Hôtel
J'avais rendez vous à 17 h dans la chambre 426 à l'hôtel pour un petit "cinq à sept" avec mon amant, mais mes clients espagnols avaient parlé et parlé.... et j'arrivais sur place à 18h45 , toute essoufflée.
Il était en train de refaire le nud de sa cravate:
-Je dois parler à 19h en ouverture du congrès, je ne peux que te proposer de m'accompagner dans l'ascenseur ma belle, on remettra ça une autre fois.
Sûrement pas, pensais-je:
-Je suis d'accord pour t'accompagner, allons y.
Dès que nous fûmes dans l'ascenseur, j'appuyais sur le bouton "arrêt" et me mis à genou devant lui. Je lui dégrafais sa ceinture et abaissais son caleçon. Sa queue n'avait pas eu le temps de raidir et était encore suffisamment petite pour que je puisse la prendre en entier dans ma bouche. J'avais trop faim de sexe pour lui laisser du temps.
Quel plaisir de le sucer jusqu'à la base, et de lui lécher les couilles en suivant, mais, rapidement, le membre augmenta de volume ; je continuai de l'emboucher, me contentant (largement) de son gland turgescent et violacé en alternant le simple glissement de la queue dans ma bouche , la succion délicate et le léchage de haut en bas en lui malaxant doucement les couilles.
-Tu es une véritable pro de la pipe, tu suces comme la reine des putes et je suis sûr que tu aimes ça.
Il savait que ce genre de paroles m'excitait encore plus et je commençais à être très humide de l'entrejambe...
Je vis une goutte de liquide séminal sourdre du gland, je maintenais alors sa bite juste devant ma bouche grande ouverte pour voir son sperme jaillir et tout avaler. Un premier jet de foutre jaillit, suivi de 2 autres que j'avalais goulûment, puis je lui léchai minutieusement le gland pendant que son orgasme retombait.
Il libéra l'ascenseur et je me relevais. Une fois dans le hall, je l'embrassai chastement en lui donnant rendez-vous au téléphone.
J'étais encore très excitée et insatisfaite, je sentais mon sexe gonflé et humide.
J'allais sortir de l'hôtel lorsqu'un grand noir musclé m'arrêta:
-Sécurité de l'hôtel, veuillez me suivre madame s'il vous plait.
Il me fit entrer dans une petite pièce, remplie d'écrans de surveillance,pendant qu'il parlait dans son talkie-walkie.
-Regardez l'écran sur votre gauche.
Je tournai la tête et je me vis en gros plan en train de sucer mon amant dans l'ascenseur.
-Vous savez que la prostitution est interdite dans l'hôtel, je suis obligé d'appeler la police, de plus, vous n'êtes pas une des putes régulières de hôtel, je ne vous ai jamais vu ici.
Je me voyais mal expliquer aux flics mes agissements et en plus, quand ils verraient que je suis avocate, j'imaginais leur sarcasme et le reste...
- Non, pas la police s'il vous plait, je vous en prie.
-Ecoute ma belle, je veux bien en rester là mais faudrait que tu sois très gentille , dit-il en dégrafant son pantalon.
-Fous-toi à poil jolie putain et mets-toi à quatre pattes.
J'obtempérai en le regardant, son sexe était déjà en érection, il devait faire une bonne vingtaine de centimètres de long et au moins cinq de large.
Il passa derrière moi, mis ses mains sur mes fesses et me pénétra d'un coup. J'étais tellement humide qu'il s'enfonça sans difficulté en me dilatant le vagin au maximum.
C'était divin, je baissai la tête et je voyais mes seins balancer et, derrière, cette grosse bite qui me baisait avec ses couilles qui ballottaient.
-T'es une véritable salope, une parfaite petite pute faite pour baiser.
Je jouis rapidement vu mon excitation et il continua de me labourer la chatte avec sa queue. La porte s'ouvrit et 2 hommes entrèrent.
-Vous en avez mis du temps, je vous présente la dernière putain de l'hôtel, et je peux vous dire qu'elle est bonne.
J'étais partie dans un monde de jouissance sans limites, entre les mots orduriers qui m'excitaient, le fait qu'ils me considéraient comme une prostituée, les images de ma pipe dans l'ascenseur et cette énorme queue qui me baisait, j'eus un nouvel orgasme ou c'était le même.
-T'es trop bonne, ça fait du bien de vider ses couilles dans ta petite chatte.
Il se retira, mis sa queue entre mes fesses et je sentis une dernière giclée de foutre sur mon cul. Pendant ce temps, l'un des 2 hommes s'était déshabillé, il pris la place du premier derrière moi. Je sentis à peine qu'il me pénétrait.
- Charles, tu l'as trop bien baisée, elle dégouline de foutre de partout. Je vais l'enculer cette salope.
A ces mots, je me sentis à la fois craintive et foutrement excitée. Je sentis sa queue sortir de ma chatte et appuyer sur mon anus de plus en plus fort. Le sphincter céda sans résistance et sans douleur et l'impression étrange initiale se transforma rapidement en plaisir intense. Après quelques va et viens, l'homme se coucha sur le dos:
-Viens t'empaler sur ma bite et finis de lécher la queue de mon collègue.
Je m'accroupis et la sodomie continua. Je voyais sa queue disparaître dans mon cul, ma chatte gonflée, luisante de sperme et, devant moi, la grosse bite noire pleine de foutre que je léchai avidement. Son sperme était plus fort en goût que celui de mon amant, mais tout aussi bon. Il rebandait déjà, mais là, sa bite était trop grosse pour être avalée.
Il prit mes seins à pleines mains et mit sa queue entre les deux.
-C'est vraiment une super bonne salope, elle adore se faire baiser, sodomiser, sucer des queues et avaler le foutre.
Rapidement, il me coucha sur le dos, sur le ventre de son collègue qui continuai de me sodomiser, et il me pénétra de nouveau.
C'était ma première double pénétration, je gémissais de plaisir en sentant les deux bites s'enfoncer alternativement dans mes orifices. Je fermai les yeux pour repartir au 7 eme ciel, je m'abandonnais pour devenir la femme sandwich....
Quand je rouvris les yeux , mes deux partenaires continuaient de s'activer doucement dans mon cul et ma chatte et je vis le troisième homme le pantalon baissé en train de se masturber devant le spectacle.
-Approche-toi, lui dis je.
Je pris sa queue dans ma bouche; j'étais comblée, un des fantasmes de ma vie sexuelle s'accomplissait : trois queues dans mes trois orifices.
Au bout de quelques instant, un premier jet de foutre fouetta mon palais. Je serrai immédiatement la queue à sa base et la dirigeai sur mes seins. Mes deux autres partenaires jouirent quasi en même temps et je fis de même.
Je regardais les jets de foutre former des petites rigoles sur mes seins pendant que je dégustais doucement le sperme de mon dernier donneur qui était curieusement légèrement sucré. Les deux autres paires de couilles se vidaient en moi par devant et par derrière me remplissant de plaisir, au propre comme au figuré.
-Putain, qu'elle était bonne, c'est une sacré baiseuse, pas comme à la maison.
-un vrai sac à foutre, regarde comme elle dégouline de sperme, c'est trop beau.
-en tous les cas, tu peux revenir quand tu veux, d'habitude on prend 10% à chaque prostituée par passe, ça nous fait 50 à 100 euros, mais pour toi, on descendra à 5%, promis!
Après une petite toilette, ils me laissèrent partir en souriant .
Je descendis au parking et m'écroulais dans ma voiture .... j'allais peut-être changé de métier après tout !!!
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