Expérience À Troi Filles
Après notre dernière conversation chez Mado, jinvite mes copines à la maison. Nous
avions parlé de plaisirs, de façon de les prendre. Javais soutenu quavec un bon
gode, jarrivais à jouir presque aussi bien quavec une bite. Bien sur Margot ne me
croyais pas : elle retarde un peu sur les façons de se donner du plaisir, pour elle la
seule méthode reste la masturbation toute simple. Avec Margot nous étions persuadées
du contraire.
Aussi jai sorti mon « matériel » juste avant quelles viennent chez moi: javais
laissé en vue mon gode tout bête, le premier dont je ne me servait que pour la
sodomie, le rabit qui me servait surtout quand javais envie davoir le sexe rempli et
le clitoris caressé, ainsi que les boules de geisha que je mets souvent pour aller
faire des courses en ville. Mado elle nous lavait dit se servait comme moi dun gode
simple.
Nous navions jamais eu de rapports entre nous. Nous étions libre de parler de nos
orgasmes comme dautre peuvent parler de couture ou de cuisine.
Nous nous connaissions depuis le collège, nous nous sommes suivies ensuite longtemps ;
bref nous étions des amies sincères. A une époques nous nous partagions nos amants
pour ensuite les comparer entre nous : untel est nul, lautre a une grosse queue,
celui là est un bon coup
..
A 15 heures comme prévues arrivent dabord Margot que jaime bien, malgré son
caractère un peu vieillot et peu de temps après Mado. En entrant un baiser sur la
joue, nous commençons à bavarder sur les autres comme souvent. Enfin Mado relance le
sujet sur les godes. Elle a porté le sien quelle nous montre. Cest un objet basique
dont elle se contente surtout quand son mari est là. Cest même lui qui sen sert le
mieux : quand ils font lamour, il le lui entre dans le cul : elle adore jouir ainsi
doublement pénétrée.
Je sens que ma culotte se mouille petit à petit. Le visage de Margot commence à pâlir.
Je nose pas demander à Mado de nous montrer en détail sa façon de jouir. A mon tour
détaler mes jouets. Si Mado sintéresse de près à mon attirail, Margot pâlit encore
plus. Elle remue sur sa chaise comme si elle était pleine de fourmis. En plus elle
nose pas prendre mes objets dans les mains, elle ne fait pas comme Mado qui prend le
rabit, lexamine en détail :
- Ca doit être bon de machin dans ma chatte !!!
- Ca me fait bien jouir quand je me branle avec lui.
Je dois le lui montre ; je mime sur ma jupe comment je fais. Brusquement Margot nous
demande de ne plus parler de ces objets : elle a mal au bas ventre.
Innocemment, Mado lui demande si elle a envie de jouir.
- Bien sur je ne suis pas de bois ;
- Si tu veux mets toi nue, et caresse toi.
- Vous êtes folles, je ne suis pas lesbienne.
- Nous nous plus, nempêche que si te me le demande je te donne ma chatte à lécher,
moi aussi jai envie.
Je lui demande si cest une invite parce que moi aussi je suis excitée ;
- Bien sur si vous ne voulez pas, je me masturbe devant vous.
La suite est que je succombe à la tentation : je me lève, commence à me déshabiller
suivie de Mado. Ce ne serait pas la première fois que nous serions nues devant les
autres : à la piscine, sur la plage, par exemple. Toute rougissante enfin Margot aussi
est à poils. Elle est bien faite Margot, sans doute la mieux du trio, avec ses seins
qui tiennent en lair et sa taille très fine.
Margot nous surprend quand elle pose sa main sur sa chatte pour la caresser. Elle
chance de siège pour aller sur le divan où elle sinstalle le plus confortablement
possible, les jambes ouvertes, sa chatte toute mouillée. Elle commence à se masturber
comme elle sait. Mado, lui prête son gode, comme elle ne sait pas sen servie, Mado le
lui met en place, elle commence les va-et-vient.
pour continuer seule. Je la regarde, ses traits sont détendus, elle prend son pied.
Elle pose son dos contre le siège : elle est presque totalement allongée.
Elle me donne envie moi aussi den faire autant. Quand jécarte les jambes, Mado me
voit en fait autant pour finalement quand nous commençons à nous caresser à demander
quon le fasse ensemble. Au point où nous en sommes, pourquoi pas. Je crois bien que
cest la première chatte que je touche : elle est mouillée, comme la mienne
certainement, par contre il me semble quelle est moins douce que moi. Ca ne mempêche
pas de trouver son clitoris. Je sens ses doigts sur le mien. Elle me branle mieux que
moi.
Devant nous Margot se laisse aller à une série de plainte comme si elle avait mal,
alors quelle se fait du bien, beaucoup de bien. Je ne tiens plus, je jouis. Mado,
elle attend un peu pour senvoyer au 7° ciel. Juste avant elle approche sa bouche de
la mienne pour membrasser. Je ne sais pourquoi jaccepte, surtout sa langue contre la
mienne.
Quand Margot jouit elle nous demande de nous aimer à trois. Ca y est elle est
décoincée, au point de nous demander de nous mettre à trois pour jouir.
Je nous dirige vers la chambre : nous serions bien mieux sur un lit. Elles
connaissent le chemin ; je les suis en regardant les deux paires de fesses qui se
trémoussent devant moi. Jai des envies de les caresser, de les sucer qui me
démangent. Arrivées avec les godes, nous pouvons faire ce que nous voulons.
La plus gourmande est Margot qui veut être enculée. Mado, la spécialiste, la fait
coucher sur le ventre, prend sa propre cyprine pur la mettre sur le petit trou de note
amie. Je vois les fesses qui soffrent : elle écarte même les fesses à deux mains pour
se donner totalement. Je regarde avec excitation : je suis obligée de me branler
devant les deux autres, par longtemps puisque la secourable bouche de Mado, juste
après avoir entré son gode dans le cul de Margot prend ma chatte dans la bouche.
me lèche longuement jusquà ce que je nen puisse plus : je jouis encore.
Je vais poser ma langue sur le dos de Margot. Je la lèche depuis le cou jusquaux
fesses où je trouve le gode et la main de celle qui me léchait. Je retourne vers la
tête de celle qui se fait enculer : je lembrasse aussi sur la bouche. Sa langue
répond favorablement. Elle jouit à cet instant, dommage, son baiser était des
meilleurs.
Nous changeons de place, je suis couchée sur le dos, je demande à Margot de me mettre
un gode dans le cul et à Mado de me baiser avec lautre. : Jai besoin dune double.
Elles se mettent à deux pour me satisfaire. Ce nest pas que je sois privée de cette
faveur, mon mari me baise en menculant avec le gode, mais là je prise dans un
tourbillon de filles déboussolées. Mado, celle qui me baise vient sassoir sur ma
bouche. Je retrouve sa chatte toujours mouillée. Dès que ma langue la lèche, elle se
laisse aller sur moi, ses seins contre moi, sa bouche sur mon clitoris. Prise de
partout à la fois je ne fais pas un pli : je me laisse aller à la rafale dorgasme. Je
ne sais même pas si ce soit je pourrais satisfaire mon mâle.
Mais arrive le moment où ni lune ni lautre ne pouvons continuer. Notre première
expérience restera la seule, hélas.
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