La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 169)
Histoire écrite par esclaveEmelineMDE (suite de l'épisode 160 : Une balade en montagne suisse)
Je ferme les yeux dépuisement, je voudrais dormir. Mais je sais que Vous, mon Maître, avez dautre projet pour moi ce soir. Alors je me force à rester éveillée. Vous me faîtes redresser, et Vous mexpliquez que Vous avez faim. Aussitôt je me précipite dans la cuisine. Je ne peux que Vous cuisiner vraiment simplement. Car ici, la simplicité est de mise. Le temps de sortir prendre les légumes dans la cave que je rentre gelée. En effet, il a cessé de neiger, le ciel séclaircit alors le temps se rafraîchit encore un peu plus. Je commence par me réjouir car cela signifie que demain il fera beau. Pourtant toutes les traces de chamois que jai vu dans la neige descendent et ils ne le font que si une grosse tempête se prépare. Mais le ciel est de plus en plus bleu
Alors donc, jai dû me tromper, les signes de la nature que la montagne nous adresse ne trompe pourtant pas ...
La soupe est vite prête suivie dun excellent fromage suisse accompagné de vin aussi de la région. Et en dessert, une fondue au chocolat Vous attend. Il me fallait Vous faire découvrir les produis régionaux. Jai passé la soirée à genoux devant Vous. Vous me dictez régulièrement des positions que je devais prendre et tenir jusquà ce que Vous me fassiez changer de position. Parfois elles étaient simples, dautres douloureuses, dautres encore demandaient une grande musculature. Mes muscles me tiraient, je sentais trembler, javais envie de me laisser aller au repos. Mais Vous continuez à me donner des ordres. Jusquà ce que je me retrouve dans lincapacité à tenir la dernière position imposée. Je tombe. Vous Vous levez, et Vous Vous approchez de moi. Vous me faites lever, et me positionnez sur la table pour que tout mon dos, et mes fesses Vous soient facilement accessible. Puis Vous prenez la boite que Vous mavez fait porter. Vous louvrez tout près de ma tête.
- Tu es tombée, tu nas pas tenu, tu mas désobéis salope. Tu mérites une punition. Mais surtout pas un mot, à part si cest pour faire un remerciement
Puis Vous Vous redressez dans la foulée Vous prenez un objet de mon dos que Vous menfoncez sans préambule mais doucement dans lanus. Cest un plug mais il ne fut pas gigantesque mais néanmoins je le sentis fortement, il me remplit amplement, étant encore assez étroite. Puis ce fut le deuxième objet que Vous utilisez pour me caresser les épaules, le dos, les fesses jusquà la cuisse. Je sentis les lanières de cuir me caresser. Puis tout dun coup, Vous avez complètement arrêté tout contact quel quil soit avec mon corps. Je ne Vous sentais pas, je ne Vous voyais pas, je ne vous entendais pas. Je ne peux pas dire si Vous mavez fait attendre longtemps, mais jai eu limpression que le temps sétirait à léternité. Je Vous savais pas loin, mais sans la sensation de Votre présence, je me sentais perdue. Enfin pour mon plus grand plaisir le premier coup sabattit sur mes fesses, la douleur était vive. Mais je Vous fis un remerciement sincère. Les coups senchaînaient tout comme mes remerciements, je ne comptais pas car je savais que Vous men donnerez le nombre exact que je méritais.
Je me réveillai en sursaut. Un peu étonnée, ma première pensée fut que Vous êtes un expert car malgré la correction au fouet dhier, je ne ressentais quasi aucune douleur. Ensuite un regard par la fenêtre mindiqua que le soleil nétait pas encore levé, mais que les animaux avaient plus raison que les hommes, la tempête semblait se lever ! Un grésillement retentis et je bondis, cétait la radio, ça devait être ça qui ma réveillée. Sans me lever complètement, je la pris et baissa le son pour ne pas Vous réveiller. Néanmoins jécoutais très attentivement. Jappris rapidement que cétait trois cordées (enfin je crois) qui étaient partis faire lascension du Mont-Blanc et qui sétaient fait prendre dans la tempête. Pour une raison que je ne connaissais pas encore, ils leur semblaient impossible de redescendre. Mon cerveau se mit en branle très rapidement. Ma radio était branchée sur les ondes courtes, ça signifiait que les montagnards ne devaient pas être très loin du refuge lequel je me trouvais avec mon Maître.
Je ne sais comment réagir. Je ne peux laisser ces hommes dehors surtout que la neige semble continuer à tomber de plus en plus intensément. Et en même temps je ne peux les inviter sans Votre autorisation mais je me refuse de Vous réveiller et je sais que je dois décider vite, sinon ils risqueraient de sortir de la portée des ondes courtes de ma radio. Je me lève, détache ma laisse, att la radio et descend dun étage. Je me mets de leau à chauffer, rallume le feu en attendant quils arrêtent de parler et libèrent la fréquence. Enfin je parviens à les contacter. Ils me répondent rapidement et heureusement quils sont équipés dun GPS. Je nai plus quà leur donner la longitude et la latitude de la cabane refuge pour quils puissent la trouver et se mettre au plus vite à labri de la tempête qui ne tardera pas à suivre après les fortes chutes de neige. Voila cest fait, je leur ai donné les bonnes coordonnées. Ils ont encore une bonne heure de marche car le vent et la neige ralentissent énormément leur progression, mais au moins ils savent où aller pour se mettre à labri des intempéries meurtrières de la montagne. Je frissonne en pensant à la chance quils ont eut. La priorité de sauver des vies est plus quun devoir. Si ma radio était réglée sur un autre canal, si je métais pas réveillée
La montagne, si belle et pourtant tellement impardonnable, naurait fait quune bouché deux. Les souvenirs remontent, tous chez nous ont perdu des amis, collèges lors davalanches, et moi personnellement, jy ai laissé des jeunes perdus, dans ces faces blanches, prisonniers dune terrible tempête de neige
La préparation dun grand déjeuner et dun énorme pot de café, ces gestes quotidiens me calment lentement. Je me faut maintenant Vous avertir de larrivée de ces hommes perdus et encordés dans le froid. Un regard sur la pendule qui indique 6h30 pourtant la tempête donne limpression dêtre encore plus tôt.
Je Vous explique dune petite voix, la tête et les yeux baissés, la situation mais Vous ne me répondez pas. Puis Vous prononcez simplement ces quelques mots :
- Fais-moi jouir avec ta bouche ma petite chienne, pendant que je réfléchis. Et noublie pas applique toi !
Je Vous prends tendrement en bouche, je mapplique, je voudrais par cette caresse Vous faire ressentir tout mon Amour, toute ma Reconnaissance. Ma tête montait et descendait avec un rythme adéquat et enfin jeu limmense honneur de recevoir Votre semence, je savais que cela allait être le seul déjeuner que jaurais. Puis toute en Vous gardant en bouche, toute en Vous nettoyant de ma langue, Vous me dites :
- Ecoute moi ma chienne, tu as bien fait de porter secours à ces 3 cordées, on ne laisse pas les gens sans aide quand ils sagit de sauver des hommes dun mort certaine. Javais prévu de mamuser avec toi toute la journée, de tutiliser comme bon me semble. Et je refuse de ne pas pouvoir le faire. Tu resteras ici ainsi, Je les recevrai, leur parlerai et selon comme je tappellerai, tu sauras comment tu devras descendre !
Je savais que Vous nétiez pas en colère contre moi, Vous le Grand Humaniste Philanthrope, mais que vous désirez tirer parti de la situation et je sais que je peux Vous faire confiance pour préserver ma santé physique et mentale. Et quoi quil doit se passer Vous serez là pour me soutenir. Alors je hochai la tête en silence. Et Votre main toujours à la même place se fit plus caressante. Nous sommes restés ainsi un long moment, moi à genoux aux pieds de Votre lit et Vous couché sur le dos Votre bras replié derrière la tête et lautre main me caressant le cou, le dos, mes seins, sattardant sur mes tétons...
Des voix dhommes raisonnaient dans le silence de laube, Vous Vous levez et Vous Vous habillez pour descendre au rez-de-chaussée, tandis que je reste là selon Vos ordres, totalement immobile. Puis le bruit des skis posés contre le bois, les voix masculines qui se plaignent, dautre qui rient du bonheur de trouver refuge. Jessaie de compter le nombre de voix mais impossible. Je sais quil y a 3 cordées. Mais étant donné quune cordée peut-être de 2 à 5 personnes, cest un peu vague comme information. Je Vous entends les accueillir chaleureusement, les réconforter moralement. Je reconnais en Vous lhomme qui a toujours su mettre en valeur les lois de lhospitalité dans Votre Château
Je calcule 9 ou 10 personnes que Vous saluez lun après lautre. Puis ce sont les bruits dun chaleureux petit déjeuner animé qui me parvient. Bientôt les voix semblèrent séteindre tout dun coup et la seule qui continua encore à retentir fut la Votre, mais je narrivais pas à comprendre de quoi il en retournait. Puis un appel fort retentit, suivit dun claquement de Vos doigts, les mots que Vous utilisez veulent tout dire et minforment comment je dois descendre :
- Chienne, à mes pieds, tout de suite.
Je descendis alors au rez-de-chaussée la tête basse, nue et collier au cou, javançai à 4 pattes entre les 10 hommes qui me dévoraient du regard jusquà ce que je me retrouve à genoux devant Vos pieds
(à suivre)
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