Leslie Ar49
Leslie AR49 - Les confessions dun ami, suite
« Tout alla vite, davoir palpé mon sexe avait rendue folle Carole, qui semparant de
mes deux mains les posa sur ses seins.
- Caresse mes seins, gémit-elle.
Je mexécutais, caressant les chairs fragiles de ses seins au travers du fin tissu,
encore innocent, je demeurais ébahi en découvrant combien ses tétons étaient durs et
énormes.
Nous haletions tous les deux, lexcitation montait et allait bientôt être à son
comble.
- Ohhh oui, gémit Carole.
Elle retira sa nuisette pour se présenter nue devant moi, puis reprenant mes mains
elle les pressa fiévreusement contre ses seins gonflés, mencourageant à continuer mes
caresses, soudain, alors que je venais de pincer fortement lun des boutons de chair
durci, Carole se jeta sur ma bouche pour membrasser fougueusement.
Tout en me fouillant presque rageusement ma bouche de sa langue diabolique, elle posa
sa main sur la bosse que faisait mon membre viril tendu. Avec beaucoup de douceur elle
me caressa par-dessus le tissu de mon short.
Nous restâmes un long moment ainsi, nous procurant mutuellement du plaisir. Puis
abandonnant enfin son baiser, Carole me regarda dans les yeux :
- Tu veux, que je tapprenne ce quun homme doit savoir faire à une femme ?
- Oui, je le veux, dis-je.
Comment refuser une telle proposition.
Je navais pas lâché ses seins et je continuais à pincer entre mes doigts les pointes
durcis, la faisant haleter et gémir.
Se reculant pour échapper à mon étreinte, Carole me repoussa doucement me forçant à
masseoir sur ma chaise.
- Regarde, me dit-elle. Je vais dabord te montrer à quoi ressemble une femme.
Elle fit deux pas en arrière et nue devant moi, elle commença par se caresser les
seins dune manière très sensuelle, et presque machinalement je posais ma main sur mon
sexe gonflé.
Me fixant du regard, les yeux brillants, Carole sapprocha de ma chaise pour y déposer
son pied droit. Sa cuisse largement écartée moffrit une vue parfaite sur son sexe
lisse, dont elle écarta les lèvres avec deux doigts pour me montrer sa vulve
légèrement ambrée et luisante.
- Tu veux embrasser ma chatte ?
Mais sans attendre ma réponse, Carole, follement excitée magrippa la tête et appliqua
mon visage contre sa vulve entièrement épilée.
- Embrasse là, me dit-elle dune voix haletante.
Je posais alors ma bouche contre les lèvres humides de son sexe, une odeur épicée me
monta aux narines, Carole me guida, prise par sa passion dévorante. Appuyant fortement
mon visage contre sa longue fente, elle mencouragea dune voix rauque :
- Embrasse ma chatte, mon chéri et sens comme je mouille
A genoux, je constatais quelle mouillait, car mes lèvres baignaient dans une
onctuosité odorante.
Excité et complètement hors de moi, jembrassais la vulve ruisselante, la couvrant de
baisers appuyés.
- Oui, cest bien, mencouragea Carole, lèche-là et enfonce ta langue à
lintérieur
Obéissant, je mexécutais, je promenais ma langue à lintérieur de cette faille
humide, lenfonçant légèrement à lintérieur des chairs chaudes et gluantes.
Aussitôt, Carole se mit à pousser des petits gémissements, puis je sentis ses deux
mains se saisir de ma tête pour limmobiliser sur sa chatte en feu, agitant son bas-
ventre davant en arrière, elle entreprit de frotter avec fougue, son clitoris contre
ma bouche et mon menton.
Elle mouillait de plus en plus et soudain, elle simmobilisa en laissant une douce
plainte jaillir de sa gorge, le corps traversé de soubresauts, et dune voix déformée
par le plaisir, elle me dit :
- Petit coquin tu mas fait jouir, cétait rudement bon.
Le sexe effroyablement bandé, je me réinstallais sur ma chaise, sans un mot, Carole
pivota sur elle-même pour me montrer sa croupe magnifique, en me lançant :
- Elles te plaisent mes fesses ?
- Ohhh, oui !
Perverse, elle se baissa en avant en écartant largement ses jambes, ce qui me permit
dadmirer ses fesses, son anus aux contours bruns et les grandes lèvres de sa longue
vulve.
Penchée en avant, me fixant entre ses jambes largement écartées et légèrement pliées,
Carole lança ses deux mains entre ses cuisses afin décarter les bords ourlés de sa
chatte. Jeus sous les yeux lintérieur de sa vulve et je mourais denvie daller y
enfoncer mes doigts pour sentir ses chairs humides et palpitantes de désir.
- Tu nas pas envie de me faire lamour, me demanda soudain Carole ?
- Ohhh, que si !
- Tu veux enfoncer ta queue dans ma chatte ?
- Ohhh, que oui !
Carole se redressa et me saisissant la main elle me tira jusquà sa chambre et là nous
nous embrassâmes de nouveau, passionnément. Josais pendant se baiser laisser mes
doigts caresser son corps et Carole, accrochée à mon cou, commença à sagiter contre
mon corps, frottant lascivement son bas-ventre nu contre limposante bosse que faisait
ma verge tendue.
- Déshabille-toi, grogna-t-elle soudain Carole.
Tout en se reculant pour échapper mes attouchements de plus en plus précis en
direction de son anus.
En un rien de temps, je me retrouvais aussi nu que Carol, mon initiatrice.
Au bas de mon ventre, ma bite se dressait orgueilleusement, alors sans un mot, Carole
grimpa sur le lit où elle sallongea sur le dos et me fixant avec une intensité elle
écarta largement ses cuisses, me dévoilant son sexe glabre.
- Viens ! Mappela-t-elle.
Tout en me parlant, elle écarta ses grandes lèvres, ouvrant sa longue fente humide.
- Viens entre mes jambes mon chéri
Me dit-elle.
Je me suis agenouillé entre ses cuisses, remarquant que Carole mouillait comme une
dingue et à la commissure supérieure de ses lèvres sexuelles, je remarquais une énorme
excroissance rose, que je devinais être son clitoris.
Terriblement excité par le spectacle plutôt obscène que moffrait généreusement
Carole, je mapprochais de cette dernière avec ma bite tendue. Ecartant encore plus
largement lentré de son vagin, Carole minvita à la pénétrer dune voix oppressée.
- Ohhh, oui, mets-la moi, enfonce ta queue dans ma chatte et regarde comme je
louvre bien pour que tu puisses y rentrer. Viens mon chéri, prends-moi
Devant mon hésitation, désireuse dêtre pénétrée sur le champ, Carole se saisit de mon
sexe de ses doigts pour diriger mon gland à lentrée de sa vulve.
Alors je me laissais aller et mallongeais sur elle, je sentis ma verge senfoncer
progressivement dans la chatte de Carole, pour la première fois je faisais lamour et
en plus à une femme qui poussait de petits cris comme une gamine.
Une fois ma queue enfoncée entièrement dans la vulve de Carole, je sentis mes couilles
venir heurter les fesses de ma compagne, qui sans que je comprenne pourquoi se mit à
gémir sans retenue.
Prise dune espèce de frénésie, elle avançait son bassin et relevait ses jambes en les
écartant le plus possible, pour soffrir sous un meilleur angle, me facilitant une
pénétration plus profonde.
Jentamais alors ce mouvement de va et vient, faisant coulisser mon membre lentement
dans les entrailles de mon amante.
- Plus vite ! Gémit soudain Carole
Va plus vite mon chéri
Baise-moi bien à
fond.
Puisquelle me le demandait, jaccélérais alors mon mouvement pour finir par de grands
coups de boutoir qui menfonçaient violemment dans sa chatte de plus en plus
ruisselante.
Plus mes coups de reins se faisaient violents, plus ma compagne se cambrait en
poussant de véritables cris de plaisir. Haletante, elle saccroche à mon cou pour
membrasser avec fougue. Nos langues se caressèrent dans un bain de salive, alors que
ses seins se trouvèrent écrasés par ma poitrine. »
A suivre
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