Du Tram Au Lit
A Montpellier, une ligne de tram, la plus longue de France relit
Jacou à Saint-Jean de Védas. Mon travail m'emmène souvent à
Jacou. J'y vais en tram, façon économique et rapide de traverser
l'agglomération. Je reviens vers 19 heures au départ de Jacou. Je
reçois un coup de fils de N. Comme souvent la conversation
commence par un "t'es où". Je réponds que je prends à l'instant le
tram. Après une échange de banalité N me dit qu'il lui tarde que je
rentre: elle a besoin de moi rapidement pour faire l'amour. Je lui dis
que moi aussi il me tarde de l'embrasser ( en public je ne peux
qu'en même pas lui dire que j'ai envie de la baiser ).
- Mon envie est urgente: je ne vais pas tarder à me branler.
Je lui demande de me décrire ce qu'elle fait.
- Je suis nue, allongée sur le lit, une main sur un sein que je triture.
Je commence à bander. Heureusement que je suis seul sur mon
siège. Je suis obligé de mettre à l'aise ma bite pour bander sans
être gêné. Elle continu:
- Ma main est sur mon pubis, presque prête à se mettre sur mon
sexe.
Je me tortille dans tous les sens.
A un moment une dame âgée s'assoit à mes cotés. Elle voudrait
engager la conversation quand elle s'aperçoit enfin que je téléphone
ou plutôt qu'on me téléphone. Je ne réponds que par des oui, vas-y
ou plus loin. La pauvre voisine me regarde en se demandant à qui
sont destinées ses paroles. Je me doute qu'elle commence à
comprendre. N continu son récit:
- Cette fois j'ai mis la main sur mon bouton.
Elle me le décrit en détail.
- Je me tâte partout pour le sortir de sa gaine, J'entoure avec mes
doigts avant de commencer.
Elle fait durer la masturbation et moi je bande de plus en plus
jusqu'à en avoir mal. La petite vielle descend et me dit avec un
grand sourire: vous allez prendre votre pied en arrivant, je vous
envie, c'était pour quand j'étais bien plus jeune.
qu'elle me gênait, je peux enfin changer de position et surtout me
presser la bite entre ma main pour essayer de trouver un peu
confort. N continue:
- Je me caresse maintenant le clitoris. C'est bon et je vais me faire
jouir.
N continu et me dit:
- J'ai abandonné le bouton pour me doigter avec trois doigts, comme
si c'était ta queue que j'ai dans mon con.
Je ne sais réellement plus comment me tenir. je commence à
masser le gland, sans que personne ne s'en aperçoive, ce qui est
dur.
N continu ses description:
- Mes doigts ne me remplissent pas suffisamment, je veut ta queue
en moi, maintenant. Si j'avais un gode, au moins je me serait déjà
faite reluire. Ma moule demande quelque chose en elle.
Je lui communique une idée qui me vient d'une de mes ex: mets
une serviette de toilette le plus possible dedans. Je ne peux en dire
plus, les autres passagers se douteraient surement de quoi je parle.
Pendant un moment c'est le silence. Enfin N reprend le téléphone:
- J'ai la serviette: je me suis couchée et j'ai écarté mes jambes.
Comment faire: c'est assez difficile.
Je parle comme si elle cuisinait: farcis la bête, et remplis la à fond,
en forçant par à coup, plusieurs fois si nécessaire. Je l'entend
répéter ce que je dit au fur et à mesure:
- Je farcis la bête.
- Très bien farcis la à fond.
- Je me la suis mise à fond.
- Appuies dessus plusieurs fois pour voir comment ça marche.
- Oui, je suis à fond et j'appuis plusieurs fois et ça marche bien, si je
continue je vais jouir, dommage que tu ne soit pas là, tu verrais
comment ma chatte est pleine......................Si tu savais comme
c'est bon: je ne vais pas tarder à jouir
Je n'en peut plus je sens que je vais jouir dans mon pantalon devant
tous ces gens. Pourtant j'arrive à le contenir et essayant de penser à
autre chose.
- Si tu savais comme c'est bon. Je suis obligé d'arrêter un moment
sinon je jouirais sans toi.
- Patientes, je ne suis plus loin, encore deux stations et je suis à toi.
- Viens vite s'il te plais, je n'en peux plus. En attendant je garde la
serviette dans mon con et je vais me caresser le cul, j'y mettrais
plusieurs doigts, comme tu sais bien me le faire.
Je me représente la scène, elle nue, une serviette sans doute à
moitié dans son vagin et la partie qui doit en sortir et ses doigts dans
le cul. Il me tarde d'arriver. enfin je descend du tram, récupère ma
voiture au parking et me dépêche pour la rejoindre. Pour conduire
j'ai interrompu la communication. Elle m'envoie des textos chauds,
très chauds. J'avais débander en prenant la voiture et me voila
encore la pine bien dure: il faut que je l'arrange rapidement. Enfin je
rentre dans l'allée de la maison. je mettrai la voiture au garage
après. J'entre avec mes clés et monte vite dans le chambre.
Enfin je la vois: nue, les jambes bien ouvertes, une main sur son cul
et surtout non pas la moitié, mais la serviette entière dans son con.
Elle me sourit:
- Enfin tu es là. On vas pouvoir jouir ensemble.
- Oui, chérie, et si au lieu de jacasser tu continuais à jouer avec la
serviette pour voir comment tu jouis.
Je suis enfin nu et ma bite peux enfin s'ébattre comme elle veut. Je
peux bien regarder cette serviette: elle est presque toute en elle et
surtout elle lui touche le clitoris. Je comprend qu'elle se soit arrêtée.
Elle pose sur la serviette trois doigts de chaque main dont elle se
sert uniquement pour appuyer et relâcher la pression et
recommencer. Je regarde ses mouvements et je ne peux
m'empêcher de prendre ma queue dans la main droite et de me
branler devant elle. Je suis à genoux, sur le lit, entre ses jambes.
Nous regardons bien les mouvements de l'autre. Nous prenons un
plaisir commun sans nous toucher: c'est une autre façon de faire
l'amour. Ses pressions se font plus rapides comme ma main sur la
bite. Enfin elle arrive au point de non retour: elle ferme les yeux,
envahie par la jouissance: pour la première fois depuis nous
sommes ensemble elle jouit en criant très fort je jouiiis. Je la suis
dans cette jouissance: mon foutre va s'étendre sur son ventre. Elle
enlève à regret la serviette et me la donne à sentir: c'est l'odeur de
sa cyprine que j'aime tant. Elle essuie le sperme avec sa main et
porte à sa bouche ce qu'elle peut récupérer.
Nous échangeons notre premier baiser depuis le début. Pendant
mon trajet nous ne pouvions pas et pendant nos masturbations nous
ne nous touchions pas.
Ce n'est pas un baiser ordinaire: nous nous dévorons littéralement:
nos langues ne cessent d'envahir la bouche de l'autre. Nous nous
disputons même la possession de nos propres langues. Je
commence à bander encore. Elle me prend la pine et murmure
l'oreille:
- S'il te plais, encule moi comme tu sais si bien le faire et dit moi
des mots sales comme j'aime.
Elle se tourne sur le ventre, la poitrine écrasée sur le lit, les jambes
ouvertes. Elle me donne à voir son petit trou bien mouillée. Je n'ai
plus qu'à me coucher sur elle retenu pas les coudes pour ne pas
l'écraser et lui poser la queue sur son cul. Je fait comme toujours: j'y
rentre doucement pour qu'elle sente bien mon gland quand il passe
son sphincter: elle aime toujours ce moment, comme elle aime
quand je la lui mets à fond. je la lime et la traite de tous les noms:
- Tu es ma putain, je vais te mettre sur le trottoir à Montpellier, au
milieu des vrais putains. Salope, bouffeuse de bite, suceuse de
sperme. Mangeuse de queues
Elle jouit je ne sais combien de fois.
dans son cul. J'en sort un peu dépité. Elle se précipite sur moi et
réclame un 69.
Elle aime ce genre de jouissance commune avec nos langues et
nos bouches.
Elle me met couchée sur le lit, m'enjambe pour venir poser son con
sur mon visage. Je sens encore le goût et l'odeur de la cyprine, lui
prends le clitoris dans ma bouche pour le sucer et le lécher. je lui
mets trois doigts dans le cul et les fait aller et venir. Pour elle c'est
plus facile: couchée sur moi, elle goûte d'abord ma queue et la
bouche ouverte me lèche le gland en mouvements tournants. Après
doucement elle se sert des lèvres comme d'un con. Elle fait aller et
venir sa tête avant de finalement prendre presque toute ma queue
dans la bouche. Je sens ma bite sur son palais et ensuite entre les
mâchoires et les joues, alternativement à droite et à gauche.
Ce que je ne trouvais pas dans son cul je le trouve grâce à sa
bouche. Je vais jouir, elle me caresse les couilles bien remontées et
je gicle en elle. Elle me garde pour bien déguster mon sperme. Elle
me laisse sortir la queue bien propre.
Il n'est que 22 heures: nous mangeons, regardons la télé. elle se
lève brusquement sans rien dite et revient un moment après, nue
avec la serviette. Elle s'assoit à mes coté, écarte bien les jambes, je
la vois se mettre la serviette lentement en elle. Elle repars en lents
mouvements de pressions sur le linge. Je l'embrasse pour qu'elle
sache que je l'approuve dans cette nouvelle façon de se branler.
Je sais que maintenant qu'elle y a prit goût elle ne se masturbera
plus qu'avec la serviette de toilette. Tant mieux si elle y prend plaisir,
j'aime bien quand elle se branle, souvent en mon absence et dans
ce cas elle me le dit toujours.
Il lui vient une idée qui me semble farfelue: elle veut que je l'encule
pendant qu'elle se fait reluire la moule. Cette fois je n'ai pas de
cyprine à lui mettre sur l'anus. je le mouille avec ma salive et
comme tout à l'heure je l'encule lentement pour qu'elle me sente
passer. Je sens moi la serviette qui durci son accès et me donne à
moi aussi un autre plaisir. Elle est à genoux le torse posé sur la
banquette les mains occupée à manoeuvrer le linge. Elle gémit sans
arrêt depuis qu'elle l'a au cul. Quand elle jouit la première fois, cette
fois j'ai moi aussi un orgasme géant. Je bande trop pour me retirer.
Je continu la sodomie. Elle ne me dit qu'un seul mot gentil: merci de
ma l'avoir mise encore.
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