A La Découverte De Plaisirs Nouveaux (3)
Arrivé au rocher, il lescalada sans hésiter. Je pus ainsi admirer sa jolie paire de fesses, pas trop musclées, mais bien dodues. Je remarquais aussi quil était bien bronzé et sans trace de maillot. Arrivé en haut, il se tourna vers moi et leva les bras en signe de victoire. Je pus ainsi admirer lautre face. Un point de vue intéressant : moi avec la tête au ras de leau et lui debout un mètre environ au-dessus. Il avait deux grosses couilles suspendues assez bas. Sa belle queue, assez épaisse, qui pendait à la même hauteur que ses testicules. Une jolie bite comme jaime en mater !
- Alors tu montes ou quoi ? Lança-t-il ?
- Ben
Heu
Je suis à poils tu sais !
- Mauvaise réponse ! Moi aussi je suis à poils ! Et tout à lheure tavais moins lair gêné !
- Oui mais je pensais que personne ne me voyait !
- Arrête tes conneries et monte !
Je me décide enfin à monter. En fait, je ne sais pas pourquoi je nai pas voulu le faire plutôt. Je commençais à grimper sur le rocher quand il attrapa ma main droite pour maider. Nous voilà debout tous les deux sur le rocher, la queue à lair.
- Moi cest Jérôme. Et toi ?
- Julien.
- Content de te connaître Julien.
- Moi aussi.
Je lui proposais de sasseoir sur le plat du rocher. Nous avons discuté quelques minutes en regardant la mer. Jai appris quhabituellement, il passait ses vacances dans le sud de la France et se rendait souvent sur les plages naturistes. Ce qui expliquait son beau bronzage intégral et son absence de gêne à se retrouver ensemble complètement nu. Il était ici en vacances avec des amis après sêtre séparé de sa copine.
Tout en discutant, je lai reluqué discrètement, mattardant plusieurs fois sur son entrejambe. Et lui, en faisait autant, mais naturellement, sans se cacher. Sentant un début dérection et un peu gêné, je replongeai dans leau. Il me suivi aussitôt. Sur la plage une dame promenait son chien.
- Le premier sur la plage !
- Tas perdu davance Julien.
Parti avant lui, javais une longueur davance sur Jérôme qui navait pas lintention den rester là. Il mattrapa le pied, puis la jambe.
- Tu crois que tu vas ten sortir comme ça et me larguer ?
Nous ne nagions plus. Jérôme essayait de remonter ses mains sur mon corps de passer devant moi. Cétait devenu un amical combat. Nos mains sagrippaient, nos corps se frôlaient. Nous navancions plus. Sa main toucha ma queue sans sy attarder, jattrapai ses fesses, nos bites se croisèrent. Tout cela se faisait naturellement, mais était très excitant. Et cela commençait à se voir, du moins en ce qui me concerne.
Je réussis à me dégager et à reprendre la course vers la plage. Arrivé au bord, javais heureusement débandé. Je remontais sur le sable et maffalais sur le dos à côté de nos vêtements. Etre à poils et que quelquun puisse le voir ne me dérangeait plus du tout.
Jérôme arriva une seconde plus tard, mais ne voulant pas en rester là, il attrapa les vêtements et se mit à courir. Je le suivi et le rattrapais quelques mètres plus loin. Une nouvelle lutte amicale eu lieu sur le sable. Je sentais à nouveau ma queue prendre du volume. Je voyais bien que celle de Jérôme gonflait aussi.
Jérôme finit par mimmobiliser. Assis à califourchon sur moi, il tenait mes bras ouverts en croix. Avec ses pieds, il bloquait mes jambes écartées. Comble de tout, il avait les fesses posées sur ma bite maintenant bien bandée, tandis que la sienne, que je voyais en gros plan, pendait sur mon ventre. Cétait une position assez embarrassante mais au combien existante ! Cest certain, il doit bien sentir ma matraque entre ses fesses, mais faisait comme si de rien nétait. Il me maintenait fermement, impossible déchapper à son emprise. On se regarda droit les yeux, et je vis dans son regard quelque chose de malicieux.
- Tu mas mis dans une drôle de position, vachement excitante ! Je te bandais au cul !
En disant ces mots, je ne me reconnaissais pas. Quest-ce qui me prend ?
- Ca ne me gêne pas, me répondit-il. Cest pas désagréable !
Il se pencha vers mon visage et me roula goulûment une pelle. Il releva la tête et me regarda dans les yeux. Il avait un regard pétillant. Quant à moi, je ne pensais plus à rien, jétais comme sur un nuage. Je profitais quil avait relâché son étreinte pour nous faire rouler sur le côté. Cest maintenant moi qui était au-dessus et qui maintenait ses bras et ses jambes écartés, les fesses posées sur sa queue que je sentais super bien bandée aussi. Je lembrassais à mon tour à pleine bouche. Nos langues sentremêlèrent.
Des faibles aboiements nous ramenèrent à la réalité. La dame au chien revenait vers nous. Un peu honteux de notre état, nous avons rapidement regroupé nos vêtements, les avons jeté près du reste de nos affaires et nous sommes replongés dans leau.
Nous nagions lentement pour nous éloigner vers le large.
- Ca va ? me demanda Jérôme.
- Oui oui, jatterris !
- Je ne sais pas ce quil ma pris
- Ne texcuse pas ! Je crois que jai un peu apprécié.
- Tant mieux parce que moi, ça ma plu vachement !
- Jérôme ? Tu es « homo » ?
- Mais non ! Je te dis que je ne sais pas ce quil ma pris. Et toi ?
- Pas du tout ! Et pourtant, ce quil vient de se passer ma aussi beaucoup plu. Je ne comprends plus !
Nous étions arrivés près du petit amas rocheux. Nous sommes montés sur un petit rocher plat un peu caché de la plage. Nous étions assis là, les pieds dans leau. Il devrait être maintenant environ sept heures moins le quart. La plage était toujours déserte.
La petite traversée à la nage nayant pas fait baisser lexcitation, nos queues étaient toujours bien dressées. Nous ne disions mot. Jadmirais le corps bronzé de Jérôme, et surtout sa bite et ses grosses couilles.
- Tes pas mal monté ! Tas une jolie bite et de grosses couilles.
- Jaime bien la tienne aussi. Elles doivent avoir à peu près la même taille, non ?
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!