L'Éclosion D'Anne

Ma vie, a toujours été parsemée de fantasmes. Je ne sais pas si ils sont inhérents à ma personne ou si ils résultent d'un manque, de désirs inassouvis. Je dois être sérieusement épris de ma femme parce qu'elle y est souvent présente.

J'ai 35 ans et suis en couple depuis 15 ans avec deux s, notre sexualité est plutôt classique, c'est souvent ma femme Anne qui en fixe les limites. Elle n'est pas adepte de la fellation même si ça lui arrive de passer à l'acte, plus pour me faire plaisir que par envie. Nous avons essayé la sodomie mais ce n'est pas son « truc ». Elle accepte les cunnilingus de temps en temps comme si c'était un plaisir coupable. Anne aime bien nos rapports mais elle semble pouvoir s'en passer assez longtemps et ne se masturbe jamais, ce qui est loin d'être mon cas. Je suis d'allure sportive et elle est très bien proportionné avec des beaux seins et de belles fesses même si elle se trouve des kilos en trop (comme toutes les filles), un très joli visage qu'elle laisse au naturel sans maquillage.

Comme dans beaucoup de couples le quotidien érode patiemment notre relation et j'ai décidé de repousser les limites de notre sexualité pour éviter un enlisement inexorable.

Pour cela j'ai pensé qu'il fallait commencer par faire accepter à Anne son corps et avoir des plaisirs solitaires, fut ce en ma présence, comme on dit l'appétit vient en mangeant et cela sera peut être de nature a « booster » sa libido.

Afin de ne pas brusquer les événements je lui proposait d'utiliser des objets, plus particulièrement des godemichés (elle est plutôt vaginale et n'aime pas qu'on lui stimule le clitoris). A ma grande surprise elle ne dit pas non, je m'empressait de passer commande sur le net, je pris trois format différents. Après réception, je m'empressait de déballer la « marchandise », il y en avait similaire a mon sexe, un plus petit et le dernier au moins deux fois plus large et bien plus long que le mien.



Le soir venu, je décidait d'utiler nos jouets. Une fois couchés nous nous embrassâmes, nos mains parcouraient nos corps. Anne s'allongeait sur le dos me masturbait pendant que caressait son sexe, je lui proposait d'utiliser nos jouets, elle me dit « comme tu veux », excité je m'emparait du plus petit et pénétrait son sexe, passé la surprise du coté froid, elle semblait apprécier et me demanda de continuer avec le mien. J'étais en elle profondément et elle accompagnait de mouvement du bassin ma progression jusqu'à une jouissance partagée.

Heureux de cette évolution je décidait de poursuivre dans cette voie.

Le lendemain soir, je changeait de format et prit celui intermédiaire, pendant que faisait des mouvements de va et vient dans son vagin je posait ma main sur la sienne pendant qu'elle me branlait et posait la sienne sur la mienne qui avait le god en main petit à petit j'intervertissait les situations. Elle tenait à présent le god et moi mon sexe (ça c'était pas une première), j'étais heureux de ce qui était pour moi une victoire, je prenais le relais et après quelques mouvements j'approchait ma bouche et lapais avidement son sexe humide, elle attirait mon sexe à sa bouche, incroyable. Son bassin s'agitait et elle jouit prise de tremblements. Le temps de récupérer elle me chevaucha, je ne pu me retenir bien longtemps et l'accélération de son ondulation nous fit jouir.

Le lendemain j'étais obnubilé par nos ébats de la nuit précédente et l'évolution d'Anne.
Je m'absentais trois jour pour une formation externe dans le cadre de mon travail. Après une journée fastidieuse à écouter des formateurs désabusés je retrouvais ma chambre d'hôtel pour appeler Anne.

Les s étaient couchés et elle sortait de la salle de bain,vêtue d'un peignoir elle s'allongeait sur le lit pour poursuivre notre conversation. On se racontait nos journées respectives, je lui exprimait mon désir de se trouver à ses cotés et le gonflement de mon sexe qui allait de pair.
Je devinais un sourire sur son visage, je lui demandait de sortir les godemichés et d'éteindre la lumière. Au toucher des sexes factices elle me dit son émoi, je lui demandait de se saisir du plus petit et de doucement pénétrer son intimité pendant que je me branlais doucement, sa respiration devenait plus forte, je lui dit d'imaginer que j'étais avec elle, elle changeât alors de god et prit ma doublure, elle haletait, je lui dit que ma jouissance montait, son râle m'emportait vers le plaisir.

La deuxième journée n'eut pour moi qu'un objectif, retrouver Anne au téléphone comme on se l'était promis. Elle décrochait rapidement et je trouvais que son timbre de voix avait changé, elle m'expliqua que contrairement à ses habitudes elle avait pris un digestif a base de rhum, elle se sentait coupable d'avoir éprouvé du plaisir sans moi même si j'étais à l'autre bout du fil, elle avait envie de ce qui allait se passer ce soir et pensait que le coté festif de l'alccol lui donnerait du courage.

Elle m'avoua qu'elle avait d'ailleurs commencé et venait de passer à « ma doublure ». Je bandais instantanément, la situation commençait à m'échapper, mais n'était ce pas ce qu'au fond je recherchais. Anne me racontait qu'elle avait été excité dès qu'elle avait sorti les godemichés et surtout lorsqu'elle avait pris le plus gros, elle n'avait jamais connu de sexe aussi gros et avait le sentiment de me tromper. Je l'encourageait à s'en saisir de son autre main et de le sucer un peu pour le lubrifier, elle me dit qu'elle ne pouvait que faire rentrer le gland dans sa bouche. Je lui proposait de remplacer « ma doublure », un silence se fit et j'entendis une respiration plus saccadée, elle me dit qu'elle était surprise que cela soit rentré aussi facilement même si il en restait une bonne partie dehors. Mon excitation montait sans que je me touche, je commençais des vas et viens et son feulement rauque m'emportait vers le plaisir.

Mon troisième jour de formation se terminait et j’avais hâte de rejoindre Anne, mes s, mon foyer.
Anne m’embrassait comme une collégienne éperdument amoureuse, je répondit avec plaisir a son baiser.
Les s couchés, Anne m’annonçait une surprise, selon ses désirs je m’allongeait sur le lit et fermait les yeux. A son signal je les ouvrait et n’en croyait pas mes yeux, elle était la devant moi, au pied du lit dans des dessous sexy qu’elle avait acheté pendant mon absence. Cela contrastait franchement avec le coté prude que je lui connaissait et mon visage arborait un large sourire. Les deux mains sur les hanches, elle me dit « c’est pour toi », fit demi-tour et se penchât. Lorsqu’elle se retournait elle avait dans ses mains le gros god qu’elle promenait lascivement entre ses seins et sa bouche. J’étais au spectacle, elle dégrafait son soutien gorge et quittait son string avec l’aide du god, elle montait sur le lit les genoux écartés et positionnait le god sur son vagin. Une érection monstrueuse déformait depuis un bon moment mon pantalon, elle fléchissait son bassin et le gland disparut, aspiré par son sexe. Anne se penchait, ouvrit mon pantalon, elle me regardait et sa bouche s’approchait de mon sexe au garde à vous. Le contact de sa bouche me fit tressaillir, je lui caressait les cheveux pendant qu’elle me suçait. Elle se redressait, fit encore quelques va et viens avec le god, la bouche entrouverte, le sortit et vint s’asseoir sur ma bouche, je regardais ses lèvres gonflés et pétrissais ses seins, elle bougeait lentement le bassin, je sentais sa jouissance monter. Anne s’empalait sur ma queue pour que nous ne fassions qu’un, en appui sur ma poitrine je léchais ses seins et empoignait ses fesses et guidait leur mouvements, elle se couchait sur moi et m’embrassait, chose qui ne s’était produite qu’a de rares occasions après un cunnilingus, je gémissait dans sa bouche, elle accélérait ses mouvements jusqu’à ce que nos corps exultent.

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