux les voir ?
- Bien sur je n’en ai jamais vu.
Anne se lève chercher derrières les autres puis sortir deux pochettes de DVD avec des
couvertures explicités :
- Mes parents les regardent des fois.
Les premières images sont décevantes, mis à part deux couples nues qui discutent de la
suite de leur relation rien ne se passe. Mais enfin un début d’animation. Les deux
couples s’embrassent longuement pour commencer à déshabiller les deux filles. Nous les
voyons caresser les filles qui se mettent sur les genoux. Les mains masculines passent
entre les jambes pour chercher les sexes qu’elles commencent à masturber. Puis les
bites viennent participer à la fête.


Tant Anne que moi, nous savons bien ce qu’est un sexe d’homme puisque nous nous
laissons aller souvent à des parties de touche pipi : nous savons branler les copains.
Plus tard enfin la situation devient plus explicite : des des « actrices » se
déshabillent pour profiter l’une de l’autre.
Elles m’excitent pas mal, je passe ma main sous ma jupe pour aller me caresser sans
qu’Anne ne s’en aperçoive. Mais voilà, placée comme je suis, je remarque que la main
d’Anne est aussi sous sa robe.
- C’est excitant de voir les deux filles ensemble ?
- Oui, j’ai envie de ma branler.
- C’est-ce que je fais.
L’excitation nous gagne tellement que sans nous le dire, nous sommes nues presque
ensemble. C’est notre première fois d’abord de voir l’autre nue et ensuite de nous
branler sans complexe devant l’autre. Je crois que je gémis, en tout cas Anne gémit
pas mal. Si je ralentis ma masturbation pour avoir du plaisir plus longtemps, Anne se
laisse aller vite vers le plaisir : elle penche sa tête en arrière en poussant un long
soupir. Je me laisse aussi aller à l’orgasme.
Nous nous regardons en souriant :
- C’était bon, non ?
- Oui, sur tout le faire devant toi. C’est bizarre de se branler ensemble.
- Je pense même que si on le faisait à deux, se serait encore meilleur.
- Tu crois ?
Je ne crois rien je pose ma main gauche sa cuisse en la caressant. Anne regarde la
main sans rien dire. Je me hasarde sur son pubis en caressant ses poils blonds. Elle
ouvre ses jambes dans l’attente de la suite sans doute. Je trouve ses lèvres gonflées
et son petit clitoris. Je le caresse bien avant qu’à son tour, elle me mette une main
sur mon sexe. Elle aussi sait où aller. Nous branlons l’autre pour lui faire plaisir,
moi pour me faire plaisir.
Les cuisses d’Anne se serrent m’empêchant de continuer : je la sens jouir.
Heureusement pour moi, elle continue la masturbation sur moi.
Je jouis quelques
secondes plus tard d’un long orgasme.
Par prudence nous cessons pur aller réviser un peu. Nous mangeons rapidement pour
recommencer à nous branler. Cette fois nous sommes dans la chambre des parents d’Anne.
Nous sommes à nouveau nues, quand elle se souvient des possessions de sa mère qu’elle
va chercher. Elle revient avec deux godes :
- Je sais qu’elle s’en sert souvent, ils en parlent souvent à mots couverts avec mon
père qui aime la voir faire devant lui.
- Tu crois qu’elle s’en sert seule.
- Je n’en sais rien sans doute, je serais à sa place c’Est-ce que je ferais.
- Tu me dépucèlerais ?
- Si tu veux.
Elle m’embrasse sur la bouche, commence à me caresser les seins, le ventre. Pour que
mon excitation soit au maximum elle m’enjambe. Pour cette première fois elle va me
sucer le sexe. J’ai le sien juste à coté de ma bouche. J’arrive à poser ma langue sur
toute sa fente avant qu’elle me le fasse. J’éprouve à la fois deux nouveaux plaisir,
le premier avec le gout de sa cyprine et le deuxième avec la douceur de sa chatte. Je
sens quand sa langue lèche mes endroits sensibles.
Elle prend le gode, le pose juste devant le vagin que j’ouvre au maximum.
Lentement elle le rentre sans que je sente quoi que ce soit : ce n’est pas désagréable
simplement. Je sens une piqure quand elle brise mon hymen. Je sens mes chairs
s’écarter, je sens le gode ouvrir mon vagin. Je n’ai pas mal comme disent certaines
copines, au contraire je sens un autre plaisir plus fort qua la masturbation envahir
mon bas ventre, ma tête, mon cul, mes jambes et bien sur mon con. Je jouis comme
jamais.
Anne regardait le gode faire son office.
- Merci de m’avoir faite jouir comme ça.
- C’est normal, tu me l’as demandé.
- Je vais t’en faire autant.
- J’ai peur, je ne préfère pas.
- Tu veux que je te branle ?
- Je préfère.

Nous dormons encore la nuit entière, au réveil je sens quelque chose entre mes jambes.
Anne cherche à peine mon clitoris. Sa bouche est à nouveau sur mon sexe. En guise de
réveil on fait pire. Cette fois c’est moi qui l’enjambe. C’est bon sa bouche sur le
clitoris ; comme je pense que la mienne sur le sien.
- Pourquoi tu n’as pas voulu que je te baise ?
- J’ai peur de me faire mettre.
Depuis ma vie sexuelle a pris une forme bizarre ; j’aime autant les filles que les
garçons ce qui pour moi est un gros avantage.

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