Les Origines De La Saga Des Esclaves Au Château... (Épisode 172)
Année 1785 - L'ultime fête, avant que 1784 ne devienne... 1785 ! -
.- "Lannée 1784 est bientôt morte ! Vive 1785 !" lance une voix passablement enivrée... reprise en chur
- "Vive 1785 !!!" crient de nombreux convives,
En interrompant leurs diverses activités, à l'exception de certains qui peuvent ainsi fêter l'an nouveau sans pour autant interrompre l'esclave qui, agenouillé entre leurs cuisses, suce avec application leur sexe fort tendu ! Ainsi, une année vient de s'écouler, comme goutte lentement entre les cuisses de cette petite femelle renversée sur une table, la semence du Seigneur qui vient de la baiser... Les jours ont succédé aux jours, tels Les Hôtes Du Noble Marquis d'Evans qui, les uns après les autres, viennent fourrer leurs queues poisseuses dans la bouche des esclaves agenouillés et enchaînés, destinés à n'être ce soir qu'instruments de nettoyage...
A l'issue de cette année si riche en rencontres et saillies, nul ne confesse de nostalgie... Surtout pas le sulfureux Marquis Donatien Alphonse François de Sade et précieux amis Du Seigneur d'Evans qui, sauvé de la prison par ce si cher Ami, savoure présentement une coupe de champagne, ses fidèles esclaves justine et juliette vautrées à Ses Pieds, l'une un peu ivre qui Lui lèche les couilles, tandis que l'autre l'a débarrassé de Ses chaussures à boucle et s'active maintenant à passer sa langue fraîche et humide entre ses orteils boursouflés et endoloris par une soudaine crise de goutte. Il ne résiste cependant pas à narrer Au Marquis son "grand projet" du moment...
- "Voyez vous, Mon cher Marquis, la vie dans ce havre de plaisirs que Vous avez créé et fait partager m'inspire... Il est vrai que j'ai connu quelques mois durant lesquels la source de mon inspiration était tarie. Mais par bonheur, Mon Cher Ami, j'ai enfin retrouvé l'esprit... Il est vrai qu'il souffle fort entre ces murs"
- "Vous m'en flattez, Cher Marquis"
lui rétorque Le Maître des Lieux, qui menant l'esclave émeline en laisse, fait le tour du Grand Salon et de Ses Hôtes de marque, tous ici pour la Saint-Sylestre.
Entre les deux Marquis, la conversation se poursuit. Le Marquis de Sade, bien que parfois grimaçant de douleur en raison de la goutte, est avide de révéler Au Seigneur d'Evans, la teneur de Son ouvrage :
- "Voyez-vous, il s'agira je crois, de mon ouvrage le plus abouti... Son titre provisoire : Les 120 journées de Sodome ou l'école du libertinage ! Qu'en pensez Vous ? Vous dont l'avis littéraire m'est plus précieux que tout autre ?"
- "Excellent, Mon cher Marquis, tout simplement excellent..."
- "N'est-ce pas ! ? Voyez vous, je l'avais commencé en prison. Savez-vous comment ? Sur un interminable rouleau de bouts de papiers que je volais dans ma prison lorsque je me rendais aux cabinets d'aisance ! J'en avais plusieurs mètres ainsi rédigés. J'ai usé de Votre "gueux" pour les recopier au propre, en profitant parfois pour l'enculer promptement; mais l'essentiel était qu'il rende ainsi leur forme à Mes écrits.
"- "Tout comme j'ai hâte d'en déguster chaque mot, Mon cher Donatien ... Veuillez maintenant m'excuser"
Dit-il en tirant d'un petit coup sec sur la laisse, faisant ainsi comprendre à émeline qu'il faut maintenant reprendre le mouvement :
- "Mais je me dois à mes Invités et aux traditionnels Voeux de nouvel An !"
Et Le Marquis d'Evans s'éloigne, laissant Son Ami et Complice aux bons soins buccaux de ses deux fidèles esclaves, menant, laisse courte, sa douce et soumise émeline... Un peu plus loin, un esclave mâle est penché en avant, il se tient à une colonne et cambre bien les reins... derrière lui, Un Homme entièrement nu le tient par les hanches et, bien enfoncé en lui, l'encule hardiment... Le Marquis passe à leur hauteur et l'enculeur le hèle !
- "Monsieur le Marquis (dit-il haletant)... Un instant je Vous prie !... Mmmhhh oooohhhh !!!"
Les yeux de L'Homme se révulsent et son long gémissement traduit sans préambule le plaisir qu'Il vient de ressentir... Il demeure un court instant immobile, la tête renversée, laissant toute Sa Noble Semence s'écouler dans le cul de l'esclave. Puis il se retire d'un rapide mouvement de recul, son sexe redevenu flasque dégoulinant de Son Jus...
- "Mmhh, Monsieur le Marquis, le cul de Vos esclaves est un pur délice ! Celui-ci m'a régalé"
Et claquant la croupe toujours tendue du mâle servile, il lui signifie d'un geste d'avoir à venir à ses pieds. Comprenant ce que l'on attend de lui, l'esclave s'agenouille et vient, entre ses lèvres, nettoyer La Queue de celui qui vient de le baiser et qui devise maintenant, indifférent, avec Le Marquis d'Evans
- "Monsieur le Frère du Roy m'avait maintes fois parlé de Vos soirées, j'avoue que j'en ai maintes fois rêvé.
- "Je suis fort aise de pouvoir Vous accueillir, Cher Marquis. Votre présence honore Ce Vénérable Château, car Vous incarnez à merveille toutes les valeurs qui y président !"
- "Merci Monsieur le Marquis, je me réjouis de cette rencontre et j'espère devenir l'un des vos habitués, car je goûte fort Vos divertissements"
- "Toujours soyez le bienvenu en ces Lieux Marquis. il ne saurait en aller autrement pour le vainqueur de la fameuse Bataille de Yorktown".
Les Deux Seigneurs échangent un bref signe de tête et se séparent...
Zigzaguant entre les danseurs, Le Marquis dEvans toujours menant sa chienne en laisse, s'approche d'une table où une esclave ayant également servi de plateau-humain est maintenant l'objet des attentions de trois Messieurs... La femelle est couchée sur la nappe qui habille l'épais plateau de la table, ses jambes pendantes, Un Homme quelque peu bedonnant est sur elle, Ses Chausses baissées, il va et vient en elle à grands coups de reins, poussant à chaque fois qu'il s'enfonce un long ahanement. Placés sur les côtés, deux hommes d'allure plus jeunes... à demi-nus. L'un penché sur le haut du corps de la femelle, s'amuse à lui titiller les tétons. Il pince l'un, suçote l'autre, se saisit des deux globes de chair pâle, les presses, puis fait à nouveau saillir un téton et le presse jusqu'à le faire durcir et gémir la femme soumise... L'autre jeune homme a saisi la main de l'esclave et vient d'y placer son sexe dur et tendu, pressant les doigts autour de sa Tige afin que l'esclave le branle, ce que naturellement elle fait du mieux qu'elle peut, malgré l'inconfortable position dans laquelle elle se trouve... A l'approche Du Marquis, le plus âgé des hommes se retire et remonte sa culotte...
- "Paul (lance-t-il à celui qui se fait branler) venez donc emplir cette grotte que je délaisse, je tiens à ce qu'elle demeure parfaitement ointe pour mon retour.
Et immédiatement, lautre jeune homme délaisse la main pour venir, de Son Vit dressé, s'introduire dans le sexe béant de la femelle et commencer à la baiser avec une régularité de métronome... Le plus âgé, partiellement rhabillé, salue le Marquis tandis qu'émeline reprend la position prosternée qu'elle observe toujours lorsque Le Marquis la mène en laisse et soudain stoppe Ses Pas
- "Ah ! Monsieur le Marquis ! Quel plaisir que ces fêtes et comme elles vont me manquer !"
- "Monsieur, je suis fort aise de connaître de Votre satisfaction. Ou donc en sont vos préparatifs ?"
- "Eh bien, j'espère que nous quitterons Brest avant la fin de l'été... Et dès lors, qui sait jusqu'où et vers quoi nous mènerons les vents et les courants !"
- "Quelle belle aventure que la votre, Monsieur ! Et tant de découvertes en perspective ! Si je n'avais tant de responsabilités, j'aurai volontiers mis les voiles en votre compagnie, mon cher Comte"
- "Et j'aurais été honoré de Vous compter parmi les miens, Monsieur ! Mais je ne manquerai pas de vous rendre visite encore, avant mon départ. Et au cours du voyage, je vous adresserai quelques échantillons de nos découvertes, tant je sais que vous êtes curieux de nouveautés et de ces curiosités qui nous révèlent tous les secrets du Monde"...
- "Je vous en saurai gré, Monsieur Le Comte, nous en reparlerons, car je compte bien vous revoir avant votre départ. Mais allez-y, il y a là un insondable mystère qui vous ouvre ses cuisses et il ne serait point juste de le priver de vos explorations, même si votre second ne manque pas d'ardeurs à vous garder chaude et humide la place"
Les deux Seigneurs s'esclaffent et le Comte promptement reprend sa place dans le con de la femelle, tandis que Le Second revient vers les doigts inoccupés de la femelle....
Au centre de l'immense salon, les danseurs virevoltent... Maîtresses et Maîtres encore au moins partiellement vêtus, esclaves mâles et femelles entièrement nus, seul leur cou étant orné d'un épais collier de cuir portant une médaille, frappée sur une face des armes d'Evans, sur l'autre de leur matricule au sein du cheptel d'esclaves Du Marquis. Un peu à l'écart, un petit groupe de Dames de Haute Naissance papotent. Elles sont assises sur des sièges-humains... Pour chacune des trois Dames, un esclave mâle se tient à quatre pattes, le dos bien raide, supportant le poids de l'Une ou l'Autre des ces Nobles Femmes dont les riches tenues sont quelque peu défaites, preuve des ébats multiples qu'Elles ont eu le plaisir de pratiquer en cette ultime soirée de l'année 1784...
- "Mesdames, j'espère que Tous Vos désirs se trouvent comblés" leur lance Le Marquis L'une d'Elles se redresse...
- " Monsieur le Marquis, Vous nous offrez encore une fois l'une de ces soirées si délicieuses !" s'exclame-t-elle avec emphase et poursuit : - "Voyez mon siège, un délicieux jeune mâle, dorigine italienne si j'en crois son savoureux accent. Il m'a déclamé des vers figurez vous !"
D'une lanière qu'elle tenait serrée autour de son poing, elle cingle la croupe de Son"siège" ...
- "Allons ! Déclame, esclave, montre ta prose à Monsieur le Marquis !" et le jeune homme, docilement :
- "Chère Moniche qui, entre deux colonnes, Est mise là, ainsi qu'un chapiteau, Pour coupole tu as deux grosses fesses Et le trou du cul, au-dessus, est ton ciel. Tu me sembles le bois sacré de Diane; A l'entrée est une paire de grosses moustaches, Qui conduisent à l'arche de la manne"
Un nouveau coup de lanière cingle le cul de l'esclave, qui instantanément s'interrompt
- "Voilà !! (lance la femme) N'est-ce pas délicieux Cher Noble Ami ! ?"
- "Si fait ! Madame et je me réjouis que cela Vous amuse"
- "J'en suis fort entichée, Monsieur le Marquis ! Quel plaisir que de disposer ainsi d'esclaves si bien dressés. Point seulement de viles créatures pour étancher nos instincts, mais si parfaitement dressés et façonnés, qu'ils peuvent même combler nos attentes les plus complexes..."
Hésitante, elle regarde son siège-humain, puis se tourne à nouveau vers le Marquis d'Evans
- "Monsieur le Marquis... je suis un peu hésitante, mais il est une question que je dois vous poser..."
- "Je suis tout ouïe Madame"
- "Eh bien... Je crois m'être fort entichée de ce jeune mâle et de sa poésie..."
- "Il ne fait que la réciter madame, les vers quant à eux sont de la plume d'un auteur hélas disparu, Giorgio ZorziBaffo... J'en possèdes quelques écrits que je fais apprendre à certains de mes esclaves, pour le bonheur de Mes Hôtes, ainsi qu'il semble en aller pour Vous, Madame"
- "Certes ! Eh bien, voilà... ma demande... Envisageriez vous de me céder cet esclave ? Car il me plairait fort qu'il soit à ma disposition pour me réciter quelque poésie lors de mes longues soirées d'hiver"
- "Madame ! Le Contrôleur Général des Finances du Roy n'en prendrait-il point ombrage ?"
- "Point de soucis, mon époux aura tout autant de plaisir que moi à goûter de ses lèvres, même s'il n'en sort point de transalpine poésie ! Voyez vous, lorsque le Ministre d'Etat daigne oublier un instant les affaires du Royaume, il aime à savourer quelques plaisirs et je serai fort aise que ce doux esclave lui prodigue certains plaisirs qui par moments me pèsent... Alors, Monsieur le Marquis... s'il vous plait, votre prix sera le mien
" minaude la Grande Dame
- "Eh bien Madame, comment ne point céder à demande si gentiment tournée. Je ne saurai refuser au bien du Royaume, les délices de quelques serviles douceurs. C'est dit Madame, l'esclave sera vôtre, et de plus, je Vous l'offre gratuitement!"
Et c'est alors, tandis que Le Marquis d'Evans terminait sa conversation avec Marie-Joséphine Marquet de Mont Saint-Peyre, épouse de Charles-Alexandre de Calonne que retentit la voix d'un Invité
- "1784 est morte ! Vive 1785 !"...
En ce 31 décembre 1784, minuit venait de sonner, l'année 1785 démarrait
(à suivre)
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