Désiré Et Gourmet (Partie 3 Et Fin)
Deux semaines se sont écoulées depuis mon dépucelage sans que je reçoive de nouvelles de Désiré. M'a-t-il oublié malgré sa promesse de nouveaux lendemains exaltants ? Il est vrai que le temps me paraît long tant ma nouvelle chatte a été si généreusement ouverte et comblée. Je suis en manque. Je suis en manque de la superbe matraque de mon enculeur, je ressens fortement le désir de ma rosette dont les muscles manifestent de temps à autre le besoin d'être dilatés. Pour me calmer, d'une main je branle ma queue et de l'autre je serre bien fort mon paquet de couilles jusqu'à projeter mon foutre devant moi. Mais, toujours, mon cul réclame...
Un message me parvient enfin, le quinzième jour : « Alors, on s'ennuie de moi ? Viens demain soir, à 21 heures. Il y aura une surprise pour toi. » Le moment venu, tout frétillant, je frappe à la porte de la maison bourgeoise de Désiré. Il m'ouvre, me prend dans ses bras et m'embrasse avec fougue. Je me rends compte que, non seulement ma chatte mais aussi ma bouche ont besoin d'être fouillées par lui. Sa langue saisit la mienne et nous nous enlaçons fougueusement. Il prend mes fesses à pleines mains, je me presse contre lui et caresse sa braguette derrière laquelle son étonnant braquemart bande déjà. Je le malaxe, je serre ses couilles...
Désiré se détache ensuite de moi, me prend par la main et m'entraîne vers le salon. Surprise ! Deux hommes y sont installés, assis sur la banquette de nos premiers ébats, et qui, eux aussi, s'embrassent et se caressent. Désiré m'informe :
Gourmet, mon chéri, voici Jacques et Adrien. Ce sont des amis de longue date. Eux et moi n'avons rien à nous cacher. Mieux, nous nous connaissons intimement depuis quelques années et baisons occasionnellement ensemble. Je leur ai raconté notre première aventure. Curieux et peut-être un peu jaloux de savoir qu'avec toi j'ai gagné une belle femelle, ils ont souhaité te rencontrer. Je les ai invités ce soir...
Que répondre ? Mon amant peut faire de moi ce qu'il veut.
Un deuxième verre et la chaleur monte progressivement dans le salon. Désiré enlève sa veste et m'appelle :
Gourmet, viens me déshabiller !
J'obéis à mon amant et lui retire pull-over, chemise et tee-shirt. L'apparition de ses tétons m'électrise. Je les caresse, je les suce sans me préoccuper de la présence de Jacques et d'Adrien. Désiré procède de même avec moi et nous nous trouvons torses nus, à nous caresser et sucer les seins.
Délace mes chaussures, retire mes chaussettes, défais mon pantalon et mon slip...
Nu, Désiré brandit sa queue à pleines mains, me caresse les joues avec le gland alors que, incapable de résister, j'aspire ses couilles d'une bouche avide. À son tour, il me déshabille entièrement. C'est alors, seulement, que je reprends conscience de la présence de Jacques et d'Adrien. Tous deux n'ont pas attendu un ordre ou un souhait de Désiré pour retirer leurs vêtements, ils sont également nus. Ils bandent. Je vois alors deux mâles normalement proportionnés sauf que... leurs bites sont épaisses et se dressent, longue chacune d'environ 22 à 24 cm, bien agrémentées en couilles et fourrures. Des Désiré « modèles réduits », en quelque sorte...
Je suis maintenant à genoux devant Désiré, toujours assis dans son fauteuil. Je prends son gland en bouche et commence à le sucer quand je sens quatre mains me caresser les épaules, le dos, la poitrine, le ventre, les fesses. Ce sont des frôlements, de la douceur et une sensation très forte de ne plus m'appartenir, de devenir progressivement objet de désir mutuel.
Adrien s'allonge sur le sol, glisse sa tête sous mon abdomen, saisit ma queue et entame une fellation. Mon gland disparaît dans sa bouche, il s'empare de la hampe toute entière et vient buter son nez contre mon pubis, gardant mon sexe en lui pendant quelques secondes avant de le retirer puis de l'absorber à nouveau.
De son côté, mon amant en veut davantage. Stimulé par le jeu d'Adrien, il place ses deux mains sur ma nuque et appuie fortement. Son engin force alors mes mâchoires qui s'ouvrent douloureusement au maximum de leur possibilité. Le dard vient buter contre ma glotte, l'écarte puis pénètre dans ma gorge. Abasourdi, j'ai mal, je suffoque sous une telle pression. La queue de Désiré s'est installée dans ma bouche sur presque la moitié de sa longueur. J'ai du mal à respirer. Tout aussi brusquement que mon empaleur vient de violer ma gorge, je recrache le gourdin, tousse, déglutit et reprend difficilement mon souffle. La douleur s'efface lentement.
Adrien, lui, continue de sucer ma queue. Sous l'effet du viol de ma bouche, je ne me contrôle plus. Sans avertir mon suceur, je jouis sans qu'il interrompe sa fellation et lâche mon sperme. Serrant alors ma bite avec sa langue, il avale ma jouissance, sort le dard de sa bouche et lèche goulûment le gland :
Oh Gourmet, sans le savoir, tu viens de me faire un joli cadeau... Ton jus est délicieux. Doux et épais, ton foutre est un régal... Recharge vite qu'on recommence ! J'adore sucer des queues et avaler. La tienne m'excite !
Devant cette scène, Désiré ne veut pas être en reste :
Maintenant que j'ai transformé ta bouche en un deuxième vagin, ma petite pute, je vais te baiser par là et tu vas aussi avaler ma semence comme Adrien, ce gourmand, vient de te boire !
J'ai à peine le temps de me remettre de ma violente jouissance que Désiré enfonce son braquemart dans ma bouche. Mes mâchoires s'ouvrent avec moins de difficulté que précédemment. J'absorbe la bite aussi profondément que je peux. Elle s'installe au fond de ma gorge. J'ai alors la moitié de la queue de Désiré en moi. Celui-ci marque un temps d'arrêt pour que je m'adapte à cette nouvelle situation puis entame un lent mouvement de va-et-vient entre mes lèvres et le fond de ma gorge.
J'éprouve quelques difficultés à respirer correctement. Mon violeur le remarque qui, entre deux ou trois aller-et-retour, retire entièrement sa queue pour me permettre de reprendre mon souffle puis l'enfonce à nouveau, toujours au plus profond. Le gland bien découpé et le long cylindre chaud aux veines saillantes glissent de mieux en mieux. Je salive abondamment, facilitant une baise qui commence vraiment à me plaire. À chaque temps de cette fellation hors du commun, je goûte un plaisir nouveau : Je ressens l'envahissement de ma bouche comme le cadeau d'une très longue jouissance, une sorte de drogue qui propulse mon esprit au royaume d'incroyables fantasmes. Je suis baisé par la bouche et je me masturbe l'esprit. Outil, machine à baiser entre les mains de mon empaleur, je ferme les yeux et me complais dans un total délire mental.
Jusqu'alors spectateur, Jacques entreprend de se servir également de moi et il précise ses propres attouchements. De mes fesses qu'il n'a cessé de caresser sans trop insister, il progresse vers ma raie culière et s'intéresse à mon illet qu'il caresse et, comme l'a fait Désiré pour me dépuceler, y introduit un doigt mouillé. Entre la queue de Désiré et ce doigt de Jacques, j'oscille davantage d'avant en arrière, tantôt absorbant une queue à pleine gorge, tantôt m'empalant sur un doigt enfoncé bien profond.
Mais j'ai besoin de plus... Ce doigt ne me suffit pas, mon vagin anal a faim... D'une main, je saisis celle de Jacques qui me caresse la rondelle pour la pousser davantage dans mon fondement, tentant ainsi de lui faire comprendre que je veux plus qu'un doigt en moi. Il m'enfonce alors trois puis quatre doigts dans la chatte. Déjà bien lubrifiée par la salive du nouvel enculeur, elle les accueille sans broncher. Mieux, elle baille davantage, s'élargit avec souplesse, et Jacques me ramone délicieusement.
Jacques retire ses doigts et les remplace par sa bite.
Woahhh... Je m'y suis mis d'un coup. Un vrai trou d'enfer ! Gourmet, tu es vraiment une bonne affaire, une vraie salope bien ouverte... Je vais t'en mettre plein la chatte !... Désiré m'a raconté qu'il avait pu rentrer ses couilles avec sa bite dans ton cul. Je vais en faire autant. Tiens, tiens, ma salope, les voici... Je te bourre à fond !
Je sens bien pénétrer les deux boules de Jacques en moi. Son pubis tape contre mes fesses. Nos poils sont mêlés et je mouille du cul à n'en plus finir. C'est divin ! Il me ramone à une cadence folle quand Désiré, lui, se complaît dans ma bouche qu'il occupe à petite cadence, sans se presser. Il s'adresse à mon nouvel enculeur :
Je te l'avais bien dit Jacques que tu n'allais pas perdre ta soirée, ce Gourmet est une bonne machine à baiser. J'en ai fait une femelle à deux chattes et il va tellement aimer ça qu'il ne saura plus supporter une seule queue en lui... Il lui en faudra toujours au moins deux... Grâce à moi, il est devenu une super salope... À nous de savoir bien en profiter !
Adrien regarde, savoure la vision de mon double enfilage. Assis dans le canapé, Désiré me bourre la bouche pendant que Jacques, à genoux derrière moi, m'enfile sa bite jusqu'à la garde. Entre les deux, je pousse mes lèvres vers le pubis de Désiré tout en tendant ma croupe au-devant des coups de boutoir de Jacques. Ce plaisir de voyeur ne dure qu'un temps et Adrien s'agite :
Hé Jacques ! Fais-moi une petite place à côté de toi. Moi aussi, j'ai envie de baiser Gourmet. Si son cul est aussi bon que son foutre est délicieux, j'en veux... Je veux l'enculer...
Désiré est hilare. Il retire son dard de ma bouche, quitte le canapé et s'accroupit, face à moi. Je ne quitte pas ma position initiale et il reprend ma bouche. Jacques se retire de ma chatte et se place sous moi, visage contre visage, alors qu'Adrien s'installe à califourchon au-dessus de ma croupe. J'ai compris : Ils veulent m'enculer ensemble !
Gourmet, tu nous appartiens à tous les trois ! Nous devenons le trio des baiseurs-enculeurs de la meilleure salope que nous connaissions. Tu es grande ouverte pour trois bonnes queues... Tu vas en prendre jusqu'à demander grâce...
Jacques saisit ma taille et m'installe sur sa queue, face à lui. Le pieu me pénètre complètement et ne bouge plus. Je suis assis sur deux cuisses solides, totalement empalé. C'est alors qu'Adrien tente de forcer mon ouverture pour rejoindre la verge de Jacques dans ma grotte. Il appuie sur mon dos pour me faire tendre ma croupe un peu plus vers lui, ce que je fais en demeurant assis sur Jacques. Il insère son gland le long de la tige de son compère puis le pousse pour qu'il se fraie un passage entre cette verge et ma paroi.
Une nouvelle sensation me saisit. L'épaisseur de ces deux braquemarts en fait une matraque un peu plus large que le seul pénis de Désiré. Mais mon illet est si dilaté et si lubrifié par le désir et l'envahissement de Jacques que, centimètre par centimètre, la queue d'Adrien finit par s'insinuer pour s'installer, elle aussi, entièrement dans ma chatte. Je suis maintenant possédé par une double queue. L'impression est saisissante : avec l'étonnante pine de Désiré au fond de la gorge et deux bites de beaux calibres dans le cul, je me sens rempli au sens entier du mot. Je ne m'appartiens plus, je suis devenu une sorte d'immense vagin, une chatte de la tête au fondement. Ma bouche et mon cul sont, désormais, des réceptacles à foutre...
Alors, Jacques et Adrien entament une merveilleuse enculade. Ils alternent les va-et-viens de leurs membres. L'un se retire partiellement quand l'autre entre à fond et inversement. Ils le font sans se presser, sûrs de leur possession. Et moi, je poursuis ma fellation, la queue de Désiré bien tendue jusqu'au fond de ma gorge. Je peux à peine gémir du plaisir fou qui me saisit tant j'ai surtout besoin de reprendre ma respiration après chaque poussée de Désiré.
Celui-ci baise ma bouche depuis environ une demi-heure quand je sens brusquement son chibre durcir davantage. Et Désiré crie :
Ouuiii... Ouuuiii... Ça vient... Je vais cracher mon foutre... Je vais enfin jouir dans la bouche de ma petite femelle... Je vais la remplir de mon nectar... Hein, ma salope, tu vas me boire ?... Tu vas déguster ma jouissance ?
La bouche envahie, je ne peux pas répondre. Je hoche la tête pour lui faire comprendre qu'il peut y aller, qu'il peut jouir en moi. Alors, mon amant plante sa queue au plus loin qu'il puisse dans ma gorge, presse ma nuque cotre lui et, vibrant de jouissance, crache son foutre en longues saccades. Je n'ai pas le choix, j'avale le sperme à chaque projection. J'ai l'impression que Désiré ne va pas s'arrêter de m'inonder tant il jouit... Enfin, il se retire, la bite encore raide. Moi, ému par son offrande, devenu gourmand de son foutre, je m'empare du son merveilleux gland pour le nettoyer à pleine langue. Je lèche sa grande queue jusqu'aux couilles.
Désiré se recule alors que j'ai encore envie de sentir son engin dans ma bouche. Ça le fait rire :
Alors mon petit Gourmet, tu es devenu accro à la baise buccale ? Tu es devenu une femelle goûteuse de foutre ?... Quelle bonne salope tu fais... Je n'aurai bientôt plus grand'chose à t'apprendre... Tu es tellement doué !
Il ne sait pas si bien dire car, si mes deux enculeurs n'ont pas interrompu et poursuivent leurs investigations dans ma chatte, ma bouche libérée, je peux davantage me donner à eux. Et, pour leur prouver qu'ils me procurent un plaisir fou, je viens embrasser Jacques à pleine bouche et ondule mon bassin au rythme de leurs va-et-viens. Je les sens complètement au fond de moi, c'est géant ! Quittant un instant la bouche que j'explore, je leur crie :
Mes doux enculeurs, entrez et sortez maintenant ensemble, je veux sentir une seule et grosse queue me défoncer... Allez-y, baisez... Baisez-moi jusqu'à n'en plus pouvoir... Mais, évitez de cracher dans ma chatte, je veux vous boire... Je veux déguster votre foutre comme je viens de me régaler de celui de Désiré...
Les deux compères sont surpris par tant de gourmandise :
Tiens... Tiens... Bonne salope, prends-en de la queue... Assied-toi bien sur nos engins, enfonce-toi jusqu'aux couilles. Allez, vas-y, monte et descend... Nous te dirons d'arrêter le moment venu... Encule-toi... Défonce-toi... Chevauche-nous !
Pour être le plus loin possible dans ma chatte, Adrien plie les genoux, colle son ventre contre mes fesses et Jacques soulève son bassin. C'est à moi, maintenant, de donner la cadence et je me déchaîne sur leurs membres. Les queues sortent et rentrent à un rythme soutenu. Je suis en plein délire, tant mon double enculage me procure de jouissances cérébrale et physique... Mon rectum savoure, le mot est faible, ces incessants glissements chauds et puissants le long de ses parois. Sollicitée au maximum, ma prostate risque bientôt de me faire jouir à nouveau.
Adrien saisit une poignée de mes cheveux et tire ma tête qu'il maintient en arrière comme s'il tenait la crinière d'une jument en plein chevauchement... Je suis une bête de baise... Je suis un superbe animal monté par deux fougueux cavaliers... Cette nouvelle position, le corps arqué, m'oblige a cesser mon va-et-vient. Qu'à cela ne tienne, les deux gaillards prennent le relais et maintiennent la cadence. Ils entrent et sortent sans problème. Jacques en profite pour saisir mes tétons et les travailler de ses doigts bien humides. C'est l'extase !
Tu prends ton pied, belle salope, hein ?...
Oui... Oui... Enculez-moi bien profond... Vous êtes de vraies machines à baiser... Vous me remplissez complètement... Vous allez me faire jouir...
Ceci à peine dit, je me répands à grands jets sur le ventre et sur la poitrine de Jacques. De la tête aux pieds, mon corps vibre. Je suffoque d'émotion et de plaisir. Jacques et Adrien se retirent alors de ma chatte béante. Maintenant couché sur le dos, je les regarde se masturber au-dessus de ma bouche bien ouverte dans l'attente de leurs précieux nectars.
Au même moment, revenue dans ses plus belles dimensions, la bite de Désiré s'enfonce dans ma chatte qu'il ramone avec entrain.
Tu m'excites tellement ma petite pute ! Tiens... Tiens... Encaisse mes coups de boutoir... T'en voici encore plein le cul... Et j'y entre à nouveau mon gros paquet pour mieux combler ta grotte... Tu es si ouverte que je pourrais même y ajouter une main... Ah ma salope chérie !
L'intervention de Désiré stimule les deux branleurs qui crachent ensemble leur foutre sur mon visage, sur ma poitrine. Ma bouche en reçoit une large part que j'avale goulûment, avec appétit. Des deux mains, je me masse les seins avec le sperme répandu sur la poitrine. Je titille les tétons tout bandants et je projette mon bassin au-devant des coups de boutoir de mon amant. Queue et couilles stimulent ma rosette. Bien écarté, mon vagin aspire ce gros paquet d'enculeur. Pour éprouver davantage de sensations, mon fouteur place alors mes jambes sur ses épaules. Ainsi, il ne perd pas un millimètre de mes profondeurs et, à chaque pénétration, vient buter son pubis bien velu contre mes couilles.
Je vais t'en mettre plein, une fois de plus ma salope...
Mon nouvel enculage est un spectacle dont profitent Jacques et Adrien qui n'en perdent pas une image. Pendant que Désiré me baise, ils s'embrassent et se caressent tous deux avec entrain. Et puis, arrive ce qui doit arriver : Désiré jouit dans mon cul. Et il hurle son plaisir :
Voilà pour toi ma salope... Prends tout dans le cul !... Je t'en donne plein... Comme une femelle, prends ma semence dans ta chatte... Tu es la reine des baiseuses, des enculées... Maintenant, tu nous appartiens à tous les trois... Tu es notre bête à plaisir, notre machine à jouir...
Oh oui, mon chéri ! Je suis à vous ! Baisez-moi quand vous voulez, comme vous voulez... Servez-vous de moi... Ma bouche, ma chatte, tout vous appartient...
Le lendemain, après une bonne demi-journée de repos, nous avons recommencé. Désiré, Jacques, Adrien et moi avons baisé ensemble pendant quelques années au cours desquelles nous avons organisé plusieurs gang-bangs avec d'autres grosses queues. Nous recherchions surtout des bites de noirs, énormes et endurantes, dont je suis devenu accroc. Tout le monde a bien profité de mes ouvertures, j'ai été ainsi la femelle d'une bonne centaine de baiseurs. Ces souvenirs m'émoustillent toujours, en m'y plongeant je me branle et me sodomise régulièrement avec un gode géant.
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