Belle Découverte
Cest la première fois que je venais dans un sauna. Après un déshabillage dans la
pièce servant de vestiaire et une douche, seul pour le moment, je me retrouvais à me
promener dans les couloirs, vêtu de ma seule serviette serrée à la taille. Je
parcourais ainsi les différentes salles; le sauna, le hammam, les quelques pièces pour
le moment désertes puis arrivais dans une petite salle sombre, presque dépourvue de
meubles mais où trônait une croix de Saint André en bois fixée sur lun des murs.
Comme personne nétait à lhorizon, je me suis approché, ai touché le bois et me suis
plaqué contre lui, en position, écartant bras et jambes.
« Tu es tenté ? » dit une voix derrière moi. Je me retournais un peu gêné, découvrant
un homme, la soixantaine, beau, vêtu également dune simple serviette et qui me
souriait. Je me sentis rougir en répondant « Oui, un peu
». « Enlève ta serviette, tu
vas voir ce que ça fait » dit-il. Joignant le geste à la parole, il me poussa
doucement contre la croix, levant mes bras, attachant mes poignets et faisant tomber
la serviette à terre. Sans défense, je nosais bouger, il en profita pour écarter mes
jambes et fixer mes chevilles. Je me retrouvais donc dans cette position
inconfortable, offert aux caprices dun homme que je ne connaissais pas, dans un lieu
que je croyais désert.
« Ca te tente vraiment ? Jarrête quand tu veux » dit-il pour me rassurer. Le cur
battant à tout rompre, je répondis un « oui » timide.
« On va commencer soft, alors ». Tout de suite je sentis sa main sabattre sur mes
fesses, une fois, puis deux, puis trois, pas trop fort mais avec un beau claquement. «
Je continue ? ». Comme je ne répondais rien, il senhardit et continua son uvre :
quatre, cinq, six
Je sentais la chaleur monter sur ma peau et sans les voir, je
sentais mes fesses rougir.
me faisaient tendre mon postérieur vers lui, et il continuait.
« Il y a de lanimation par ici ! », une autre voix. Ils étaient maintenant deux à me
voir dans cette position ! « Je peux aussi ? ». Je narrivais toujours pas à articuler
un mot, il comprit que je ny étais pas opposé. Cest une autre main qui sabattit,
plus ferme, plus grande et calleuse aussi, continuant luvre déjà commencée.
Jugeant sans doute que mon derrière avait atteint la couleur souhaitée, ils se sont
arrêtés. Des caresses appuyées ont succédé aux claques. Des mains prenaient possession
de mon corps offert, passant des fesses à ma queue que je sentais durcir sous la
caresse. Puis un doigt simmisça entre les globes rougis et commença à me masser la
rondelle. Je sentis un souffle dans mon cou. « Tu as envie comme ça ? ». Je hochais la
tête. Je sentis un peu de froid sur ma rondelle, un doigt enduit de gel qui poussait
légèrement pour rentrer. Il fit vite son passage, rejoint par un autre doigt qui me
fouillait et écartait le sphincter. Cela dura un temps indéfinissable.
« Je passe le premier, tu es plus gros que moi, je ferai le passage ». Je sentis le
membre de mon premier fesseur appuyer sur mon anus, dune pression plus forte, il
passa la barrière et continua sa progression lentement jusquà me remplir. Il commença
alors ses va-et-vient. La chaleur sur mes fesses et celle que procurait le frottement
de sa queue me firent pousser des gémissements. Sans doute encouragé, il accéléra la
cadence. Jétais comme collé à cette croix. Il poussa un grognement puis se retira
dun coup.
« A ton tour ! ». Le deuxième homme que je navais pas encore vu, se positionna et
pénétra doucement dabord pour faire rentrer son gland, puis dun coup qui me fit
sursauter et gémir. Il sarrêta un moment puis entreprit de me pilonner lentement puis
en accélérant.
ventre en feu me faisait pousser des petits cris. Je me sentais tellement salope,
ainsi offert à des inconnus, mais tellement possédé que jen oubliais la honte. Cela
dura un temps que je ne peux définir avant quil pousse à son tour un gémissement et
se retire. Jétais exténué.
« Je te détache » dit mon premier fesseur. Je me retrouvais ainsi libre de mes
mouvements mais sans pouvoir bouger. Il me fallut quelques minutes pour reprendre mes
esprits. Il ny avait plus personne dans la pièce. Je reprenais ma serviette, la
nouant autour de ma taille, et me dirigeais vers la douche. Je me rhabillais sans
rencontrer personne. En me dirigeant vers la sortie, je passais devant le bar où
étaient accoudés 5 personnes : mon fesseur, celui que javais vu à mon entrée, un plus
vieux et deux jeunes.
« La prochaine fois on essayera le martinet ! » me dit mon fesseur, déclenchant ainsi
un sourire pervers sur le visage des autres.
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