Le Quincaillier, 4Ème Partie, L'Inventaire
Le jour de l'inventaire en arrivant j'ai dû frapper plusieurs fois à la porte du magasin, il devait être au sous sol, il y avait une grande pancarte derrière la vitre, fermé pour inventaire et il avait mis pour cette journée un rideau pour être tranquille pendant l'inventaire.
Il m'a fait descendre pour que je me change, cette fois il restait avec moi, ça m'ennuyait un peu, à froid comme ça.., je me suis donc déshabillée devant lui, il était assis et me dévorait, j'ai rangé mes affaires dans mon vestiaire, il y avait bien un cadenas à numéros, mais je n'avais jamais eu la combinaison, puis j'en ai sorti ma blouse que j'ai enfilée sur mon corps nu, juste gardé mes tennis.
Il m'explique l'organisation qu'il avait prévu pour la journée, d'abord recenser tout le stock du sous sol, ce qui voulait dire, les cartons et le détail, il fallait ouvrir les cartons fermés pour vérifier aussi, c'était assez important, puis quand ce serait fini, on monterait faire les rayons.
Il fait assez chaud, par rapport à d'habitude, lui posant la question il me répond que nous allons y passer la matinée, et comme je vais laisser ouverte ma blouse, c'est mieux...je ne peux pas dire que je suis surprise, je m'attendais bien à qu'il se passe quelque chose, enfermée avec lui une journée entière...
Mais la tache me semblait impossible sur une journée, surtout s'il de moi de temps en temps, oh..je mouille en y pensant..ma blouse n'est pas encore ouverte, et je m'essuie entre les cuisses avec la blouse..
Pour l'instant, il est assis avec les documents, et moi j'annonce les produits et les quantités, je fais une croix sur le carton et ainsi de suite, ça y est il me dit d'ouvrir ma blouse, il m'a tout de suite traitée de petite salope, j'aime bien, ça me donne bonne conscience je pense, je suis une salope et je me conduis comme une salope, ce pouvoir que j'ai soudainement sur les hommes me plait bien..pour une gamine.
Il regarde régulièrement sa montre, je le trouve un peu bizarre, il a besoin d'un autre crayon et me dit qu'il va à la caisse et revient, je continue à ouvrir les cartons en attendant, accroupie, la blouse pend de chaque coté de mon corps, complètement ouverte sur ma nudité...
Quelques minutes plus tard je l'entends redescendre mais je n'y prête pas vraiment attention, mais les bruits de pas me surprennent et je lève la tête, il n'est pas seul, deux personnes sont avec lui, je me relève en fermant vite ma blouse, mais ils ont vu avant et ils rient, je suis rouge je le sens...le vieux me présente son ancien employé à la retraite un Arabe, et le second un autre Arabe à peu près du même âge, un ami de l'ancien employé venu pour aider...Je ne savais pas que le vieux avait prévu ça, sinon je ne serai pas venue, il le savait je pense...
Ils me regardent un peu surpris, et me demandent mon âge, je leur dis et je vois leur étonnement, ils regardent mon patron qui semble embarrassé, il leur dit qu'ils seront bien payés pour la journée de travail, et il leur explique ce qu'ils auront à faire, l'ancien employé répond qu'il a l'habitude, ils s'occuperont du stock en boutique, pendant que nous ferons le sous sol, je préfère, j'avais cru un moment que j'étais le salaire..
Mon patron remonte avec eux, et redescend un quart d'heure plus tard, avec son air vicieux en me regardant, je ne me sens pas à l'aise, j'ai même carrément peur, trois vieux enfermés avec moi dans cette boutique, rideau fermé, qu'est ce que le quincaillier a pu leur raconter en haut?
Nous avons repris notre pointage, je n'ai pas voulu ouvrir ma blouse, il était ennuyé et la matinée se passe normalement, les autres à l'étage et nous en bas.
Il est midi, et le vieux appelle les autres, ils descendent et me regardent toujours un peu de façon appuyée, il est vrai qu'ils ont dû avoir le temps de tout voir avant que je lève la tête quand ils sont arrivés, ma blouse ouverte sur mon corps nu, accroupie, cuisses ouvertes...ils y pensent ment en me regardant, ils ne peuvent pas s'empêcher de m'imaginer nue sous la blouse..
Nous nous installons autour de l'établi pour manger, ils me regardent, qu'est ce que le vieux leur a raconté de moi?....je sors mes sandwichs, et le vieux pose ce qu'il avait prévu pour eux trois, dont une bouteille de vin rouge.
Ils mangent et se racontent leurs souvenirs de boutique, je les écoute et je ris de leurs bêtises, un peu plus détendue maintenant, ils ont bu la bouteille assez rapidement à trois, et je vois le vieux qui va dans un placard en prendre une autre, et ils trinquent une nouvelle fois, ils commencent à être de plus en plus volubiles, et rouges, ils me proposent de prendre un verre avec eux, je refuse, mais ils insistent, et ils sont tellement pressants que je finis par accepter, il me serve un verre que je bois avec difficulté, je n'aime pas le vin rouge, le champagne quelques fois avec mes parents, et encore, une coupe et je ris bêtement, je me tais, j'ai peur de bafouiller, le rouge me monte aux joues, c'est le cas de le dire..
Le patron leur propose encore un dernier verre, et ils recommence à m'ennuyer pour un deuxième, j'accepte un demi verre, et nous buvons tous quatre, mais moi la tête me tourne un peu, je me lève de la chaise et je manque de tomber, c'est le vieil arabe qui me ratt derrière moi et se retrouve avec ses mains sur mes seins, il les sent, nus sous ma blouse, et il ne me lâche pas..surpris mais content..
Tout le monde a vu, ils me regardent, comme s'ils attendaient une réaction de ma part, j'ai pas vraiment saisi l'importance du moment et je ne bouge pas de suite, le vieux dit de me mettre sur l'établi pour me reposer un peu, je n'ai pas le temps de réagir que je suis assise dessus, les jambes dans le vide, je les regarde un peu éméchée, leur regard est vers mes genoux, la blouse est un peu déboutonnée en bas et ma position laisse un peu d'espace entre eux, laissant voir un bout de cuisse, pas beaucoup pourtant mais ils repensent sûrement au fait que je n'ai pas de culotte, ils ont vus en arrivant.
Ensuite tout va vite, je n'ai pas le temps de réagir, et ils sont trois, ils m'ouvrent la blouse, ils me tiennent les bras et je ne peux les empêcher, deux me tirent les manches en arrière, et je suis nue assise sur la blouse, je bouge pas, je les regarde, eux aussi, ils regardent, me regardent, puis le vieux réagit, il me prend par les épaules et m'allonge sur le dos, mes jambes sont toujours dans le vide et l'un d'eux colle sa bouche sur ma chatte, je sursaute et j'essaie de me redresser, mais ils me maintiennent en riant, je ne peux pas fermer les cuisse, il les a passées sur ses épaules de chaque coté, mon bassin est soulevé de l'établi, ma motte tendue, sa langue entre mes lèvres, je sens ses joues mal rasées à l'intérieur de mes cuisses, les autres regardent, ça commence à me faire du bien, il faut que je résiste au plaisir..sinon que va t-il se passer...
Mais je n'y arrive pas, mon ventre commence à onduler au rythme du plaisir de ses coups de langue...mes cuisses se relâchent et s'ouvrent encore plus...ils jubilent, ils n'ont plus besoin de me tenir les bras, mes ongles s'accrochent à l'établi, je respire fort...
Le vieux en profite pour passer de l'autre coté de l'établi, tourne ma tête sur le coté et essaie de rentrer sa verge dans ma bouche, il y parvient, je ne fait rien tout à mon plaisir, il décide de me baiser la bouche, il bouge dedans, c'est écurant...l'autre n'en revient pas, il regarde le spectacle de cette gamine aux prises avec deux hommes âgés en y prenant du plaisir, il sort sa verge et se masturbe en regardant..
Le vieil arabe qui me lèchent se redresse et sort sa queue, je me dégage du quincaillier qui est sur le point de jouir dans ma bouche, je le sentais à l'accélération de ses aller-retours, et je crois que le lécheur s'apprête à entrer dans ma chatte, mais je le sens sur mon anus, il pousse, sans lubrifiant, mais le vieux lui passe l'huile dont il s'est servie la dernière fois, il a dû leur dire que j'avais une faiblesse de ce coté là, que j'aimais ça.
L'arabe me lubrifie avec ses doigts, je me tortille un peu, il me parle, je ne sais pas ce qu'il dit c'est en arabe, les deux rient et commentent, le plus vieux me dit que je vais en avoir puisque j'aime ça, et il me pénètre, il est dur ça me change du vieux, il commence son va et vient, doucement, puis plus à fond, il reste au fond..il bouge au fond, quelle sensation...il faut que je me contienne, j'ai honte....je ferme les yeux...il revient et rentre, sort et rentre, oh....ses va et vient me font du bien...je me retiens de parler, de crier mon plaisir, je ne lâche que des "ahhh"!.. tout bas, comme une respiration forte. j'ai l'impression que ça l'excite encore plus, il accélère et me bourre de grands coups, je suis folle.... l'établi me chauffe les fesses, les autres me photographient avec leur téléphone, moi en train de me faire enculée par l'arabe...que vont-ils en faire...mais je m'en fiche...je sens sa bite qui me fait du bien, les autres ont lâché leur téléphone pour me tripoter, ma chatte est disponible pour leur doigts, mes seins, ma bouche...l'autre arabe rentre sa queue dans ma bouche, je résiste et comme le vieux il bouge, mais je laisse faire tout à mon plaisir anal.., il se retrouve face à l'autre arabe qui me sodomise, ils se parle fort en arabe, les coups dans mes fesses m'envoient à chaque fois la verge de l'autre au fond de ma gorge à son grand plaisir..
Dans mes fesses, l'homme est en train de jouir, il reste à bouger encore un peu pour se vider complètement en moi et sort, le quincaillier en profite pour entrer à sa suite, je suis tripotée, enculée, je continue a respirer fort, mais je ne peux maintenant retenir des petits cris aigus à peine audibles, ils aiment...
Le vieux aime cette jeune fille qui subit pudiquement, malgré tout il me traite de salope, il me prend les jambes sous les genoux de chaque coté et me les soulève un peu pour mieux m'enfoncer, mes jambes ballotent dans le vide comme un pantin à chacun de ses coups...
J'aime tellement...les yeux fermés je subis toutes leurs caresses, je n'ai en tête que ces queues qui naviguent dans mes reins lorsque je me relève en toussant, l'autre arabe vient d'éjaculer dans ma gorge, j'essaie de reprendre mes esprits mais le vieux ne lâche pas mes jambes et termine lui aussi...il se vide bien, reste un peu en moi, content de sa performance cette fois....je peux m'assoir et cracher par terre, je récupère un peu puis je regarde autour de moi, je suis allongée un peu de coté sur un coude, nue, les autres toujours habillés, leur sexe sortant du pantalon ou pas, je suis honteuse et souillée, sale, dégoulinante de sperme, je veux descendre pour aller aux toilettes, ils m'aident...
Au petit coin je réfléchis, je souffle aussi, il est au moins 3 heures de l'après midi, ma mère ne m'attend pas avant cinq ou six heures du soir, le vieux le sait, il vont me retenir, j'aimerai aussi plus de plaisir, ils ne vont pas dans ma chatte, je préfère, je ne prends pas la pilule à mon âge, et ils pensent que je suis vierge, mais dans nos jeux avec les copains et copines je me suis retrouvée lors d'une fête d'anniversaire un après midi, seule avec le frère ainé de la copine qui nous recevait, il avait 17 ans, très beau, je n'avais pas résisté, c'était la condition pour rester avec moi, il m'a déflorée cet après midi là..vite fait, le temps de tirer un coup, cinq minutes, content de lui il l'avait raconter à ses copains qui ont essayé par la suite, lui me trouvait trop jeune, je me suis fermée à cette période à tous les garçons de mon âge, déçue.
Je me lave le derrière au lavabo des toilettes, rince ma bouche et sors toujours nue, j'ai froid maintenant, ils sont en train de finir la bouteille de vin, ils me regardent, je n'ai pas entendu ce qu'ils se disaient pendant que j'étais aux toilettes, que me réservent-ils?...il devraient être calmés ils ont tous jouis, un seul ne m'a pas sodomisée mais il a éjaculé dans ma bouche...
Je reprends ma blouse par terre et l'enfile, personne ne dit rien..je demande à partir, le vieux n'ose pas refuser, je me change, devant eux, je ne peux pas faire autrement, j'enfile ma culotte et le reste, ils regardent mon corps disparaître derrière un jean, sweat et tennis.
Le vieux veut me montrer les photos avant de partir, je m'approche, il tient son appareil comme s'il avait peur que je lui prenne et il les fait défiler, je ne peux réprimer un "oh la la ! ", on me voit bien et on me reconnait bien surtout, dans la situation ou je suis sodomisée par le vieil arabe, lui on ne voit pas sa tête mais le reste oui...une autre où j'ai le sexe du vieux dans la bouche, il l'a prise de dessus...et d'autres encore..;et je n'ai pas vu celle que l'arabe a prises aussi..
Le quincaillier me fait remarquer qu'avec de belles photos comme ça, il faudrait continuer à être gentille, ça me donne un frisson, de peur mais de sensations indéfinissables aussi, d'excitation?...je sais pas...
Je leur dis en revoir, le vieil arabe me répond qu'on va bientôt se revoir, qu'il a invité mon patron et moi dans un restaurant de son quartier à Clichy, pour un couscous un midi..je dis oui comme ça, je refuserai plus tard..
A suivre
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