Enivrantes Vacances
Nous, cest Cyril et Julie, 29ans, mariés et extrêmement amoureux lun de lautre. Lors de mon premier récit, je vous ai raconté lhistoire dune soirée très troublante vécue lan passé.
Aujourdhui, je men viens vous conter une petite histoire qui nous est arrivée il y a de ça 7 ans, avant notre mariage, alors que nous étions partis ensemble en vacances. Nous avions réservé des vacances de rêve, sur une île paradisiaque et dans un hôtel extraordinaire. Les qualitatifs me manquent pour retranscrire à quel point nous vivions un rêve éveillé.
Notre suite était somptueuse, au 12ème étage, avec un très grand lit au centre, un salon avec un grand canapé et un fauteuil, autour dune table basse et dune télé immense ! De lautre côté un bureau, très pratique pour les cartes postales et pour lordinateur portable, et enfin une salle de bain avec une douche énorme, avec des buses de massages le long du dos, tout simplement génial !!! Pour couronner le tout, un terrasse relativement grande et sans vis-à-vis, ni aucune vue sur les voisins de part et dautres !
Cétaient nos première vraies vacances ensemble, malgré que nous étions ensemble déjà depuis plus de 6 ans, et avec toutes mes économies cumulées, nous avions décidé de nous faire plaisir, avec ces 15 jours de vacances.
En plus des activités classiques à la plage, de lèche-vitrine, ou de sieste (plus ou moins coquines
) nous avions décidé de prendre quelques activités. Ainsi, je madonnais au golf en fin daprès-midi un jour sur deux (je nen avais jamais fait, je naime pas particulièrement ça, mais je voulais essayer un jour), et Julie faisait suivant les jours des cours de cuisine locale, de la peinture, mais aussi son activité favorite : le bronzage. Souvent, pour patienter jusquà mon retour du golf, elle allait se délasser à létage « soin du corps et bien être » de notre fabuleux hôtel. Au programme, du hammam, du jacuzzi, du sauna, des massages, bref, que du bon.
Quelques jours passent naturellement, nous sommes plus amoureux que jamais, nous faisons beaucoup lamour (3-4 fois par jour), nos sens sont éveillés et à laffût, et le bonheur transpire de nos peaux.
En fin de première semaine, je rentre de mon golf (je suis nul, cen est pitoyable, mais un homme plus âgé et visiblement habitué ma pris sous son aile pour essayer de me perfectionner), et je ne trouve pas Julie dans la chambre. Sachant quelle est au spa, je ne me fais pas de soucis et file prendre ma douche tranquillement. En sortant, je maperçois quelle nest pas encore rentrée, et donc je décide de me mettre sur la terrasse, face à la mer, pour bouquiner un peu le nouveau roman que jai acheté en arrivant à laéroport les deux que javais prévu nont pas survécu au voyage aller en avion
De longues minutes passent, et soudain, Julie arrive, environ 1 heure plus tard que les jours précédents. Elle membrasse, se renseigne sur mes progrès (je ne sais pas si cest le mot idéal) au golf, et sexcuse du retard, elle a papoté un moment au spa et na pas vu lheure passer. Je lui dis que ça nest pas grave, mais, le regard un peu coquin, elle me dit quelle sait comment se faire pardonner. A ce moment, elle se met à genou devant moi, me déboutonne le short et commence à madministrer une délicieuse fellation, ses yeux rivés dans les miens. Sa langue va et vient le long de mon sexe, et sa main me caresse les testicules, avant de remonter me branler doucement alors que sa bouche avale mon sexe
Elle reste là, à me sucer de façon extrêmement douce et appliquée, ce qui me fait durer très longtemps
Le moment venu, elle accélère légèrement le mouvement et serre un peu plus fort sa main autour de mon sexe, ce qui me déclenche un orgasme « sismique »... Elle avale tout mon sperme, ce quelle me fait assez souvent, mais en recrache un peu le long de mon sexe, quelle récupère juste après en passant sa langue tout le long
Quel bonheur, que ce fut bon
Me laissant ainsi, calmé et détendu, elle alla direct à la douche.
Nous étions à ce moment-là si fatigués que nous nous endormîmes sans faire l'amour pour la première fois depuis que nous étions arrivés.
Le lendemain, nos vacances reprirent leur cours normal. Nous avons passé une journée sympa à la plage, en faisant de la bouée tractée derrière un bateau à moteur, du bronzage, la sieste, et tout ce qu'un couple amoureux peut envisager de faire en vacances... Nous ne reparlâmes pas de Florian depuis cette soirée en boite, mais le lendemain, au moment de partir jouer au golf, je fus pris d'un doute... Pourquoi Julie ne m'avait pas parlé de lui avant que je le rencontre ? Généralement, elle me raconte tout, et là, je suspecte qu'elle ait volontairement passé sous silence sa rencontre avec cet homme charmant.
Pris d'un doute (honteux certes, mais légitime), je partis en direction du parcours de golf, restai une bonne vingtaine de minutes au bar à siroter un cocktail local, qui a la capacité innée de me détendre un peu au bout du deuxième verre ingurgité. Au moment où j'estimai avoir laissé assez de temps passer pour que Julie soit certaine que je sois au golf, je retourne à lhôtel, avec à l'esprit l'idée de simuler une douleur à l'épaule mempêchant de réaliser un swing, pour justifier mon retour « impromptu » au cas où je me faisais des idées. Je me dirige droit vers l'espace détente, avec à l'esprit de retrouver ma femme. Je passe au vestiaire pour me changer, et accède aux espaces bains. Malgré toutes mes recherches, je ne trouvai pas ma femme, qui devait se trouver ici vu le planning qu'elle m'avait fourni... Je cherchai dans toutes les salles, tous les bains, je passai devant toutes les salles de massages en jetant un il par le hublot, rien. Je me dis qu'elle n'est pas là, et je repars, passant devant les salles privatives. C'est à ce moment-là que je l'ai aperçue, dans la partie « privative », ou on peut réserver une petite partie de l'espace uniquement pour nous...
C'est derrière une petite porte vitrée que je l'ai vu passer, nue, avec ce fameux Florian à sa suite, en boxer lui, sortir ensemble du spa et se diriger vers le hammam...
A ce moment précis, je pense que ni mes pulsations, ni ma tension ne devait faire plaisir à mon docteur, tellement jétais en fureur !!! Comment pouvait-elle me faire ça... Cela se présente comme une petite pièce avec quatre petits meubles servant de vestiaire, deux de chaque côtés, avec un siège en bambou au bas de chacun, un porte manteau, une étagère pour poser ses habits et un petit paravent pour se changer derrière, un de chaque côté. Au fond de la pièce, il y a une grande douche avec quatre jets communs. D'un côté, une pièce ouverte avec un grand spa, incrusté au sol, et de l'autre, deux portes, une entièrement vitrée au sauna, et une autre avec un hublot pour le hammam.
Vite, il me faut un plan... La réceptionniste, elle a ment un double, sans doute rangé dans un des tiroirs de son minuscule pupitre qui lui sert de bureau... Il me faut le trouver... Je n'ai pas le choix, je tente le tout pour le tout... Je fonce vers elle, et lui lance d'un air inquiet : « Mademoiselle, vite, une vieille dame est tombé dans le spa numéro 5 (le plus éloigné, il me faut un peu de temps), je pense qu'elle s'est blessée, vous devriez aller voir ». Lhôtesse s'y précipita après m'avoir remercié, et au moment où elle fut hors de vue, je me jetai sur son pupitre, ouvrant tous les tiroirs, et trouvant, du premier coup (ou presque), ce que jétais venu chercher !!! Quelle chance. Je me saisis de la clé, et menfuis vers la salle privative, entrai après avoir inspecté les lieux par le hublot, refermai la porte derrière moi, et m'approchai du hammam...
Ce que j'y vis me glaça le sang. Julie, appuyée en arrière sur ses bras, parlant à ce type, dans les vapeurs d'eau flottant dans latmosphère. Elle était nue, ses seins sous les yeux de ce type. Ils discutaient, mais la bosse du gars sous son boxer m'a convaincu que ce petit manège le chauffait à blanc. La porte étant étanche, je ne pouvais pas entendre leur discussion, mais quelques minutes après, ils se levèrent pour sortir... Je me cachai rapidement derrière un paravent disposé à côté d'un vestiaire, et les vis repartir vers le spa. Du coup, je n'avais plus l'image, mais j'avais le son. Je ne pouvais pas voir ce qu'il se passait sans prendre le risque dêtre aperçu, mais j'entendais à présent très bien leur discussion. Julie était en train de raconter nos petites aventures sexuelles, nos fantasmes, nos petits secrets de couple. J'hallucinais... Mais pourquoi lui disait-elle tous nos secrets ??? Au bout d'un moment de discussion, Florian lança qu'elle avait eu une très bonnes idée de réserver cet espace (cétait son idée en plus ! Salope
), que comme cela, ils étaient tranquilles, et qu'il pouvait en plus profiter du spectacle qu'elle lui offrait. Elle le remercia du compliment, lui avoua que nous nétions pas pudiques, que nous faisions parfois du naturisme, et qu'elle aimait être nue.
Il narrêtait pas de faire des compliments à ma belle sur son corps (il pouvait), à quoi elle répondait qu'il était vraiment charmant aussi, mais quaprès tout, il pouvait bien faire un effort et lui en montrer autant qu'elle le faisait... AIE AIE AIE, je vais assister à mon cocufiage en live j'ai limpression, et ça ne m'amuse pas du tout... Florian ne se fit pas prier, et de suite, il enleva son boxer. Je dis de suite, certes je n'ai rien vu, mais j'ai entendu le : « WHAOU » poussé par ma femme... Je vais essayer de retranscrire de mémoire a peut prés les dialogues que jentendais :
J : WHAOU, quand même, quel engin
F : Il te plaît ?
J : Disons qu'il me surprend, à part les gars sur les plages naturistes, j'ai jamais vu d'autres queues que celle de Cyril, du moins jamais en érection, et la tienne est bien plus longue... Elle me fait penser aux acteurs de porno... Combien elle fait ?
F : 21
J : Ah ok, Cyril, la sienne, fait 16
(Raconte-lui tout, vas-y...)
F : C'est sûr, c'est pas la même arme qu'on a hahahahaha ! (Connard.)
J : Par contre, elle est pas plus grosse, environ le même diamètre a vue dil.
F : Prends-la dans la main pour te faire une idée ? (C'est ça, connard, tu veux pas une pipe non plus ?)
J : Bonne idée ! (QUOIIIIIIIIIIIIIIIIIII ???) Ah oui, a peu près pareil, peut être que la tienne est un poil plus fine, mais rien du tout
(Je rêve
) MMMM, elle est bonne en tout cas (QUOIIIIIIIIIIIIIII bis !?!?)
Je rêve encore, elle le suce, comme ça, cash, sans capote.... Je suis en train de bouillir dans mon coin, je vais bientôt m'en faire un des deux !!!
F : Mmm, mais dis-moi, tu suces super bien, quelle gourmande !!!
J : Ta queue m'inspire, je l'adore, jamais je n'en avais tenu d'autre que celle de Cyril...
F : Nmm, tu m'excites trop à me pomper comme une folle, je veux te baiser maintenant !
J : Tu as des capotes ? (Ah, quand même.)
F : Non, merde, j'en ai pas
J : Alors non, si tu veux je te finis, mais tu me jouis pas dans la bouche. (Au point où on en est, c'est une maigre consolation
)
F : D'accord, mais reprends-moi dans ta bouche elle est trop bonne
Oh ! Ce que tu suces bien Julie, oui, c'est trop bon
MMMM oui lèche moi les couilles vas-y ! (Et toi, ferme ta gueule voyons
) Attention, je vais jouir
J : Ahhhhhh, je t'avais dit de faire gaffe !
F : Et beh, j'ai joui sur tes seins, pas dans ta bouche ! (Bah, connard, elle a jamais voulu que je le fasse !!!)
J : Oui, c'est vrai, mais bon... Ça t'a plus au moins ?
F : Oh oui, je peux te dire que j'ai eu un paquet de pipe par plusieurs filles différentes, la tienne était de loin la meilleure !!!
J : J'en suis honorée !!! Allez, lève-toi, on prend une douche, et on doit rendre la salle !
Dans mon coin, je suis outré, sidéré, fou de rage, je ne sais plus où aller, quoi faire, quoi dire
Pourquoi a-t-elle fait ça ??? Je reste derrière mon paravent, étant caché, et je les vois allé sous la douche, Julie élimine une grande quantité de sperme sur sa poitrine, ce connard de Florian lui savonne les seins, la chatte, le cul, et elle en joue
A un moment, il est derrière elle, il lui savonne la chatte d'une main et les seins de l'autre, elle passe ses deux mains derrière la tête de Florian, comme pour s'y pendre et se laisse doigter comme une chienne
J : Oh oui, c'est bon, doigte moi la chatte vas-y, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !
Et elle jouit la pute !!! Elle se retourne, lui passe les deux mains autour du cou et lui roule une grosse pelle
Au bout d'un petit moment, ils s'approchent des deux vestiaires situés en face de ma position, et en se changeant, jentends ce qui machève :
J : Si tu en as envie, demain je me libère laprès-midi et on pourra baiser dans ta chambre si tu veux, j'ai vraiment envie de sentir cette bite dans ma chatte
(Mais voyons !) On s'en va après demain, donc si t'es tenté c'est maintenant ou jamais
F : OK, à quelle heure ?
J : Je me débrouille pour être libre de 15h à 18h, ça suffira tu penses ?
F : Faudra se dépêcher mais ça le fera ! (Mais bien sûr, connard va !)
J : Ok alors, quelle chambre ?
F : Aile ouest, second étage, chambre 251
J : OK, alors à demain, et sois en forme, pas de folie de ton corps ce soir, je voudrais pas être déçue...
F : Tinquiète pas, je me réserve pour ton cul, ma belle ! (On se lâche dis donc !)
J : Bye Florian, merci encore pour cette superbe après-midi !
F : Bye Julie !
Elle l'embrasse à nouveau, et sort, puis lui. Je lentends fermer à clé la pièce et s'en aller
Et voilà, je suis là, comme un connard, je viens d'entendre ma copine sucer un mec, ce mec gicler sur ses seins, puis je l'ai vu la doigter comme une chienne
Je suis anéanti
Dix minutes passent, je sors de la pièce à mon tour, je profite que la standardiste s'occupe de touristes allemands à priori pour jeter la clé sur son bureau en totale discrétion, puis je remonte à la chambre. En entrant, je trouve Julie sous la douche. En voyant mon visage, elle me demande ce que j'ai, mais je préfère répondre que je me suis un peu fait mal au dos, doù mon air
Elle me croit car elle repart à ses occupations. A mon tour, je lui demande : « Alors, cette après-midi ?
J : Rien de spécial tu sais, je suis revenu au spa après un cours de poterie, j'y suis restée à peine 15 minutes cétait plein, alors et je suis remontée et j'ai bronzée en lisant, je suis allé à la douche juste avant que tu arrives.
Moi : Ok, tant pis
Demain, on fait quoi, on part faire une petite excursion pour notre dernière journée ici ?
J (gênée) : Oh, chéri, j'avais oublié, je métais inscrite à un cours de Yoga
Ça te tient vraiment à cur, tu veux que j'annule ?
M : Beh, j'aurai bien aimé passer notre dernière journée ici ensemble
J : Oh, c'est dommage, sinon on le fait le matin, et laprès-midi tu vas faire de la plongez au club, depuis le temps que tu as envie
M : Bon, d'accord. C'est dommage mais d'accord !
J : Désolé chéri, mais le programme de demain était vraiment énorme, donc j'ai pas voulu manquer ça
(Mais voyons, grosse chienne, va !!)
La soirée passa, pas fantastique à vrai dire, elle pensait que je faisais la tête pour mon excursion, alors elle essayait dêtre gentille, mais j'avais pas le cur à jouer la comédie. Le soir, une fois couchés, elle a voulu me chauffer pour faire l'amour, mais je n'avais vraiment aucune envie de passer après l'autre !!!
Le matin, nous nous sommes promenés, et l'heure venue, la voilà qui m'accompagne au club de plongée (pour être sure que je suis là et être tranquille, salope !), et me laisse pour « son cours de yoga ».
10 minutes plus tard, j'abandonne le club au moment d'embarquer, je leur laisse l'argent payé, et je repars vers lhôtel, monte au numéro de la chambre, et essaie découter à la porte
Pourquoi faut-il qu'il y ait toujours quelqu'un qui passe dans ce putain de couloir ? Du coup je fais comme si de rien nétait, et je reviens écouter, mais je n'entends pas grand-chose
Impossible d'aller à la fenêtre (second étage), donc jattends comme un con devant la porte
Les serrures sont à carte, donc je peux rien voir, génial
20 minutes à essayer d'entendre, et là, jentends ma femme hurler, elle jouit comme une grosse chienne, je suis vraiment en train d'halluciner tellement elle crie
Je suis figé, que faire
Les cris ont cessé, et c'est là que j'ai décidé dêtre un bonhomme
J'ai frappé à la porte.
Au début rien, alors je retape, toujours rien, et je retape. Au bout d'un moment, c'est Florian qui ouvre, un peignoir enroulé autour des reins. En me voyant, par réflexe il essai de refermer la porte mais je l'en empêche (je suis beaucoup plus costaud que lui, et juste en poussant d'un coup la porte je la fait claquer ouverte). Il recule, mais reste dans le chemin en me demandant :
F : Mais que fais-tu là ?
M : Florian, sors-toi de mon chemin et je te défonce pas la gueule
Voyant que de toute façon il aurait jamais le dessus, il se pousse, et j'arrive dans la chambre. Je ne vois pas Julie, mais la porte de la salle de bain est fermée. Je vois ses fringues par contre dans la chambre. Je frappe alors à la porte de la salle de bain :
M : Julie, sort de suite de là.
Comprenant qu'elle est bloquée, elle sort, à poil, la tête basse, et je pense que ce qui la sauve de prendre une énorme gifle, c'est qu'elle nessaie pas de s'expliquer
Je lui ordonne de se rhabiller et de me suivre, ce qu'elle fait sans broncher, on sort en passant devant Florian, médusé. Elle le regarde même pas.
Arrivé à notre chambre, je lui raconte ce que j'ai vu la veille, et s'en suit une énorme scène de ménage
sauf que ça nétait pas une scène, mais un monologue. Elle restait là, figée, les yeux vers le sol, sans rien dire d'autre que : « Pardon mon chéri », « Excuse-moi », « Je suis désolée », « Je le ferai plus », « J'ai craqué », etc
Voilà, cette histoire du coup a pourri le souvenir de ces vacances, mais après être rentrés, avoir mis du temps à nous reconstruire, ça nous a permis d'avancer dans notre vie de couple et sexuelle. Nous avons défini de nouvelles règles, et surtout, banni a jamais le mensonge de notre vie. Tout se dire, toujours. Plus de seconde chance.
Depuis, Julie a couché avec d'autres hommes (trois), mais à chaque fois, elle m'en parlait dès le début, et le faisait par envie, sans lendemain, sans suite, et surtout, en totale protection (plus de contact sans capotes, quels qu'ils soient). De mon côté, je n'ai pas eu d'autre femme qu'elle, je n'en ai pas l'envie, mais elle sait qu'il faudra qu'elle s'y plie de la même manière que moi le jour où je le déciderai.
Pour moi, tromper, c'est mentir, si on ne ment pas, on ne trompe pas...
P.S. : Certains se demandent peut être ce qu'il s'est passé pendant les 30-45 min ou elle est restée avec Florian dans la chambre. Elle me le raconta à ma demande plus tard. Ça m'a facilité les choses pour lui pardonner, la pauvre...
Il l'attendait en peignoir, nu dessous. Il a commencé par la caresser, puis la mettre nue, là il l'a mise a genou pour qu'elle le suce (avec capote), mais il a giclé en 1 minute a peine. A la suite de ça, le temps de reprendre des forces, il lui a fait un cuni, mais s'y prenait comme un manche, elle n'a pas pris beaucoup de plaisir. Puis il a voulu la prendre en levrette, c'est à ce moment qu'elle a joui très fort et que j'ai entendu, mais lui, il a giclé à nouveau au bout dà peine 2 minutes, et a débandé de suite
Il est ressorti, et l'a laissé la, en pleine ébullition avec une envie de se faire baiser qui la brûlait de lintérieur (ses termes). Elle a voulu le sucer mais il ne rebandait pas, et quelqu'un frappait a la porte
La suite, vous la connaissez déjà.
Elle m'a confié que cétait le plus mauvais coup qu'elle ait eu de sa vie depuis, entre moi et ses trois autres amants, qu'il ne savait pas du tout s'y prendre pour baiser. Il avait la tchatche pour draguer, un outil d'enfer (ses mots toujours), mais savait pas s'en servir
Comme quoi
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