Gothique Et Passe
GOTHIQUE ET PASSE
Chapitre 1.
Je me baladais dans le but de ne pas arriver en avance au rendez-vous avec ma petite amie de cette période de ma vie. Agnès, ah! Cette petite avait bien des choses à apprendre mais elle y travaillait, lorsque je lui faisais lamour elle mouillait comme une éponge remplie deau, elle était soit inexpérimentée, néanmoins quand elle me suçait, Agnès, me bouffait le gland comme une grosse gourmande faisant des allers retours le long de ma bite rapidement lentement par petits à coups, elle m'a lapé le bout de la verge pareillement à une petite chienne. Enfin je la prenais par sa petite chatte il faut dire quelle navait connu que mon gourdin, alors quand je la pénétrais, il fallait la faire mouiller ce qui nétait pas un problème. Je me souviens, un jour Agnès était tellement excitée que lorsque je lui ai mis un doigt je pouvais lui en mettre un autre puis un autre, je ressortis ma main tout humide de mouille jenduisis mon sexe de ce lubrifiant naturel et je lui ai mis dans son anus cétait sa toute première fois par cet orifice et ma foi elle avait aimé car elle remuait du cul comme une pute qui voulait se faire défoncer par son Mac ! Et lorsque cela redevenait trop sec je lui fourrais mon engin dans son vagin puis dans son cul puis dans son vagin puis dans son cul ainsi de suite jusquà ce que ma course sarrêtât, je lai retourné, pris par sa chevelure de la main droite, ma bite de la main gauche, puis jai dirigé mon pénis devant sa bouche, je me finis en me masturbant pour lui éjaculer dedans, je savais quelle naimait pas trop mais cette fois elle navait pas eu le choix et Agnès bonne fille qu'elle était navait pas bronché, elle reçut ma semence dans le fond de la gorge tout tant me suçant waouh!! Quel pied ce jour-là!
Donc je me baladais avec mon bouquet de roses pour Agnès lorsque mes yeux virent la chose la plus incroyable qu'il m'ait été donner de voir « une gothique » une fille superbe, elle était grande malgré ses talons, des jambes interminables, des seins qui rebondissaient sous son chemisier, des yeux bleus dans une chevelure noire corbeau, elle avait une classe folle et en un instant je lui donne les fleurs qui ne lui étaient pas destinées en lui disant je suis linconnu qui vous offre des fleurs référence à une pub de lépoque, la douce mais néanmoins diablesse fut assez impressionnée par mon audace et de ce fait elle minvita à une soirée le soir même « Je mappelle Angie », pour l'heure je rejoignis Agnès qui visiblement avait vu la scène des fleurs de loin, je lui racontai que j'avais retrouvé une amie de longue date, et pour la convaincre il fallut que je lentraine dans une rue isolée, je lembrassai en lui mettant la langue dans la bouche, glissant ma main sous sa minijupe pour atteindre sa petite culotte, puis lui caressa le clito, comme elle se mit à gémir mon doigt entra dans sa chatte humide, je la retourna dun coup sec, lui collât mon pénis entre les fesses avant de lui soulever sa jupe et la pénétra d'un seul mouvement; elle gémit de plus belle, ma main libre entoura son cou pour attr son sein ainsi je lui caressais le bouton et le téton pendant que je la limais bien profond.
Chapitre 2
Le soir venue je métais paré de mes plus beaux atours, puis arrivé à l'adresse indiquée par Angie laprès-midi, je sonnai, la porte souvre, une jeune femme plus âgée que moi apparût, elle était magnifique
rousse aux cheveux courts, yeux verts, grandes jambes et dun superbe cul que je remarquais lorsquelle se retournât, « suis-moi » me dit-elle, je laurais suivi où elle le voulait. Nous arrivâmes dans un immense salon où il y avait trois canapés en u où il y était assis des jeunes gens qui fumaient des joints aussi grands quun double décimètre. La jolie rousse mindiquât de massoir et me donnât son prénom en me demandant si je voulais boire quelque chose « un coca pour commencer, Alice, merci ». Les autres me regardaient, certain me donnait des coups de tête pour me saluer dautre me souriaient bêtement tellement ils étaient défoncés. Alice revint avec mon verre je lui demandai si Angie était arrivée. Alice le sourire aux lèvres me répondit quAngie, ici, était chez elle et quelle mattendait dans une autre pièce, alors je prie Alice de mindiquer la direction à suivre. Lorsque jarrivai dans la salle dite je découvris ma diablesse de laprès-midi en tenu déshabillé; en train de se faire brouter le minou par une autre fille aussi jolie quelle, des jeunes hommes et femmes étaient également dans la pièce, ils se masturbaient, se caressaient, sembrassaient, en regardant la scène je ne savais pas trop quoi faire, cest à ce moment quAngie me fit signe dapprocher son amie laidât pour me dévêtir, elle commença par me lécher un peu partout en arrivant sur ma bite qui était déjà à son max niveau érection, bizarrement le regard des autres personnes dans cette chambre me dérangeait pas du tout, Alice nous observait aussi et ses yeux étaient pleins de malice, de gourmandise, elle devait surement avoir chaud entre les cuisses, jaurais aimé quelle nous rejoigne mais elle sortit de la pièce.
Les filles alternaient leurs places pour pendre leur pied chacune son tour, elles ondulaient comme des danseuses orientales, gémissant, se mordant les lèvres, bouchaient encore plus, criant plus fort, le plaisir montait dans la pièce, ceux qui étaient avec nous participaient, cétait ma première orgie et quel pied; la séance se termina dans un gémissement collectif, les rirent suivirent, les remerciements, la bonne humeur était présente. Angie me demanda si son accueil valait mes après-midi dans les ruelles, nous nous mîmes à rire. La soirée battait son plein : alcool, sexe, shit, rock and roll. Dans toute la maison, dans tous les coins, la débauche était exposée, les uns se faisaient sucer dans un canapé, les autres jouaient au streepicolpoker un mélange de streep tease, de picole et de poker bien sûr. D'autres se droguaient avec je ne sais quoi, cest ce jour où jai consommé pour la première et unique fois de la blanche, je me suis retrouvé dans une des chambres où Angie se trouvait, elle avait à la main un cylindre de verre ou en sortait une poudre, quelle déposât entre ses seins, Angie me fit signe dapprocher et mit ma tête au même endroit, elle me soufflât respire par le nez, javoue que je nétais pas trop à mon aise mais je dis toujours quil faut tout essayer, alors jai snifé la poudre et là bang une explosion de neurones, je me suis perdu, je ne savais plus qui jétais ou jétais, javais perdu la notion du temps et de lespace, une cuite additionnée de la fumette à effet immédiat, je ne me rappelle pas de la suite ,ce sont les récits du lendemain que je vais vous raconter dans le chapitre suivant ...
Chapitre 3
Après cette inhalation je métendis sur le lit, je ne comprenais rien de ce qui marrivait, je me suis levé, je me suis déshabillé et je bandais comme un taureau , jai tourné dans toute la maison la bite à la main, de pièce en pièce tantôt en baisant une chatte qui se présentait, me faisait sucer par-là, me masturbait par ici, rebaisant dans une autre pièce ,sodomisant celle qui le voulait, je jouissais sans éjaculer, un cercle infernal mais superbe bon, j'ai la sensation dêtre heureux sans contrainte ni pression, Alice me suivait de loin me touchant me caressant de temps en temps, discrètement; mais avec une envie de plus, jétais tant dans un autre monde que je ne laie même pas remarqué.
je suis arrivé dans la cuisine, là Angie et Alice préparait le petit déjeuner quoiqu'il était midi. D'autres étaient assis autour de la table riaient en se racontant la soirée de chacun, moi je demandais si qui cétait passé. Cest Angie qui me racontât ma virée la queue à la main dans toute la maison et dans les yeux verts dAlice jai compris que je navais pas rêvé mes ébats de la nuit avec elle
Fin
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