Lelsie Ar54
Leslie AR54 - Black week-end, suite et fin
Le petit matin répandait une douce lueur éclairant doucement la rassurante pénombre qui régnait dans la chambre. François me serrait toujours la taille et tournant la tête je lui volais un baiser sur la bouche.
Il sendormit et je mendormis également non sans sentir dans un demi-sommeil son membre devenu mou séchapper de mon anus et du sperme commença à sécouler de mon ouverture laissée béante
Je ne suis rentrée que le dimanche soir, à la fin du week-end, le cul complètement dilaté, et douloureux, je me sentais honteuse davoir pris autant de plaisir avec cet inconnu.
Allais-je en parler à Laure, ou garder secrètement en moi cette aventure
Je me fis couler un bain et pendant une heure, je me suis laissée aller en tentant doublier, jaurais tellement voulu que Laure soit là.
Ma nuit fut hantée de rêves, François, comme par magie, revint hanter ma nuit et je me demandais ce quil marrivait dêtre obsédée par cet inconnu, inconnu intime mais inconnu tout de même. Je lui avais déjà ouvert mon corps, il mavait éjaculé dessus, il mavait profondément sodomisée et mavait arraché un orgasme fabuleux, mais il nétait pas le premier, alors pourquoi venait-il ainsi peupler mes rêves et hanter mes nuits.
Cette nuit je me suis masturber plusieurs fois dans le noir sans pouvoir calmer mon corps et mon esprit, je me sentais possédée par lenvie de le revoir.
Les deux jours suivants, le doute et la folie parfois destructrice me guettèrent, je me masturbais plusieurs fois par jour en pensant à lui
La nuit, dans le noir, je me réveillais avec des rêves en moi.
« Le sexe de François en érection, érigé, prêt à assaillir mon corps offert, son souffle chaux dans mon cou pendant quil me possédait, sa bouche prenant la mienne dans un long baiser langoureux et interminable ».
Les pensées tournaient dans ma tête et je me mordis la lèvre pour ne pas crier mon désespoir.
Dans la nuit du mardi, seule dans le noir de la chambre, je pensais à Laure, qui allait rentrer que jeudi matin, encore deux nuits avant de retrouver ma belle et de tenter deffacer ces souvenirs et doublier.
Je me suis réveillée un peu plus tard par un cri accompagnant un soupir sortant de ma bouche sans que je ne puisse le refréner.
« Dans mon rêve, François sétait attaqué, de sa bouche, à mes seins puis glissant vers le bas lentement tout en continuant à membrasser le ventre, sa bouche semparèrent de mon sexe bandé pour me sucer avec passion, jétais démunie à la merci de mon amant noir, gémissant sous les caresses, puis dans la semi-obscurité de la chambre, je vis son ombre me couvrir, menvelopper entièrement tandis que son membre se collait à mon anneau.
Puis dans un glissement soyeux, François prit possession de mon antre. Son pubis se colla à mes bourses en quelques secondes. Mon anus se détendit pour se mouler autour de son énorme sexe.
Mon ventre laccueillait et je poussais un petit cri doiseau blessé. Mes lenveloppant de part et dautre de ses hanches massives, me contentant de subir ses assauts qui me couvraient par vagues. Appuyé, au-dessus de moi sur ses avant-bras, sa silhouette courbée au-dessus de moi, François ressemblait à un monstre achevant de se repaître de sa proie.
Ses coups de reins achevèrent de me liquéfier. François vint rapidement et un ultime coup de rein me souleva littéralement le bassin de plusieurs centimètres au-dessus du matelas, me maintenant en équilibre embroché sur son pénis, il me remplit abondamment les entrailles de sa jouissance, liquide et chaude.
Sans se soucier de mon plaisir, François sarrêta aussitôt après mavoir ensemencé et mentraînant dans son mouvement, il se posa sur le côté tout en restant fiché au plus profond de moi. »
Jétais en sueur et frémissante quand jai ouvert les yeux, je me suis branlée comme une forcenée en pensant à mon rêve et je me suis rendormis sur cette lincapacité à faire le vide dans mon esprit.
Mercredi, dernière journée seule, demain Laure revient, jai tellement hâte, je ne dors plus et je suis crevée par les nuits hantées de rêve et dinsomnie, complètement hors circuit je ne pense plus quau sexe.
Je me branle dès que je le peux, au boulot dans les toilettes, et le midi dans celle du restaurant, et à lappartement, je deviens folle, mon esprit entièrement accaparé par le sexe et le souvenir de ce noir, je suis déstabilisée et narrive pas à reprendre le dessus.
Le soir, je rentre et je vais me coucher, crevée je mendors aussitôt et, aussitôt, les rêves reviennent.
« Il est là, assis sur le bord du lit le sexe dressé, je mapproche et me retourne, lui présentant mes fesses et lentement je mempale sur lui, son membre monstrueux se fraye un chemin dans mon antre avec une facilité déconcertante.
Mon sourire à disparut, même si je nai pas mal, la distension de mes chairs me font grimacer.
De dos, je peux cacher une honte teintée de plaisir, que je ne veux pas voir affichée sur mon visage et surtout la montrer à mon amant, je descends lentement pour unir totalement nos deux corps, ce qui fut bientôt chose faite
Assise sur ses genoux, le cul embroché par le pénis noir de mon amant, je suis le fruit du plaisir de mon amant et un cri séchappe malgré moi de mes lèvres pincées :
- Ohhh
François, ses mains posées sur mes hanches, venait de me soulever lentement et me lâchant je me suis empaler à nouveau sur son pal dressé, le faisant coulisser dans mes chairs intimes, la honte semblant décupler mon plaisir.
Il à recommencer plusieurs fois et une houle commençait à me tarauder le ventre de manière régulière.
François me poussa alors par terre et je me retrouvais à quatre pattes sur le tapis de la chambre à avancer sous le choc de ses coups de reins tandis quil me chevauchait par larrière. Je finis par me caler sur le bord de la table basse et, enfin, chaque coup de rein de François me transperça de la manière la plus efficace, marrachant à chaque fois un gémissement de délectation.
La houle qui me taraudait le ventre reprit de plus belle, lente mais croissante dans son intensité. Lorsque lorgasme me faucha, je maffalais recroquevillée tandis que François se couchait sur moi, le pénis se calant immobile au fond de mes entrailles, éjaculant tout le sperme contenu dans ses bourses, me remplissant le fondement.
Je me mordis la main, agitée de soubresauts incontrôlables agrémentés de cris interminables. Cet orgasme était fort, intense, comme tous ceux que François me donnait avec son membre de folie.
Mes cris et gémissements emplissaient la pièce.
Puis, dans une autre scène de mes rêves, allongés sur le lit, mon dos appuyé contre le torse de François, il houe avec mon sexe dressé. Il me branle dune manière si douce que je sens le plaisir monter doucement. Je ferme les yeux en me mordant la lèvre inférieure. Cest bon, je me laisse faire, remplis par le plaisir qui me vrille les reins, je jouis arrosant mon ventre de ma propre jouissance en lâchant un petit cri. Cest fini.
Dans mes rêves, je me sens emportée par une passion qui menvahit comme un raz-de-marée et me dévore sans que je puisse y résister.
Mon corps fiévreux et frissonnant attends inlassablement dengloutir en moi ce membre devenu le cauchemar de mes rêves, il peut profiter de moi, de ma chaleur intime à loisir suivant ses envies, je suis sa femelle en chaleur
Quand il me possède je me sens clouée comme un papillon sur une planche et je ne peux rien faire, la tête renversée en arrière, la bouche ouverte, recherchant mon souffle.
Dans mes rêves il me besogne toujours longtemps, comme aucun autre mâle de ma vie
Je pousse des cris lors de ses pénétrations car la jouissance memporte, dévastant mon corps offert et maintenant je jouis rien quà lidée que François va me posséder.
Mes orgasmes deviennent pénibles, un mélange sulfureux entre douleur et plaisir.
Souvent je rêve quil me prend par les épaules me forçant à me mettre à quatre pattes, je sais ce quil veut, incapable de dire non, je me mets en levrette en disant dans un souffle :
- Vas-y doucement !
Il se mit à genoux derrière moi et commence à écarter doucement mes fesses, puis il se penche pour me lécher doucement la raie des fesses, insistant bien sur mon petit trou ferme et anxieux dans lattente de son sort.
Mon bassin toujours offert à mon amant, qui sort enfin sa langue de mon anus, puis elle remonte le long de ma raie, puis le long de ma colonne vertébrale.
En même temps, je sens se poser sur mon illet le gland massif du membre de François.
Par petits coups de reins, il pousse pour sinsérer en moi lentement.
Il sait détecter quand son coup de rein est trop brutal et me fait mal, mais je jappe de bonheur à chaque fois.
Millimètre par millimètre il finit par conquérir mes entrailles, entièrement et profondément. Comme cest bon de se sentir complètement remplie et possédée.
Il me laisse patiemment madapter à sa présence dans mon corps qui finit par se détendre complètement. Il me gratifie alors de coups de reins de plus en plus amples ce qui me fait griffer les draps. Il ressort lentement, presque totalement avant de pousser à nouveau pour me remplir. Je sens son pubis contre mes fesses. Il sert mes hanches dans létau de ses mains et François opère et je subis ses coups de reins comme une frêle femelle sous les assauts de son mâle. Il me saisit le sexe de ses mains et me branle en continuant de me sodomiser.
La vague de plaisir déferle en moi et le plaisir memporte, je pousse un cri lorsque lorgasme me submerge et je sens les contractions de son membre au fond de moi et sa jouissance me remplir. »
Vers quatre heures du matin, réveillée, je narrivais plus à me rendormir, le corps en émoi de mes rêves de la nuit, jallais fumer une cigarette dans le salon, nue devant la baie vitrée de lappartement, éclairée par la lune.
Je me suis caressée en fumant, la tête me tournait un peu, fumeuse occasionnelle quand je me sentais oppressée, celle-ci memportait dans une ambiance cotonneuse.
Cela avait quelque chose de grisant, Laure arrivait au petit matin et en pensant à elle je me suis branlée, puis mon plaisir consumée, je suis retournée mallonger pour mendormir avec le visage de Laure à lesprit.
Vers six heures du matin, ce mercredi, je me suis réveillée en sueur, bandant comme une folle, pleine de désir, que mes rêves de la nuit avaient éveillé en moi.
Il fallait me calmer, je ne pouvais sortir et aller au travail dans un tel état, je suis partie sous la douche espérant que cela me calmerais, mais non, les désirs restaient en moi.
Quand, nue et le sexe bandé, je suis sortie de la douche, Laure était là, devant moi, ses bagages à ses pieds, elle venait de rentrer.
Sans quelle comprenne ce qui se passait, je me suis ruée sur elle, lembrassant passionnément tout en la conduisant dans notre chambre, je lai déshabillée sans un mot et, prise à son tour de frénésie sexuelle, nous avons fait lamour pendant deux heures.
Laure était revenue et François nétait plus quun souvenir
A suivre
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