La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 170)
Suite de l'épisode N°151 - L'île déserte - Histoire écrite par esclaveEmelineMDE et esclave6934MDE
- 31e jour (26e jour sur l'île)...
- Journal de bord de philippe (extrait) :
Notre survie sur l'île est de mieux en mieux organisée. Notre Maître est un parfait organisateur qui sait obtenir le meilleur de nous même (...) pendant des heures, aujourd'hui, j'ai oeuvré à rassembler des branchages et des troncs d'arbres morts, afin d'ériger un bûcher qui pourra être utilisé pour signaler notre présence au cas où un navire passerait à proximité. Chaque soir, avant le coucher, Le Marquis définit les tâches du lendemain. Il désigne émeline ou moi pour avoir lhonneur dêtre dans Sa couche et Lui tenir compagnie durant la nuit et satisfaire toutes Ses Envies les plus perverses. Pour l'autre, une nuit de repos prépare la longue journée de travaux divers dont Il a établi le programme. La vie est si simple ainsi ! Quelques jours ont suffi pour en établir les règles.
Ainsi, au cours de cette journée, j'ai dabord ramassé du bois et érigé le bûcher. Pendant ce temps, Le Marquis et émeline sont demeurés tardivement dans l'abri que nous avons construit pour notre Maître. A chacun de mes passages, j'entendais émeline gémir. Je me souvenais de la si longue nuit durant laquelle Le Maître m'a initié à Le satisfaire et je savais qu'Il est fort endurant, aussi pensais-je que j'avais du temps encore devant moi. En effet, j'en avais terminé avec le bûcher lorsque émeline est sortie à quatre pattes de l'abri, suivie de peu par Le Maître. Elle s'est ainsi déplacée jusqu'au rivage, où elle a entrepris de se laver dans l'eau. Le Maître se tenait sur le bord et Il la regardait tandis qu'elle s'appliquait à exécuter pour Lui une sorte de danse lascive tout en se livrant au mouvement des vagues. Le ressac la ramenait régulièrement jusqu'aux Pieds Du Marquis. Là, elle se lovait à Ses Pieds, se contorsionnait afin de Lui offrir la meilleure vision de son intimité, qu'elle caressait parfois brièvement, puis elle retournait dans l'eau à quatre pattes, ondulant de la croupe, afin d'aller danser à nouveau, saisissant de l'eau dans le creux de ses mains, pour la faire ensuite couler sur son corps, tout en caressant son opulente poitrine nue aux tétons érigés par la fraîcheur et l'excitation.
Le Marquis demeurait impassible. Il restait droit, reculant simplement de quelques pas... sans doute émeline a-t-elle alors ressenti comme un ordre inexprimé, car elle s'est laissée tomber dans l'eau, disparaissant un instant sous la surface, pour reparaître en rampant hors de l'eau... avançant par un mouvement de reptation servile, elle rampait dans le sable en direction Du Maître, laissant derrière elle la trace de sa progression jusqu'à atteindre l'ombre projetée Du Maître qui la contemplait en silence. Alors, du bout du pied, il lui fit comprendre qu'elle devait se mettre sur le dos, ce qu'elle fit bien sur immédiatement. Du bout de la baguette de bois qu'il tenait, Le Marquis fit positionner émeline face au soleil, cuisses largement ouvertes, livrant au vent du large son intimité exposée. Elle mit ensuite les bras en croix, et c'est ainsi, comme écartelée par La Seule Volonté de son Maître qu'elle resta pour un fort long moment (...). Le Maître vint alors vers moi et tandis que je me jetai à Ses Pieds afin de me prosterner dans l'attente de Son jugement, il éprouva la solidité du bûcher que j'avais érigé. Sans doute fût-il satisfait, car s'il ne dit mot, il s'éloigna sans me faire de reproches et sans m'infliger de punition ...
- Le journal d'émeline (extrait) :
Oulala, je suis lessivée, même une journée complète de montagne ne maurait pas autant courbaturée que la séance avec le Maître. Mais comme tout le temps quand je sens les muscles me tirer, je me sens bien et en paix. Comme apaisée. En fait cest ça, je suis apaisée, heureuse dêtre à Son service, heureuse davoir trouvé un nouveau frère. Je sais que cette situation ne pourra pas durer éternellement. Le Maître est quelquun dimportant et il y a sûrement beaucoup de personne à Sa recherche. Mais je profite du moment présent, je remercie le Maître, pour le bonheur, léquilibre quIl maccordé par Sa présence, pas ma soumission.
- 38e jour (31e jour sur l'île)...
- Journal de bord (extrait) de philippe :
Cela fait un mois complet que nous sommes sur l'île... Pour fêter cet événement, Le Maître nous a permis hier de nous détendre avec émeline. Il s'est installé sur Son Siège avec un jus de fruits pressés et nous a permis de nous rapprocher l'un de l'autre... Nous ne savions pas trop comment nous y prendre, surtout sous Le Regard Du Marquis. Il est déjà arrivé qu'il possède l'un de nous deux devant l'autre, bien sûr, mais là c'était différent... Nous étions intimidés je crois... Finalement nous nous sommes rapprochés et observés, j'ai passé ma main sur le visage démeline, dans ses cheveux... Et elle a fait de même, et j'avoue que dès que sa main m'a effleuré, j'ai ressenti une érection... j'ai eu honte, j'avais le sentiment d'une réaction presque animale ! Mais émeline a souri et a caressé mes épaules... nous nous sommes serrés... caressés...
- "Suffit !"
La voix Du Maître nous a interrompus dans nos ébats. Nous nous sommes immédiatement prosternés face à Lui, le visage enfoui dans le sable. Il s'est levé et s'est approché...
- "J'ai parlé de détente, mais n'en z pas ! Et puisque vous me semblez en chaleur tous les deux, je consens à vous combler de Ma semence"...
Un bref coup de pied m'a fait comprendre que j'étais désigné. Je me suis redressé à genoux et j'ai humblement ouvert mes lèvres, offrant ma bouche docile Au Sexe tendu de notre Maître... Il s'est enfoncé jusqu'au fond de ma gorge, faisant aller et venir Sa Tige vénérée en frottant contre le palais, s'enfonçant aussi profond qu'il était possible, puis se rétractant brièvement pour m'emplir à nouveau.
- "Gardes tout en bouche, lui ordonna-t-Il. "A genoux tous les deux", poursuivit-il.
Il nous contempla ainsi un instant, nus et à genoux, le visage souillé de sable humide collé aussi par la transpiration...
- "Maintenant embrassez-vous et partagez Ma Semence" dit Le Maître.
Ainsi, toujours à genoux, face à face, nous échangeâmes un long baiser par lequel La Semence dont nous avions si faim se mêlait à nos salives qui se mélangeaient...
- Le journal d'émeline (extrait) :
Oh jai passé un magnifique moment aujourdhui, merci Maître vénéré. Depuis quelques jours e6934 mintriguait, au plus haut point. Javais envie de le toucher, de voir ses réactions, je ne sais pas comment dire ça, mais il mintriguait, alors limaginer me caresser, le caresser
Je ne sais pas comment le Maître là deviné mais aujourdhui, Il nous a permis de nous rapprocher un peu. Oh, on était tous les deux intimidés, heureusement il a osé faire le premier pas, sa main douce et chaude avec quelques câlins qui commencent à apparaître, il ma doucement caressé au visage. Jai eu limpression de rentrer à la maison après un long voyage, de trouver un frère. Enfin je ne pourrais dire comment ça sest passé mais on sest retrouvé dans les bras lun de lautre. Jusquà ce que le Maître, nous fasses nous arrêter. Il ne voulait pas que nous abusions de la situation. Même si jaurais voulu que ce tendre moment dure plus longtemps je Lui suis reconnaissante de nous éduquer.
- 41e jour (34e jour sur l'île)
- Journal de bord (extrait) de philippe :
Je n'aurai pas dû ! Je n'aurai pas dû avoir un mouvement d'hésitation lorsque Le Maître m'a ordonné ce matin de tester le magnifique olisbos qu'il avait taillé dans un morceau de bois dur. Il lui avait donné une jolie forme et, le jugeant terminé, Il me l'a tendu et j'ai eu un mouvement de recul devant la taille de... l'engin. Mal m'en a pris, bien sûr ! A peine avais-je esquissé ce geste que je compris mon erreur et je m'attendais à la colère de mon Maître. Mais bien sûr il n'en fut rien. Je sais qu'Un Autre serait sans doute entré en rage, m'aurait battu... Mais une telle réaction n'est pas Du Marquis. Il s'est levé, calmement, s'est approché... Il s'est saisi de mes cheveux et m'a à me tenir à quatre pattes. Puis, sans un mot, il a écarté mes fesses et y a poussé son instrument d'un coup sec. Jai crié, ce qui m'a valu une claque sur la croupe et je me suis tu. Et j'ai dû rester ainsi toute la journée, profondément empli, immobile, jusqu'à la fin du jour... Puis, toujours sans un mot, Le Maître a retiré l'olisbos de mon cul et me l'a fait lécher, jusqu'à ce qu'il luise parfaitement. Ce n'est qu'alors qu'Il m'a permis de venir rédiger cette note. Ensuite, j'irai dormir et demain, Il m'a dit que ce serait à moi de l'enfoncer et que lorsque l'énorme instrument serait en moi, je pourrai Lui exprimer ma reconnaissance...
- Le journal d'émeline (extrait) :
Encore une journée chargée, déjà que normalement on ne chôme pas, mais là avec philippe punis, mon travail a doublé. En temps normal ça ne maurait pas dérangé, jadore mactiver et utiliser mon énergie débordante. Mais aujourdhui mon corps me trahit. En effet, la nature reprend ses droits, comme je suis ni enceinte ni ménopausée, il fallait sy attendre. Je navais jamais remarqué à quel point les protections sont pratiques. Ici sur cette île déserte, je nai rien et avec mes règles importantes, je coule tout simplement. Franchement au début je trouvais ça dégoûtant puis on sy habitue. De plus, le Maître a trouvé des feuilles très résistantes mais assez douces que je peux utiliser comme protection. Mais en plus de ma fatigue, je me sentais nulle et inutilisable. Comme si javais trahi le Maître, le Marquis dEvans. Je nétais pas disponible pour Lui. Il a dû sentir mon désarroi car Il est venu alors que je ramassais du bois pour le feu. Il ma fait mettre à 4 pattes, la tête par terre, le cul relevé. Et doucement sans se presser, Il est entré en moi par mon anus qui celui-ci était totalement disponible et à Sa disposition. Il ma enculé avec douceur mais fermeté faisant des vas et viens de plus en plus rapides. Mon plaisir montait aussi, différent de celui vaginal, mais tellement bon. Il mautorisa à jouir alors que dans ses derniers coups de reins, Il éjaculait à grandes giclées dans mon fondement. Il resta en coït anal un long moment puis Il se retira, me fit le nettoyer, et partit non sans mavoir caressé une dernière fois la tête comme pour me montrer que même si je ne me sens pas utilisée Il sait toujours ou je peux et comment nous pouvons le servir au mieux, selon Ses envies.
(à suivre
)
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