La Rencontre

Cette histoire s’est passée il y a 8 ans maintenant mais je m’en souviens comme si
c’était hier.
A 19 ans, j’entrais à l’école de police après avoir décroché mon bac. Ecole, bien heureusement mixte. Après une période d’un mois sans week-end, vint le premier vendredi où nous allions pouvoir un peu sortir de l’enceinte de l’école. Nous nous rassemblâmes donc en tenue "civil" avant de pouvoir partir. A cette occasion, je pus admirer quelques jolies filles de la promo dont une particulièrement : Marilou. Une fois que tous les élèves furent partis, nous n’étions plus qu’une quinzaine à ne pas rentrer chez nous et vouloir passer le week-end sur place. C’est donc naturellement que je proposai aux filles et garçons restant de sortir dîner ensemble. Certains refusèrent mais nous partîmes tout de même à 7, 3 garçons et 4 filles dont Marilou. Je vous passe les détails du repas qui fut ponctué de regards échangés avec celle que je convoitais.
Nous décidâmes ensuite de partir en discothèque. Une fois sur place, j’invitais de suite la belle à danser et ne la lâchai plus. Après quelques slows langoureux, nous échangeâmes notre premier baiser, disons plutôt notre première pelle. Puis, je m’encanaillais de plus en plus.
Au bout d’un moment, Marilou et moi partîmes. Durant le trajet, qui dura environ 30 minutes, je commençais à lui caresser sensuellement les cuisses puis à remonter tout doucement vers son entrejambe. En la caressant, je sentis à travers son string, une humidité révélatrice de son envie. Gêné dans ma caresse je lui intimai l’ordre de le retirer.
- Retire ton string que je puisse voir ce qui se cache dessous.
- Avec plaisir, répondit-elle.
Joignant le geste à la parole, elle fit glisser son string qu’elle me tendit. Puis elle écarta les jambes largement de manière à me faciliter l’accès à sa petite chatte.
Je repris donc là où je m’étais arrêté.
- Tu ne te rases pas la chatte à ce que je vois.

- Non j’avoue, ça fait quelques mois que je n’ai pas eu de petit copain et je me suis un peu laissé aller à ce niveau la.
- Bien, à partir de demain je ne veux plus jamais voir un poil. Je déteste ça. Cela fait négligé et non féminin. Je jouais gros en disant cela car je ne savais pas du tout comment elle allait réagir.
- Bien, comme tu veux, si cela peut te faire plaisir. Ca sera tout lisse demain. »
La route se poursuivait et mes doigts avaient pris possession de sa chatte. Mon majeur et mon index lui ramonaient maintenant la chatte, tandis que par moment, je venais jouer avec son clitoris. La belle haletait de plus en plus et je la sentais au bord de la jouissance. De mon coté, ma queue était à la fête et n’en pouvait plus de grossir dans mon caleçon.
- Ben dis donc, on dirait que ça te plait! Tu ne t’es pas fait toucher depuis combien de mois?
- Hmm…ouiiii….c’est bon…continu…oui…c’est bon…n’arrête pas…
Je ressorti de suite mes doigts et je les amenais à sa bouche. Elle l'ouvrit, sorti sa langue et me les lécha goulûment tout en continuant la caresse avec sa main droite, directement sur son clito.
- Je t’ai demandé depuis quand on ne t’avait pas touché?
- Environ 6 mois…mais s’il te plait continue à me caresser…je n’en peux plus…laisse moi jouir et après je m’occupe de toi…je ferai tous ce que tu veux !
Cette dernière phrase fît tilt dans ma tête. Je remis ma main entre ses cuisses et m’emparai de son clito:
- Tout ce que je veux?
« Hmm…oui…tout…sauf les trucs genre pipi/caca…mais sinon oui…Hmm... continue…oui…n’arrête pas…
Son souffle s’accéléra et elle jouit dans un grand râle.
Son corps sa cambra puis retomba ensuite. Je continuais à lui caresser le clito doucement. Elle me regarda avec ses yeux chavirés et me dit:
- Merci…c’était trop bon…et je dois avouer que j’en rêve depuis le début.
Elle reprit son souffle en se lovant sur mon épaule et vint me susurrer à l’oreille :
Maintenant que tu m’as fait jouir, je suis à toi, comme promis.
Puis elle accompagna sa parole en posant une main sur ma queue comprimée par le caleçon et le jean. Heureusement que nous arrivions à l’école car je ne me sentais plus du tout en état de conduire.
Une fois à l’intérieur de l’école se posa le problème de l’endroit où nous pourrions aller. Après avoir tenté à maintes reprises de trouver une salle de cours ouverte, nous avons du nous résigner. Jouant sur le fait qu’elle m’avait dit tout accepter je me lançais:
- Ecoute, on ne va pas zoner tout le reste de la nuit donc tu vas m’accompagner dans ma chambre et on dormira dans mon lit. Mon collègue de chambrée n’est pas sorti, il doit donc dormir et de toute façon je sais qu’il ne dira rien.
- D’accord, de toute façon je n’ai pas le choix ! C’est ça ou je me vais dormir seule et je n’en ai pas vraiment envie.
Je passai mes mains sous sa jupe pour lui empoigner les fesses et nous allâmes discrètement jusqu’à ma chambre.
- Pour ne pas faire de bruit tu vas te foutre à poil ici et tu vas aller te glisser dans mon lit quand j’ouvrirai la porte. C’est celui à droite de l’armoire.
- Mais…mais…tu es fou…et s'il ne dort pas ? Et si quelqu’un arrive entre temps?
- Ecoute, soit tu fais ça, soit tu rentres dormir toute seule. Il est 4 heures et demi du matin donc il dort et je pense que tu ne seras pas dérangé par quelqu’un vu le peu de monde à être resté…Et puis tu ne m’avais pas dit que tu ferais tout ce que je veux?
- Mais…ok…tu as gagné.
Sur ce elle se déshabilla et je pus admirer son corps nu qui me faisait tant fantasmer. Elle était grande, environ 1m80, avec des formes quasi parfaites, un cul ferme et musclé par le sport et des seins magnifiques, fermes également, avoisinants les 90C/D. Je la regardai quelques secondes puis j’ouvris la porte de la chambre. Elle ramassa ses affaires en hâte et s’engouffra jusqu’à mon lit. Pour ma part je passais à la salle de bain et revint en caleçon me coucher.
Malgré le fait que ce soit un lit une place, nous trouvâmes rapidement notre place tout les deux. Comme prévu, mon colocataire dormait à point fermé. Je commençai alors à explorer son corps Après avoir longuement peloté ses seins, les avoir malaxé, étiré et pincé les pointes, je redescendis une nouvelle fois vers sa chatte qui était encore plus trempée que dans la voiture.
- Hé bien…On dirait que mademoiselle est encore plus excitée. Qu’est-ce qui te plait le plus ? Obéir à mes ordres, être à poil dans mon lit alors qu’un autre gars dort dans celui d’a coté, ou c’est de te faire malmener les seins, petite salope? lui murmurais-je à l’oreille tout en jouant avec son clito.
- Hm, un peu tout ça à la fois, mais je pense que ce que je préfère, c’est être tienne, me répondit-elle en ondulant de plus en plus du bassin pour amener son clito à la rencontre de mon doigt.
Je continuai à la caresser ainsi mais lorsque je sentis qu’elle allait jouir, je stoppais net. Elle me regarda avec un regard suppliant.
- Tu as déjà joui une fois je te rappel, alors que moi non. Donc à ton tour de travailler! Et si tu fais ça bien, peut être que je te ferai jouir une nouvelle fois.
Allez viens me sucer
Elle se mit à 4 pattes et commença à me sucer assez gauchement dois-je dire. Mais ce manque d’expérience avait tout de même quelques choses d’excitant. Au bout de quelques minutes, je décidai de prendre les choses en main et commençai à lui baiser la bouche en imprimant le rythme avec ma main qui lui tirait les cheveux. Elle se laissa faire en essayant tant bien que mal d’avaler ma queue et surtout de ne pas faire de bruit.
Lorsque je sentis le foutre monter, je lui maintins la tête et explosai dans sa bouche. Elle hoqueta mais ne laissa rien perdre et avala sans rien dire, puis revint se coucher prés de moi.
Je la pris tout de suite dans mes bras, lui embrassa le front puis glissa ma main jusqu'à sa chatte qui coulait toujours plus. Cette pipe l’avait excitée au plus au point. Je glissai 2 doigts qui je fis aller de plus en plus vite jusqu’à ce qu’elle explose, toujours en étouffant sa jouissance.
Merci, me dit-elle.
Je l’embrassai, elle se lova contre moi et nous nous endormîmes ainsi…

LA SUITE PROCHAINEMENT SI CE RECIT VOUS A PLU. SUITE OU MARILOU SE MONTRERA PLUS
SOUMISE ENCORE.