Chasteté, Plaisirs Et Confidences (Ep 2)

La journée se passe, je n’ai plus eu de nouvelle de ma puce…tampis ou plutôt, presque
tant mieux, mon sexe reste calme et au moins, je n’ai plus de douleurs infligées par
ce fourreau qui m’enserre…

Dix neuf heure sonne, j’entends sa voiture arriver ce qui a pour effet de réveiller ma
virilité, ranimer mon envie de lui faire l’amour et surtout de la retrouver, ma petite
coquine qui m’oblige à accepter qu’elle maîtrise mon plaisir pendant qu’elle s’octroie
du bon temps dans les toilettes de son boulot (voir épisode 1).

Elle rentre, elle est ravissante, tailleur sexy, bas résille, talons hauts vernis…une
vraie bombe sexuelle comme à son habitude. Je la prends dans mes bras, admire son
regard et voyant l’étincelle qui illumine ses yeux, je ne peux m’empêcher de
l’embrasser fougueusement à pleine bouche imaginant qu’elle va me libérer très
rapidement pour que nous nous laissions aller à nos envies mais, c’est alors qu’elle
me stoppe.

Je découvre qu’elle n’est pas seule, Fifi, son collègue de travail est dans la porte.
Je me rajuste et tente de faire bonne présentation lorsque ma douce m’explique qu’elle
lui à proposé de venir boire un café avant qu’il ne reprenne la route. Jusque la, pas
de soucis, ma belle aime bien la compagnie après le travail et c’est régulièrement
qu’elle ramène des collègues ainsi, pour un café ou un apéro.

Malgré mon envie et la gène occasionnée par ma cage de chasteté, je m’empresse de
préparer un café. Sandra et Fifi s’installent au salon, sur notre canapé ou ils
commencent à discuter de tout et de rien.

Je sert le café et partage leur discussion lorsque Sandra, changeant de sujet me
demande du tac au tac et ouvertement devant Fifi : « Alors mon chéri, tu n’est pas
trop à l’étroit ? et ma culotte, à t elle séchée ? »
J’en comprends, tout gêné qu’il doit savoir plus de chose que je ne le pensais…je
balbutie quelques mots, le souffle coupé par la situation lorsque Sandra reprends la
parole en éclatant de rire : « Ne t’en fait pas mon cœur, Fifi ne dira rien à personne
surtout que regarde ce qu’il m’a fait avant de partir du travail ! »

Sous mes yeux écarquillés, Sandra écarte les cuisses et me dévoile son entre jambes.


Plus de culotte, je suis étonné et lui en fait la remarque insistant sur le fait
qu’elle mouille beaucoup.
C’est à cet instant qu’elle se tourne vers Fifi lui disant « Vas y Fifi, je crois que
c’est le moment que tu lui offre son cadeau ! »

Fifi obéi et me tends fièrement la culotte en dentelle que Sandra avait mise ce matin.
Ne sachant plus où j’étais, je prends l’étoffe et, la regardant de plus près, je
découvre qu’elle aussi est toute mouillée.

« Mais ???? tu viens de lui retirer ? je n’ai pourtant rien vu depuis la cuisine, moi
qui croyait que vous ne faisiez que discuter de la pluie et du beau temps…Vous m’en
cachez d’autre ou quoi ??? »

Et c’est Sandra qui me réponds à nouveau : « Tu n’as qu’à la sentir, je pense que tu
comprendra réellement ton cadeau ! Après ça tu pourras venir voir pourquoi je suis
toute mouillée comme tu viens de me le faire remarquer… »

Je porte donc aussitôt l’étoffe à mes narines. Je reconnais instantanément une l’odeur
de Sandra mais une odeur de sperme frais s’y ajoute…Je rève les yeux ouverts…Fifi lui
a fait l’amour…milles idées se bousculent dans ma tête…Je suis cocu…oui mais il a du
la besogner et la faire jouir sacrément pour qu’elle soit encore innondée de la sorte…
je ne sais quoi répondre…

Sans un mot je caresse du bout des doigts la vulve de Sandra qui est restée cuisses
écartées. Elle est littéralement inondée, elle dégouline…

Sandra : « Viens plutôt me faire ma toilette, tu verras comme c’est bon… Fifi m’a fait
jouir juste avant de quitter le boulot, il m’a attrapée comme jamais dans les
toilettes, regarde comme j’en mouille encore…en plus, je l’ai laissé se vider en moi
et dieux sait si il en avait envie vu comme il m’a remplie de son jus…aller, ne fais
pas ta fine langue, lèche moi et je te libèrerais ! »

J’étais ailleurs…je ne vivais plus, j’hallucinais, Sandra m’annonçait que j’étais
cocu, que cette étalon lui avait démonté le bas ventre, qu’il s’était répandu en elle
comme si c’était sa femme et moi, au lieu de m’enflammer et de disjoncter, je
m’accomplissais, me retrouvant à genoux entre ses cuisses de rêve à lui lécher la
chatte et boire sa cyprine et le sperme de son amant…je me découvrais, je ne pouvais
plus nié qu’avec la confiance qui régnait depuis bien longtemps dans notre couple et
nos esprits très portés sur la chose, je la voulais « chaudasse » comme on dit dans le
sud.
Je découvrais que j’étais même prêt à la prêter si c’était pour notre plaisir à
tout les deux, je devenais candauliste peut être.

Me relevant, la bouche pleine de ces sucs, je découvrais, maintenant avec bonheur, que
pendant que je m’occupais de son intimité, elle avait commencé à sucer Fifi… elle
était ravissante, débordante d’envie, elle devenait femme à mes yeux surtout que je
croisa son regard tant porteur d’amour envers moi. A cet instant même nous étions
amoureux comme jamais. C’est avec grand plaisir et non plus par soumission que je
repris ma place entre ses cuisses, l’invitant à continuer aussi frénétiquement la
gâterie qu’elle était en train d’offrir à son amant.

Mon sexe était prêt à exploser dans la cage qui le retenait prisonnier…

La suite prochainement si vous en avez envie…

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