Mon Ex , Quelle Femme ....

- Tu as l’air angoissée Mylène ?
- Théo, devine qui je viens de voir en ville ? … Louise ta femme !
- Ma femme ! Ma femme ! Elle s’est tirée avec un représentant au bout du monde il y a un an.
- Peut être mais c’est toujours ta femme et moi sa meilleure copine ! A savoir, elle est revenue seule, il l’a larguée.
- Et alors ? Je vais pouvoir enfin divorcer et t’épouser chérie !
- Il faut donc en parler, aussi je l’ai invitée à ton anniversaire samedi.
- Tu es folle ? Ca va nous gâcher la soirée !
- Pour faire diversion j’ai aussi invité les Martin et un copain Paul, célibataire bon dragueur, si on peut la caser avec lui ce serait super !! Pour simplifier nous ferons un apéro dînatoire.
Angoissé à l’idée de revoir la femme que j’aimais plus que tout je fais néanmoins bonne figure, elle n’a pas changé, ses grands yeux expriment le désir, qui ne se laisserait pas prendre à ce piège superbe dans cette jupe ample et ce chemisier opaque qui laisse deviner une poitrine nue, tenue qu’elle savait que j’aimais pour une exhibe légère, je lui fais la bise comme a une amie lointaine sans plus et je m’occupe des autres invités et sers les apéros
- Ohhh tu te souviens toujours de mon apéritif préféré ? Martini gin ? C’est super, merci Théo. Bon anniversaire !
Mylène surveille mes faits et gestes. Elle appréhende mes réactions, bonnes ou mauvaises. Elle jubile quand, après trois verres, elle voit Louise rire bêtement aux moindres paroles stupides du célibataire qui réussit à l’embrasser dans le cou et que mon ex me fixe à ce moment là comme pour me narguer... Ca ne me fait ‘ presque ‘ rien.
Enfin arrive le moment ou tout le monde prend congé …. Le célibataire prend le bras de Louise mais, subitement, Mylène intervient
- Toi, Louise, tu restes ici, nous avons à parler
- Bien, je te rejoins vite, Paul, je t’appelle !
Assis dans le canapé, j’allume la télé pour me donner une contenance … Mylène s’assoit a mon coté
- Éteins cette télé ! Louise, assieds-toi entre nous deux aux côtés de ton mari
- Mon mari ? Mais non enfin !
- Cesse de faire semblant et assieds-toi, te dis-je !
Je retrouve la chaleur de sa cuisse dénudée sur la mienne.

Je ne sais pas ou poser les mains …
- Vous devez avoir des choses à vous dire non ?
- Pour moi tout est clair Louise m’a quitté pour un autre. C’est toi que j’aime Mylène
- Ce n’est pas si simple, j’ai été manipulée et jetée pour ne pas vouloir suivre ses idées abjectes
- Tu reprendrais ton mari ?
- Non, tu l’as conquis, tu as bien fait. C’est un homme droit.
A ce moment-là, Louise éclate en sanglots, Mylène la prend dans ses bras. Les deux jeunes femmes enlacées pleurent. Je ne sais que faire … Les sanglots cessent soudain, des plaintes monten,t puis des bruits mouillés. Je tourne la tête pour voir leurs bouches soudées, leurs mains affairées sur leurs poitrines, Mylène entreprend de déboutonner le corsage de Louise. Aussitôt les seins mis au jour, sans stopper le baiser passionné, Mylène cherche à tâtons ma main. Je la lui donne. Elle me la pose sur les seins de ma femme
Ma queue fait un bond dans mon boxer. Je malaxe la texture ferme que je n‘ai pas oubliée. Je choisis un angle meilleur pour pousser plus loin mes caresses Mn autre main s’infiltre sous la jupe remontée, passe entre les cuisses qui s’écartent. Je trouve le string étroit, à moitié mangé par les lèvres mouillées. Mon index s’enfonce dans l’antre brûlant puis, une fois enduit de cyprine, part à la recherche du clitoris sorti de sa protection. Louise fait un bond lorsque je l’effleure. Mylène cesse le baiser
- Je crois que le moment est venu d’aller dans la chambre, non ?
- Mylène, je vais rentrer, ce sera mieux pour tout le monde
- Ne fais pas l’. Tu as oublié nos années de lycéennes lorsque nous partagions nos conquêtes et que, lorsque nous étions en rupture, nous nous distrayions toutes les deux ????
- Non ! C’était le bon temps !
- Pas si vieux que ça ! Pourquoi ne pas le raviver ce soir ? Nous avons sous la main un bel étalon. Il devait avoir les mêmes performances au lit non ?
- Oh je n’ai rien oublié ! Théo est un formidable amant !
- Alors c’est parti pour une nuit de folie !!!! A poil tout le monde ! Louise, je suppose que tu meures d’envie de te faire prendre par ton mari ?
- …… Oui ……simplement, allongée les cuisses bien écartées, je veux le sentir pénétrer dans mon vagin et recevoir ses puissantes giclées.
- Qu’attends-tu Théo ?
- Que tu me guide avec ta main.
- Je n’osais pas vous le demander.
- Nous faisons l’amour a trois Mylène. Une fois introduit te me donneras ta chatte à lécher. Je ne me souviens plus de son goût !
Quel pied de se retrouver ‘ chez soi ‘ ! Ma queue se rappelle les mouvements différents de ceux que préfèrent Mylène. Je baise Louise avec tendresse pendant que Mylèn,e à califourchon devant moi, donne son calice à brouter
- Ah Louise, tu me fais du bien ……
La vue de ce petit cul juste sous mes yeux me donne des idées. J’avance des doigts entre les deux lobes fessiers pour y dénicher l’anneau violet
- Ooooh ton salaud de mari me doigte le cul !
- Je le prépare pour tout à l’heure simplement !
- Nous te rendrons la pareille gros vicieux !
- Mmmmmuuuuummmmmm …..
- Tu veux parler, Louise ? Attends..
- Tu mouilles tellement que je n’arrive pas à fournir !
- Excuse-moi, je vous laisse terminer
- Défonce-moi, Théo ! Donne-moi ta purée !
- TIEEEEEEEEEEENNNNNNNNNNNS !!!!!!!
- Aaaaaaaaaaaaahouuuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!! Je jouuuuuuuuiiiiiiiiiiiis !!
- Pousse-toi Théo, que je récupère ce nectar a même la source avant que le drap n’en profite !
Mylène boit le jus qui s’écoule du vagin tandis que je me fais nettoyer la queue et redonner un peu de vigueur par Louise. Quelques minutes plus tard Louise s’exprime
- J’aimerais vous regarder faire l’amour pour voir comment Théo s’y prend avec toi.
- Alors ce sera en levrette ! Ma position fétiche, il m’enfonce son manche très loin dans la moule, j’adore !
- Très bien je vais voir sa verge coulisser dans ta fente. Vas-y Théo, fais du bien a tes femmes !
- Vous allez avoir ma peau ! Pour une fois que j’ai deux femmes dans mon lit j’aimerais en profiter pour tester certains trucs comme enfoncer mes doigts dans deux vagins différents en même temps. C’est tellement rare dans la vie d’un homme !
- On lui fait plaisir, Louise ?
- Allez, viens, regarde nos chattes comme elles sont ouvertes
- Regarde comme elles bavent
- Elles sont impatientes de sentir ta bitte
- Arrêtez, vous me faites bander comme un cerf ! ….. huuuuummmmmmmmm c’est brûlant, gluant, serré. Enfin, celle de Louise moins étroite. Après mon passage c’est normal !
- Prétentieux ! Bon ça suffit, embroche-moi à quatre pattes
Sitôt dit, sitôt fait. Les mains sur ses poignées d’amour je me laisse guider par Louise qui pointe mon nœud sur le trou a bittes entrebâillé. D’une poussée lente mais ininterrompue je me glisse dans ce fourreau moelleux
- Aaaaaaahhhhhh ouuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiii baise mooooooi ! Plus vite ! Plus vite ! Plus vite !!!
- Ramone là cette salope, fais-la couiner. Tu me feras la même chose après. Je suis jalouse !
- Prend la position juste a coté. Je n’aurai qu’a me déplacer d’un cran pour te prendre
- Laisse moi admirer encore. Elle est belle quand elle baise, ma grande copine. Que c’est bon de revenir au pays quand même !
- Attention, je vais jouir …… OOOOOHHHH AAAAHHHH WOOOOOUUUUAAAAAAAAHHHHH !!!
- HOOOOOOOUUUUUUUUUU que c’est boooooooooonnnnnnnnnnn !!!!!!
- Vite ! Je mets à coté. J’attends ta queue !
Quelle vue ! Deux vagins éclatés aux lèvres gonflées côte a côte. Comment ne pas bander ?
Dans un soupir animal je pousse mon gland entre les fesses de Louise. Au passage je remarque que son trou anal est boursouflé. Je suppose que sont ex s’en servait à sa guise. Après avoir prélevé un surplus de mouille qui garnit ses lèvres j’enfonce deux doigts sans difficulté et sans être réprimandé. Au contraire, un râle d’approbation se fait entendre. Mylène, qui a les yeux tout prés, m’adresse un sourire complice et me souffle
- Change de trou ……Je vais t’aider. Retire-toi …Là, c’est en face, pousse …
- Même pas mal ! Encule-moi Théo j’ai l’habitude !
- Quelle dévergondée ! Elle a bien changé la Louise timide et réservée !
Je lime avec amour ce trou que je n’avais jamais osé visiter pendant que Mylène m’embrasse fougueusement. Mon gland est devenu tellement sensible, a la limite de l’irritation, que je ne retiens pas l’orgasme qui monte. Collé aux fesses je m’épanche dans le boyau visqueux. La dernière goutte éjectée je me laisse tomber sur le coté, vidé, épuisé, anéanti mais heureux !
- Tu veux toujours divorcer Théo ?
- Ça dépend..
- Ça dépend de quoi ?
- Pas de quoi mais de qui.
- Ce qui veut dire ?
- Je veux vous garder toutes les deux..
- Qu’en penses-tu Mylène ?
- beeeennnn il garde la chambre et on le gave de viagra parce qu’aujourd’hui il n’a rien prouvé !!!!
C’est comme ça que je suis devenu mari et amant en vivant tous sous le même toit.