Yvette
Daccord, une bite est belle avec son gland abrité par le prépuce, avec ses couilles
qui pendouillent dessous. Cest des fois agréable quand elle bande pour menculer.
Jaime des fois lavoir dans mon ventre. Mais à elle le préfère une langue ou des
doigts féminins. Jaime faire jouir les femmes ; jaime voir un sexe féminin, bien
plus beau quune bite. Jaime voir les lèvres entourant le trou des délices, sous le
clitoris. Cet endroit où ma langue aime se loger souvent. Et ce goût incomparable de
cyprine, différente selon les filles, tellement bon à lécher et sentir.
Jaime surtout le con dYvette. Ah, Yvette, la dernière de mes conquêtes avec qui je
baise tant et si bien.
Nous nous sommes rencontrées dans un bistrot un soir vers 21 heures. Je prenais un
café au comptoir quand elle venue sassoir près de moi. Nous avons bavardé. Moins
dune demi-heure plus tard, elle était chez moi, à deux pas. Je lai embrassé dès
lentrée. Sa langue était agile contre la mienne. Jai commencé à mouiller quand elle
sest serrées contre moi, ses seins et son pubis étaient appuyés contre mon corps.
Cest elle qui a posé ses mains sur mes fesses. Jai répondu en la déshabillant
lentement. Elle me plait de plus en plus : son principal atout est quelle ignore la
pudeur. Elle est belle, bien faite ; sexy, et tout et tout. Elle me donne envie de
baiser avec elle. Je sais que je vais me la faire dans la nuit. Je ne me presse pas
trop : jai le temps encore de jouir. Elle sans doute pas, alors je pose ma main sur
sa chatte, jincruste un doigt dans sa fente.
Elle est aussi mouillée que moi. Je vais me régaler de lui bouffer le cul. Je sens mon
vagin se serrer de désir. Je la veux maintenant.
Elle aussi à envie, elle se couche, les jambes bien ouvertes pour que jadmire sa
chatte. Elle se caresse les seins à deux mains.
faire durcir. Elle descend une main sur le ventre jusquà aller sur son pubis où elle
semble attendre. Je la regarde faire, je sais quelle veut se masturber, comme ça,
devant moi. Je la laisse faire pour lui faire plaisir. Sa main arrive juste sur le
bouton. Elle le frôle avant de carrément le caresser : ses yeux se ferment : elle ne
va pas tarder à avoir un orgasme.
Je ne veux surtout pas la déranger. Elle nouvre les yeux que juste avant de jouir,
pour me regarder. Je ne suis pas restée impassible : je me branle en la regardant. Je
ne vais contre elle que quand elle me tend les bras. Nous nous embrassons comme de
vieux amants amoureux. Cette fois cest moi qui la dirige. Ses seins sont à moi, plus
à elle comme les miens sont déjà à elle. Nous nous pelotons amoureusement. Elle sait
bien soccuper des seins dune autre.
Je ne sais pas avec qui elle a appris cette chose minime en apparence, mais combien
bonne pour une autre. Pour une, première fois nous pourrions fignoler. Nous sommes
trop pressées de jouir. Cest ma main qui est sur son abricot. Il est mur à souhait,
le jus peut traverser nimporte quel tissu. Jy pose deux doigts qui trouvent la
douceur de la masturbation dun tissu très doux. Elle aussi assaie de me branler, sans
pouvoir y arriver.
Je la branle sans cesse pour la faire gémir longuement. Je ses un léger supplément de
cyprine quand elle jouit. Je ne peux pas arrêter ce que je lui fais : je sais que
cest bon pour elle. Je lui donne le maximum de jouissance. Rien que de la masturber
il me semble que je me le fais aussi. Jarrête simplement parce que moi aussi jai
envie de ses mains. Je me livre corps et âmes à elle. Jai raison, sa main fait des
merveilles sur ma chatte. Je ne pensais pas quelle soit si douée. Je sens ses doigts
me faire plaisir qui monte de plus en plus jusquà léclatement final : jai un bel
orgasme.
Quand nous sommes satisfaites de lautre nous léchons nos doigts pour gouter la
cyprine. La sienne me semble meilleure que la mienne. La fête nest pas finie. Cette
fois je vais mettre ma tête entre ses cuisses. Je sens de tout près sa chatte. Quel
délice. Ma langue lèche sa fournaise : son trou est très chaud, elle avait réellement
envie davoir le con avec quelque chose dedans. Ma langue fait des vas et viens dans
son puits. Je la fait tourner pour quelle me sente partout.
Elle aime ce que je fais. Elle a encore un bel orgasme. Je la laisse en paix pour
aller sur son petit trou.
- Tu es la première à aller sur mon cul.
- Tu vas bien jouir.
Je lèche le pourtour comme pour découvrir. Je darde le plus possible le bout de ma
langue pour quelle entre un peu. Je découvre le gout de son cul, pas répugnant du
tout.
Je me tourne complètement pour lui donner mon cul à bouffer. Nous faisons un 69 de
légende. Elle ne me demande rien quand elle met deux doigts dans mon cul. Elle connait
parfaitement la musique particulière des duos de filles.
Je me relève delle pour venir à ses cotés. Jentre deux doigts dans son vagin je les
fais suivre du reste de la main. Elle sait ce quest le fistage, elle aime. Ma main
entière est dans son ventre, jusquau poignet, je force à peine pour entrer encore.
Elle gémit de plus en plus fortement. Jen suis à mi bras.
- Oui, Oui, entre encore ta main, mets moi une autre au cul.
- Tu ne veux pas que je te fasse les deux ensembles ?
- Si, je suis une pute, encules moi.
Je vais lui faire ce que je nosais pas faire, puisque tout à lheure elle me disait
quand je voulais entrer ma langue que jétais la première.
Je pose un doigt sur son cul, je lenfonce complètement pour y mettre un autre et
encore un autre et enfin toute ma main. Je ne veux pas entrer davantage ; je ferais
éclater son sphincter.
la fois.
Elle cri comme un cochon quon égorge : elle jouit comme jamais même moi je nai
jouis.
Quand elle fini de jouir, je vais massoir sur sa bouche. Elle membrasse dabord la
chatte en entier pour se fixer sur mon cul où elle entre sa langue. Je remue dans tous
les sens tellement elle me fait du bien.
Depuis nous sommes totalement dépendante lune de lautre. Elle invente les positions
invraisemblables.
Cest la première fille avec qui je jouis tant.
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