Retour De Vacances

Ceci est le premier récit que je publie soyez donc indulgents.

Les vacances sont finies et je viens de rentrer chez moi après plusieurs heures de train, il est 21h. J'ai envie de le voir, mais je sais que ce n'est pas possible pour le moment, sa copine est avec lui et de plus, mon copain arrive demain. Je range mes affaires et repense à mes quelques jours de repos mais très vite je ne peux m’empêcher de penser à lui. Il faut dire qu'il est le seul à qui je fais confiance, le seul qui me comprennes, le seul qui ne m'abandonnera jamais. Tout m’attire vers lui ses mains, sa peau, ses yeux marrons intenses, chaque traits de son visage. Il me fait rire comme personne et on peut parler de tout. Je me sens défaillir rien que d'y penser, rien que de penser à lui.

Mes affaires sont rangées et je file sous la douche. L'eau brûlante me fait du bien et je décide d'y rester jusqu'à ce que chaque partie de mon corps soit détendu. Je repart dans ma chambre enroulée dans ma serviette, mes cheveux encore humides laissent échapper quelques gouttes qui perlent sur mes épaules et le long de ma colonne vertébrale. Je choisi de mettre une nuisette en soie noire qui met bien en valeur ma poitrine et un boxer en dentelle noir également.

J'att mon ordinateur et me mets dans mon lit pour regarder un film. Tout à coup mon portable vibre c'est lui -Tu fais quoi maintenant ? - Rien pourquoi ? La sonnerie de mon appartement résonne, je sursaute, att un gilet pour me couvrir et me lève pour aller ouvrir la porte , il se tient là devant moi. Je me fige étonnée.
- Tu n'es pas censé être avec madame ?
- Changement de plan.

Il me sourit et rentre poser ses affaires dans le salon comme d'habitude. Me fait la bise, je lui offre un bière et on se met à discuter de nos vacances respectives. Il faut dire qu'on est des meilleurs amis avant d'être des amants et qu'on a toujours eu un assez mauvais timing.

Je mets à bailler la fatigue du voyage.
- On va aller se caler devant la TV avant que ta mâchoire ne se décroche, j'ai quelques films sympas.
- D'accord c'est pas de refus

On s'allonge il place l'ordinateur sur ses jambes et je pose ma tête sur son torse , il se met à me caresser les cheveux, j'adore ça. On regarde le film comme ça. Petit à petit ses mains caressent mon visage, ma nuque mes épaules au fur et à mesure que je film touche à sa fin. Il sait pertinemment que j'ai la peau ultra sensible très vite j'ai de légers spasmes incontrôlables mon souffle s'accélère.

Il ferme l'ordinateur et se rallonge auprès de moi. Je me mets à lui caresser les cheveux, son visage ses lèvres. Ses mains sur ma peau me rendent folle, je ne peux pas lutter. Je lui embrasse le cou, la mâchoire et finalement non sans hésitation je l'embrasse. Il me rend mon baiser avec passion. La machine est lancée.
Mon corps est incandescent je lui mordille les lèvres et me mets sur lui, son souffle est de plus en plus rapide ça m'encourage. Je n'ai pas confiance en moi mais avec lui tout change, je me sens épanouie, capable de tout juste pour le rendre heureux. Je lui embrasse le torse et descend plus bas, il est en pleine érection. Je le caresse au dessus de ses vêtements puis glisse ma main dessous il pousse un gémissement comme si c'était une délivrance. Je lui masse lentement le gland avant de commencer des va et vient de plus en plus long. Je finis par lui enlever ses vêtements et met son sexe dans ma bouche, je passe ma langue sur toute la longueur de son sexe et finis par m'attarder sur son gland. J'entame des va et vient de plus en plus rapides et profond, ses muscles se crispent et son souffle s'accélère

- "hmmm c'est vraiment génial hannn t'es une pro."
Je n'aime pas les compliments et avant que je ne proteste il m’att les cheveux.A croire qu'il avait deviné mes intentions. Il m'impose maintenant sont rythme, et j'enchaine les gorges profondes. J'ai du mal à respirer mais je tiens, j'aime ça quand il prend les commandes. Il tire sur mes cheveux pour me faire remonter au niveau de son visage et m'embrasse longuement enlève ma nuisette, avant de se mettre sur moi. Il caresse mes cuisses, toutes les parties de mon corps qui lui sont accessibles et en même temps m'embrasse dans le cou et les seins. Je ne sais pas comment il fait pour avoir les mains si douces, il pince un de mes tétons entre ces doigts ce qui me fait gémir. J'aime sentir son souffle sur moi. Une de ses mains glisse sur mes seins en caressant mes cotes, mes hanches et continue son chemin dans l'intérieur de mes cuisses.

Il m'enlève lentement mon boxer. Je mouille tellement qu'il rentre un doigt sans aucun problème, puis deux. Je me cambre involontairement il commence à descendre parsemant mon corps de baisers. J'essaye de l'en empêcher il lève la tête :
-Détends toi et laisse toi faire.

Sa voix est douce mais s'impose comme un ordre. Je tente donc de me détendre tandis qu'il continu le va et vient avec ses doigts. Il les retires et entame un long cunni, mes muscles se crispent contre ma volonté je ne contrôle plus mon souffle mon cerveau va exploser, j'arrive cependant à lâcher une phrase : - Pitié j'en peux plus... prend moi..

A cet instant je voulais juste le sentir en moi comme si on ne faisait qu'un, que la nuit ne se finirait jamais. Il se mit sur moi, son corps m'écrasait, sa peau était brûlante, il s'introduisit en moi sans aucune difficulté. Je lâchais un long soupir, c'était vraiment une délivrance. J'étais à cet instant une juncky qui venait d'avoir sa dose. Il commença par de longs va et vient et je ne pu m’empêcher de planter mes ongles dans son dos, je voulais le sentir sur moi, en moi. La cadence accéléra c'était de plus en plus profond, plus intense. Il s’arrêta et me mit sur lui, il posa ses mains sur mes hanches et m'indiqua le rythme qu'il souhaitait, mon corps ondulait de plus en plus rapidement . Il me caressait les seins les cuisses, trop de sensations, cette chaleur, son odeur, son souffle. Il posa son pouce sur mon clitoris et commença un léger mouvement circulaire. Je m’arrêtais c'était trop, j'étais au bord de l'explosion.
- Continue, vas y... allez..."

Ses mots étaient comme du miel à mes oreilles, il reposa ses mains sur mes hanches et je repris la cadence, il replaça son pouce et toujours d'une main m'imposait le rythme. Il ne fallut pas beaucoup de temps avant qu'un orgasme me submerge. Tout mes muscles sont tendus si bien que ça en est presque douloureux. Mais je n'ai pas le temps de m'en remettre que je suis en levrette, la tête contre le matelas cambrée à mon maximum, offerte. Il me prend cette fois sans ménagement, j'enfouis ma tête dans un oreiller pour crier autant que je le voulais. Son souffle s'accélère ses mains agrippent mes hanches fermement. Je commence à paniquer je sens un autre orgasme arriver, j'ai envie de tout stopper mais je résiste. Il va de plus en plus vite, plus je gémis plus il prend du plaisir. J'ai un deuxième orgasme encore plus intense et au même moment tout son corps se crispe. Je le sens venir en moi. Une fois fini, je m’effondre misérablement comme si toute ma force s'était envolée, j'étais vidée et tremblais encore de spasme.

Il me prit dans ses bras et recommence à me caresser les cheveux jusqu'à ce que mon souffle redevienne normal, il m'embrasse tendrement et me serre ans ses bras et me susurre :

"J'aimerais que cet instant ne s'arrête jamais..."
"Moi aussi mais la réalité est encore loin alors profitons."
Il dépose un dernier baiser sur mon front et nous nous endormons dans les bras l'un de l'autre.