Au Petit Matin
Cela ne faisait que quelques jours que nous nous étions rencontrés. Le premier rendez-
vous avait été surprenant. Elle ne pensait pas que nous allions faire lamour la
première fois, mais le courant est passé de suite. Après une petite demi-heure
dhésitation, nous nous sommes retrouvés nus à larrière de ma voiture que javais
aménagé.
Le matin, lorsque je partais travailler tôt, je passais non loin de chez elle. Je
savais quelle se levait tôt. Sur la route, je lui ai envoyé un message pour lui dire
que je passais juste à côté de lendroit où nous nous étions rencontrés il y a
quelques jours. Elle me répondit aussitôt en me souhaitant une bonne journée.
- Quand jimagine que je suis juste à côté de chez toi, lui répondis-je
La réponse ne tarda pas
- Tu es où ?
- Juste avant la sortie qui mène chez toi
- Tu veux passer ?
- Maintenant ?
- Je tattends
Je pris donc la sortie. Elle me guida par sms. En haut dune côte, je découvris sa
maison. Il faisait nuit noire, mais jétais tout de même prudent. Je pris lallée qui
menait jusquau devant de sa porte. Un détecteur de présence salluma et inonda
lentrée dune lumière vive. Je sortis de la voiture alors que sa porte dentrée
souvrit avec prudence.
- Chut, ne fais pas de bruit, mes s dorment. Suis-moi.
Elle contourna la voiture et se dirigea vers un bâtiment qui servait de remise et de
garage. Elle serra très fort sa robe de chambre contre elle, car la matinée était
fraiche.
- Ne fais pas attention au désordre
Elle leva alors la porte coulissante et sengouffra dessous. Je jetais un coup dil
autour et la suivis. Armée dune lampe torche quelle avait trouvé, elle referma la
porte.
est clair que le désordre régnait. Je nosais trop bouger, craignant de tomber sur une
tondeuse, un cable ou un vélo.
Elle sapprocha de moi, sensuelle, puis éteignit la lampe. Je percevais sa silhouette
qui se dessinait sur la petite fenêtre du garage. Elle grelotait un peu. Je la pris
dans les bras et je lembrassais. Elle poussa un soupir de soulagement et me serra
très fort contre elle.
Je posais les mains sur son dos. Sa robe de chambre était fine. Je savais aussi, pour
me lavoir confié, quelle dormait toujours nue. Avait-elle pris la peine de mettre
quelque chose dessous ? Jallais très vite le découvrir.
Je laissais descendre les mains le long de son dos, sans pour autant marrêter de
lembrasser. Arrivé à sa taille, je suivis la fine ceinture jusque devant. Jeu
quelques difficultés avec le nud. Elle eut un peu pitié de moi au bout de quelques
instants et ses mains vinrent en renfort pour en venir à bout.
La ceinture céda. Je sentis les deux pans de sa robe souvrir. Mes mains
sengouffrèrent dessous. Jeu beau chercher, je ne trouvais aucun tissus
Elle était
totalement nue sous sa robe. Mes mains étaient un peu fraiches, et chaque contact avec
sa peau la faisait un peu tressaillir. Je me régalais de la douceur de sa peau.
Javais exploré ses hanches, ses fesses, son dos.
Je plongeais désormais la bouche sur sa poitrine. Je me mis à lécher chacun de ses
seins tour à tour, en mattardant sur leur pointe et leur pourtour. Sa respiration
saccélérait. Je posais alors les mains sur ses seins puis je remontais jusquaux
épaules. Je neu aucune difficulté à laisser choir à ses pieds sa robe.
Elle était désormais nue, là, devant moi, dans le noir.
Je me mis à genoux. Les mains posées sur ses fesses, je guidais ses hanches vers mon
visage.
cette fine toison avec ma langue. Mais je navais pas lintention de marrêter là. Le
bout découvrit ses lèvres douces et terriblement humides. En même temps, jenfonçais
mon index dans son sexe. Elle sursauta de plaisir. Jassurais ma position pour mieux
la lécher. Elle, plongea les doigts dans mes cheveux. Je me régalais de ce liquide
chaud, de ses lèvres douces.
Je me redressais pour venir lembrasser. Elle passa sa jambe gauche derrière moi pour
me serrer contre elle et écarter encore plus ses jambes. Je réussis, non sans mal je
le reconnais, à toucher son sexe en passant la main par larrière de sa cuisse.
Elle reposa la jambe. Cette fois, cétait mon tour
elle déboutonna mon pantalon et
plongea la main pour saisir mon sexe dur à souhait. Elle le prit fermement en main et
commença à me branler.
- Tu as des préservatifs ?
- Non, je nen ai pas pris, devais-je lui confier, pris de court.
Elle ne dit rien, et sortit mon sexe de mon boxer. Elle continua à me branler de plus
en plus fermement. Puis elle se pencha et le prit rapidement dans la bouche. Cétait
un vrai régal. Je bandais très fort et la douceur de sa bouche sur mon sexe était un
grand plaisir. Elle sévertua à me sucer avec application. Si au début, seule sa tête
bougeait, très vite, peut-être à cause la position, cétait tout son corps qui
sactivait. Elle fit quelques poses pendant lesquelles ses mains prirent la relève de
ses lèvres. Elle y mettait tellement de vigueur que je ne tardais pas à sentir ma
jouissance arriver.
- Attends, je sens que je vais jouir
- Oui, je le sens aussi
Elle cessa de me sucer et recommença à me branler. Nos mains sunirent sur mon sexe
pour le faire jouir.
pour venir membrasser.
Dehors, déjà, la lueur du jour commençait à poindre. Elle ralluma la lampe torche pour
retrouver sa robe. Je vis dans le faisceau son visage : elle me répondit dun sourire
radieux et complice.
Elle leva prudemment la porte du garage. Personne. La maisonnette dormait encore. Je
passais la main une dernière fois dans son dos pour lui voler un baiser. Mais nous
nétions plus dans le secret du garage. Elle posa son doigt sur mes lèvres pour men
dissuader. Elle pressa la pas pour se diriger vers la porte dentrée. Depuis le
porche, elle se tourna et me salua de la main. Je mengouffrais dans la voiture pour
partir travailler.
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