A La Ferme

Le temps est avec nous, ma femme de 25 ans et moi. La décision est prise depuis
longtemps : nous partons à l’aventure, sac a dos pour camper. Le soleil tape un peu,
rien que de très normal en Aout. Quand nous rencontrons une fontaine nous y buvons de
longues lampées, l’eau fraiche dégouline des fois sur nos maillots.
En fin de journée nous allons demander secours à un fermier pour nous installer pas
loin de chez lui. Nous préférons avoir un voisin pour éviter un incident. Très
gentiment il nous propose de dormir dans la grange. Nous pourrons ainsi mettre au
point notre envie depuis notre départ de nous livrer au jeu de la baise
particulièrement en 69. Ma femme aime bien cette position qui me permets de la faire
jouir avec la langue et elle de lécher ma queue pour que je lui donne la rasade de
sperme qu’elle déguste.
Peu de temps après c’est sa femme qui nous propose de diner avec eux.
Le programme nous plait : elle est mignonne, le repas simple nous plait en évitant que
nous entamions nos maigres réserves. Nous ferons l’amour plus tard : rien ne presse.
Après le diner, ma femme propose de partager la corvée de vaisselle. La fermière,
Andrée accepte. Avec le mari nous les regardons : elles lavent plus ou moins bien les
assiettes. Ce qu’elles commencent à faire est différent. Les mains d’Andrée commencent
à caresser lentement les fesses de ma belle qui évidemment se laisse peloter. Quand
elles se font face, leurs bouches ne sont pas loin. Le désir de la fille est évident,
elle entend se farcir ma femme.
Du temps de sa jeunesse, elle avait 16 ans, elle acceptait facilement que ses copines
jouent avec elle. Alors, une fois de plus ne la dérange pas. Elle ne se rend pas
compte que le fermier la couve des yeux. Le regard se fixe sur le couple de filles.
Ce ne doit pas être la première fois qu’André se donne à une autre.

Lui doit aussi en
profiter. S’il bande rapidement c’est bien qu’il espère la suite. Le salaud me fait
bander aussi. Andrée colle ses fesses contre l’évier, attire ma femme vers elle. Les
souvenirs de sa jeune époque reviennent : elle se baisse pour passer sa langue sur la
chatte d’Andrée. C’est une rapide, elle jouit très vite. Trop pour mon épouse qui se
masturbe devant nous.
Elle me regarde avec insistance, elle veut que je la baise là maintenant. Pourquoi pas
? Mais le fermier alors ?
Lui sort tranquillement son mandrin, un morceau de bite, presque trop gros et long,
pire qu’un géant. Andrée vient vers lui, se met sur ses genoux, se pose trop
lentement. Je vois la pine s’enfoncer dans le vagin. Je suis presque trop excité pour
sortir la bite du pantalon. Ma femme vient à mon secours, en défaisant tout le
pantalon que je perds sur les chevilles.
Le regard fixé sur la queue, ma femme cherche à me lécher comme à son habitude. Le
sperme est une de ses liqueurs préférées.
Le couple de fermier inspecte ce qu’elle me fait. Il faut dire que voir ma femme avec
ma bite dans la bouche, sa main sur le clitoris, ne manque pas de sel. La suite non
plus.
Je suis attiré par le corps d’Andrée, je pose une main sur une épaule, je la descends
lentement sans qu’elle proteste. Ses seins sont durcis sous ma main, alors je vais
directement sur le pubis. J’arrive à la branler pendant qu’elle se fait mettre.
Andrée que je découvre a une autre envie, elle veut partouzer avec nous. Nous nous
retrouvons à quatre dans la chambre. Le changement de partenaire est fait. Nos lèvres
ne s’attardent pas sur la bouche des autres. Seul nous intéressent le sexe. Je pose ma
langue sur le con trempé d’Andrée. Sa cyprine est à peine différente de celle de ma
femme qui en ce moment lèche le vit de l’autre mâle. J’aime la voir prendre une queue
dans la bouche, qu’elle avale le gland, qu’elle le mordille.
J’adore quand elle fait
gicler le sperme, qu’elle le garde longtemps en bouche avant de le déguster lentement.
Elle se retourne pour donner sa chatte. Il ouvre bien la bouche, sort sa langue,
visiblement il lèche lentement.
J’apprécie ce 69 comme une œuvre d’art. Je suis couché sur le coté pour regarder.
Andrée me fait mettre sur le dos, me donne son con. Sa bouche entoure la pine. Je sens
ses lèvres entourer le gland, y glisser lentement, revenir en haut et recommencer.
Elle vaut presque ma femme.
Ma femme affairée à lécher l’autre queue. Malgré sa grosseur elle arrive, je ne sais
comment à la prendre dans le bouche. Une main tient la queue à la base, l’autre
caresse les couilles tendues. Je sais qu’elle va passer la main entre les cuisses de
ce type, à la recherche du cul ou elle s’attardera jusqu’à orgasme.
C’est ce que me fait Andrée. Je le lui rends bien en mettant directement deux doigts
dans sa casserole plissée. L’effet est immédiat : outre qu’elle gémit comme si je
l’égorgeais, sa figue a les réactions d’un abricot qui jouit. Je lui donne tout ce que
j’ai dans les couilles. Elle avale trop vite à mon gré.
Nous sommes pleins de transpiration. Nous restons nus jusqu’au lendemain matin. J’ai
encore l’occasion de voir se développer d’une façon extraordinaire la queue du brave
fermier. Mon épouse a confisqué la pine pour son usage personnel.
Oh, à propos, nos vacances se sont passées à la ferme.

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