Bernadette
Ma dernière vue sur elle : ses cuisses. Elle court pour faire du sport, sans se douter
que je la regarde avec envie. Chaque fin daprès midi, elle court. Je la regarde venir
vers ma fenêtre. Jai pu voir ses seins qui gigotent au rythme de ses pas. Décidément
elle est bien foutue. Jai envie delle, même si elle ne sen doute pas, à moins que
je lui fasse des propositions malhonnêtes, au risque recevoir une tourniole sur la
figure et quelle aille partout colporter les choses sur moi ?
Daccord je suis mariée, jaime me faire mettre par mon époux. Avant lui je nétais
pas mal avec ma copine. Je suis ce quon nomme une bisexuelle. Pourtant depuis mon
mariage, je nai plus touché une fille. Ca me manque, le gout de la cyprine et le
toucher dun con sur ma langue. Jen ai parlé à Paul, mon mari. Il me comprend sans
tien faire pour moi. Cest à moi de me débrouiller seule.
Jai eu un flirt assez poussé avec une voisine. Je pensais me la payer quand elle
refuser de se donner à moi. Depuis mon envie dune autre nana me taraude. Je suis
obligée de me contenter seule. Je nai rien contre la masturbation. Même Paul de
demande souvent de me branler devant lui. Jaime le voir avec sa bite dans sa main
droite se masturber. Jadore voir son sperme jaillir en gros bouillon sur le bout de
son gland. Il sait que je pense à elle, celle qui fait du « sport ». Jaimerai faire
avec elle un autre genre de sport.
Je décide de méquiper pour la suivre. Mes débuts sont laborieux, très laborieux. Je
sors de chez moi un peu avant elle : elle me double facilement. Je vois ses fesses
devant moi un long moment. Elle me dit bonjour quand elle me double. Cest déjà un bon
début.
Je la rencontre dans lépicerie du village. Nous commençons par bavarder du cout de la
vie, de recettes de cuisine, puis de nos maris.
mon défaut daimer les filles, elle nen est pas étonnée. Elle le pensait depuis le
début. Elle nen fait pas un drame. De nos jours cest relativement courant. Malgré ce
handicap elle minvite prendre un café, après le repas de midi. Mon Paul nest jamais
là à ce moment de la journée, comme son type.
Jarrive à lheure : elle mouvre la porte me fait la bise, comme peuvent le faire
deus amies.
- Nous nous tutoyons, dit-elle.
- Bien sur.
- Je mappelle Bernadette. Et toi ?
- Aline.
Bien nous allons nous assoir dans le salon prendre le café. Elle minstalle sur un
fauteuil, sassoit en face. Et nous voilà parties dans de longues discutions sur rien.
Ce rien lemmène à découvrir une partie de ses longues jambes. Ce que je vois me
parait bien plus sexy que ce que je voyais en courant après elle.
Son regard suit le mien. Elle ne fait rien pour descendre un peu sa jupe. En remuant,
elle arrive à men montrer encore plus. Enfin elle se lève pour le café. Les tasses
sont remplies comme je les aime. Je trempe à peine mes lèvres : je déguste larome
avant de le gouter. Un vrai délice.
Nous buvons notre breuvage sans rien dire. Jen ai oublié ses jambes qui ne sont pas
cachées. Je nose pas aller lui caresser ce que que je vois. Je fais celle qui ne le
sait pas en montrant moi aussi une grande partie de mes cuisses. Jen fais même plus
en écartant les jambes. Cette fois elle regarde comme moi.
- Tu as de belles jambes.
- Toi aussi.
- Je peux en montrer plus.
- Je veux bien.
Elle monte sa jupe encore plus presque à la limite de lindécence. Elle se lève pour
sapprocher de moi. Elle se met entre mes jambes écartées. Elle devait bien sattendre
à la suite. Elle me tente elle y réussit. Je passe mes deux mains derrière elle pour
prendre ses jambes.
ma bouche. Je caresse lentement sa peau. Malgré moi je mordille sa chatte à travers
ses vêtements. Elle ne se dérobe pas ;
- Je suis curieuse de savoir comment tu fais.
Elle se donne à moi, sans le dire. Jarrive à faire descendre sa culotte avec mes
mains. Je la fais descendre tout en bas : elle sen débarrasse avec les pieds. Je sens
lodeur de son sexe. Il me semble quelle a lodeur dune rose le matin.
Ma tête passe sous sa jupe pour chercher ses trésors. Ce nest plus la rose, cest
lodeur dun sexe de femme excitée. Ma langue cherche aussitôt son clitoris. Là je
trouve son gout de cyprine bien mure. Jai passé ma langue entre ses grandes lèvres,
cherché les petites avant daller un peu plus haut pour trouver son petit bouton qui
grossi entre mes lèvres. Ses jambes bien écartées elle se donne à moi. Mes mains sont
sur ses fesses. Je la maintiens un instant ainsi avant de faire passer un seul doigt
dans la raie. Je sens bien la rotondité des fesses en enfin le petit trou.
Je sens quelle mouille de plus en plus. Je continue mon cunnilingus avec succès et
bonheur pour moi. Son jus coule dans ma bouche. Je men régale, depuis le temps. Mon
doigt cherche toujours lentrée de cul. Quand il est pile dessus, la pulpe du doigt
ouvre sans problème lentrée. Elle pousse un long soupir quand le doigt la pénètre. Je
le fais coulisser longuement, lentement, dans lanus.
Elle se tient à ma tête. Elle y appuie dessus. Je ne comprends pas exactement ce
quelle veut. Jaspire son clitoris, jentre un autre doigt. Je la sens au bout du
rouleau, elle va jouir bientôt. Jattendais quelle jouisse, pas à ce point. Je reçois
un flot de cyprine que je nattendais pas : cest une femme fontaine. Il me semble
quelle me donne des litres de liquide. Je bois tout ce qui sort de son ventre.
Enfin elle cesse :
- Tu mas bien fait jouir. Je vais te branler.
- Pourquoi pas si tu sais le faire.
Elle me fait lever, me déshabille complètement. Elle se colle à moi, membrasse sur la
bouche, passe une main entre mes jambes à la recherche de mes trésors pas si cachés
que ça. Après mavoir assise, elle me laisse les jambes ouvertes sur ma chatte. Elle
peut me faire ce quelle veut, je suis daccord. Elle entre deux doigts de la main
droite, les fait aller et venir avant de poser le pouce sur le bouton. Il y a
tellement de temps quune fille ne ma pas fait ça que je ne tiens pas longtemps. Je
jouis deux ou trois fois dans sa main.
- Suces moi la moule
Je nai pas besoin de répéter. Elle pose ses lèvres sur mon con. Pas possible, elle a
déjà du le faire à une autre. Elle fait linnocente. Elle baisé une autre femme. Je la
laisse faire me donner du plaisir. Jai passé mes jambes sur ses épaules. Tout mon
sexe est à sa disposition.
Jai posé ma tête sur le fauteuil : Je me sens bien mieux ainsi pour jouir. Je sens sa
bouche avaler le bout de chair avant quelle me mette deux doigts dans le cul. Je ne
sais plus comment me tenir tellement elle me donne du plaisir. Elle sent que je jouis
plusieurs fois.
- Jouis encore, tu veux que je te mette un gode ?
- Même deux à la fois.
Elle me laisse tomber un court instant que je mets à profit pour me masturber.
Jarrive à jouir seule rapidement. Elle revient avec deux godes particuliers, les deux
même. Ils sont pliables pour pouvoir se baiser et senculer à la fois.
Bernadette veut me faire jouir à sa façon. Elle me baise avec le bout le plus large.
Quand elle ma bien pénétrée, je sens quelle entre lautre bout sans le cul. Cest la
première fois que je suis prise par les deux trous à la fois. Je ne mattendais pas à
un tel déferlement de sensations double ou triple, je ne sais plus.
cest que je cris ma jouissance longuement.
Heureusement quil ny a pas de voisin.
Bernadette aussi je baise seule ? Elle sencule aussi seule. ? Sa jouissance est moins
profonde que la mienne :
- Je me le fais souvent.
- On recommence demain ?
- Tu es une vraie garce de lesbienne. Toi aussi.
- Tu vas le raconter à ton amant.
- Tu es folle : il voudrait nous voir baiser toutes les deux.
Je nen ai pas parlé à mon mari.
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