A La Rentrée, Dans Le Train
Il y a peu cétait la rentrée, les trains redevenaient bondés le matin pour aller au travail. Jétais debout, près de la porte opposée à celle qui donne sur les quais. Jétais pénard avec mon bouquin. Quand le train est arrivé à une station, les personnes se sont encore tassées et nous étions collés les uns aux autres. Il y avait maintenant un homme dernière moi à qui je navais pas fait attention. Après quelques lignes de lecture, je sentais quil était très proche. Mais ensuite jai senti autre chose. Son bassin sétait collé au mien, alors quon nétaient pas si serrés que ça. Pourquoi pas. Puis cest sa main qui est venu contre mes fesses. Ok. Enfin, cest une érection bien avancée que je sentais. Il se serrait contre moi et surtout me serrait contre lui avec sa main sur mon ventre.
Nétant plus dhumeur à lire, je lui ai fait comprendre dun mouvement de bassin que son manège ne métait pas indifférent. Cétait une bonne rentrée. Ca a continué jusquà ce quil me glisse très doucement à loreille
- Tu as lair daimer
Pour toute réponse, je lui ai pris la main et lai mise sur ma bite, et à travers le pantalon il devait sentir mon érection. Il a massé mon pénis suffisamment doucement pour que ça me frustre quil ne continue pas. Puis il a murmuré
- Actif ou passif ? Vicieux, romantique ?
Encore une fois, jai pris sa main et lai placée sur mes fesses puis jai mis ma main dans son pantalon à la recherche de sa bite. Aussi, il comprenait que cétait surtout par là par là que jaimais, et que je nétais pas farouche. Il a alors pris mon livre, sorti un stylo de sa veste et a écrit son numéro. Au cours de la journée, je lui ai écrit et il ma invité chez lui pour le soir même. Jai du avoir une érection quasi continue toute la journée, en pensant à cet homme qui mexcitait.
Une fois chez lui, il sest approché de moi. Il avait un regard très perçant, lubrique. Il savait ce quil voulait et ses gestes pour me déshabiller, de la cravate au caleçon, étaient précis.
Après, il ma mis à 4 pates. Cambré, le cul en lair et les fesses écartées, prêt à me faire sodomiser à même le sol. Pas de préparation mais il sest inséré en moi très lentement. Trop lentement. Je voulais quil accélère mais il me tenait fermement. Cétait frustrant mais une fois au fond de mon cul, il ma besogné. Toujours lentement mais à fond, puis de plus en plus vite. Au fur et à mesure, je gémissais puis je criais, lexhortant à toujours aller plus vite. Je sentais toute sa longueur coulisser en moi. Cest le plaisir de la pénétration, on ne sent pas seulement quelque chose au niveau de lanus ; cest toute la bite et sa chaleur que lon sent car elle est à létroit. On sent tous les mouvements de va et vient, les frottements, tout le corps qui épouse la forme du pénis pour maximiser le plaisir .
A la fin, il allait très vite et le plaisir me submergeait, je jouissais en continue sur le parquet et ma queue en érection ballotait entre mes jambes au rythme de ses coups de reins. Je gémissais à chaque pénétration et mon visage était crispé par le plaisir de sentir sa bite me défoncer. Ses mouvements devinrent nettement plus brefs et rapides, il allait enfin jouir. Il a alors saisi ma tête et à éjaculé de grosses giclées de sperme sur mon visage.
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