Dewei
Perdu dans la ville, le brave étudiant chinois, Dewei, comprend assez mal le français. Il loge presque dans un galetas au 6° étage. La lecture des journaux français est délicate : il comprend à moitié ce quil lit.
Au rez de chaussée la librairie ouvre assez tôt ses volets. Dewei a la bonne idée daller demande de laide. La propriétaire, une belle femme de 35 ans, tient boutique. Elle est prête à aider notre chinois, mais le soir seulement à la fermeture de son magasin.
Après 19 heures Dewei arrive tranquillement. Bien reçu par un légé baiser sur les joues, il commence à faire traduire ce quil ne comprend pas. Ils sont assis près de lautre, accoudés à un bureau. Et là, perdu il se laisse aller. Il a un besoin immédiat de sexe. Chez lui, normalement il nen parlerait pas. Mais qui sait en France cest peut être normal. Ce quil ne sait pas est que la libraire aime bien se donner à un autre. Elle adore se faire baiser, recevoir dans la chatte ou ailleurs le sperme dun vrai mâle. Elle sent encore en elle le dernier orgasme, celui quelle sest donna le matin même.
La présence de Dewei près delle lexcite un peu. Elle le provoquerait bien, comme ça pour voir la réaction. La traduction tourne court. La voilà qui pose sa main sur la bite encore tranquille de notre chinois. Leurs yeux se croisent quand elle lui masse la queue.
Elle aime ce quelle lui fait. Elle le sent gonfler lentement. Le massage devient intensif : en continuant ainsi elle sait quelle le fera jouir. Mais alors elle ? Elle se tourne vers Dewei, les jambes sécartent pour aller se nicher sur celles du chinois. Elle le veut en elle là de suite.
Le pauvre garçon se laisse faire. Quand elle sort la queue il a un peu honte : cest la première fois quune fille le touche. Finalement cest meilleur que quand il se caresse la pine. Il regarde la main sur la bite : elle monte et descend dans un mouvement régulier qui saccélère lentement. Dewei ne peu réagir quand il sent ce plaisir envahir son bas ventre.
Plus de sentiments de honte, elle le branle mieux que lui. Elle lattire vers elle, sa bouche souvre pour le prendre. La langue assure la caresse inédite dans la bouche. La queue vibre de plus en plus. Le pubis du garçon est tendu à toucher les lèvres. Il sait quil va jouir. Sa prostate va souvrir.
Et là tout sarrête. Elle aussi veut sa part de plaisir. Déçu Dewei se demande quelle suite il va y avoir. Cest la suite logique dune rencontre entre un homme et une femme. Même si elle est linitiatrice, il lui faut aussi jouir.
Elle sexpose à lui, nue, les jambes presque ouvertes. Elle sassied sur le bord du bureau. Elle lattire vers elle, entre ses jambes. Enfin Dewei comprend la règle du jeu. Il va perdre sa virginité. Il va baiser pour la première fois. La main féminité le guide lentement entre les cuisses dabord et juste vers le con ensuite. Là, la bite est libre de faire ce quelle veut.
Le grand plaisir commence quand il entre doucement. Le prépuce se retire vers larrière, le gland sort à son tour. Il pourrait entrer rapidement, alors quil déguste cet instant magique de sa première fois. Elle aussi le laisse faire, elle peut attendre un instant avant de se sentir remplie de la queue.
Lentement la bite entre, lentement le vagin se resserre autour de la queue. Ils se tiennent à plein bras. Les poils du pubis du garçon rencontrent le pubis glabre de la femme. Enfin elle le sent tout au fond delle. Lui force encore comme sil pouvait aller plus loin.
Cest elle qui commence les mouvements daller et venir. Son sexe, jusquà lanus est tendu vers le plaisir. Dewei ne fait rien de particulier Il se laisse baiser. Même sil force pour ne pas jouir, il donne son sperme largement. Elle sent les spasmes au fond de son ventre. Son vagin se contracte à son tour quand elle jouit en poussant un léger cri.
Le couple reste encastré un instant. Mais Dewei débande. Il sort un peu piteux de la fille. Elle en voudrait encore. Son seul moyen, enfin celui quelle connait reste sa main. Elle se penche en arrière, accoudée sur un coude. passe sa main sur la chatte encore mouillée pleine de semence. Elle réunit les doigts en un seul gros paquet. Elle entre les doigts dans le con en le faisant aller et venir.
Elle regarde la queue qui la baisait, elle la voudrait encore. Elle se place le torse sur le bureau, les fesses vers la pine du chinois. Si elle se masturbe elle demande encore la bite. Elle la guide vers son entrée secondaire. Dewei sait que des femmes demandent rarement, parfois ce quil va faire. Il pose son gland renaissant sur le cul offert. Il na pas à forcer, la queue entre seule quand elle donne un grand coup en arrière. Heureusement pour elle quil: a jouit, il met plus de temps pour la bourrer. Elle sent la queue aller et venir dans ses boyaux, elle jouit deux ou trois fois encore, juste avant Dewei. Le plaisir du chinois entraine automatiquement le sien.
Les séances de traductions sont journalières. Il sera un bon baiseur retourné chez lui.
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