Ma 1Ère Sodomie, Une Révélation

Je me rappellerai longtemps de ma 1ère sodomie. Celle où j’étais actif. C’était un été en vacances sur la côte atlantique. J’étais sur une plage naturiste, je me prélassais au soleil tranquillement quand une 'folle perdue' s’est allongée à côté de moi. C’était vraiment une caricature : le minet, efféminé, coupe de cheveux improbable, bracelets de gamin aux poignets. S’il n’avait pas été mignon je me serais tiré. Mais comme il l’était je suis resté en espérant qu’il attirerait de vrais hommes qui souhaiteraient passer un bon moment et je pourrais alors en profiter.

Ca n’a pas été le cas. Mais le minet, Arthur, a engagé la conversation avec moi. Il était bavard et inintéressant. Collant même , car voyant que l’appât ne marchait pas, je suis parti et il m’a suivi. Frustré et agacé par la situation, je lui ai demandé ce qu’il voulait. Il s’est collé à moi et a dit :

- Je t’ai vu l’autre jour. C’est ta queue que je veux. Elle m’a l’air vigoureuse et j’ai envie de me faire prendre.

En disant ça, il se caressait la bite dans son slip de bain. Je voyais ce mec devant moi, le regard malicieux. Tout son être respirait la salope, de son comportement à sa tenue. Le genre de mec qui doit aller en boite et se faire enculer à la chaîne dans les toilettes des hommes. Il se collait à moi et m’embrassait le visage, me léchait le cou. La frustration sexuelle, la colère et l’isolement (on était dans un lieu boisé avant la plage) m’ont transformé en un autre homme.

Je lui ai foutu un gifle magistrale qui l’a fait tomber par terre. Et pourtant, il arborait toujours ce sourire de vice et de luxure . J’ai défait mon short et je lui ai intimé l’ordre de me sucer.

- Suce-moi d’abord et ensuite je t’encule, pd !

Son regard était vraiment celui d’une chienne qui en veut. Et il suçait bien. Taquinant le gland du bout de la langue, alternant gorge profonde et commentaires salaces. Il savait masser des couilles et glisser sa langue comme il fallait.



- J’aime trop ta queue ! J’ai trop hâte de la sentir m’enculer !
- Je vais te sodomiser sans prendre de gant et tu vas regretter de m’avoir allumer !

Sentant la jouissance monter, je l’ai écarté, je l’ai mis à genoux la tête dans le sable et le cul en l’air. Il avait toujours ce regard de défi. Il me fallait le dominer ; j’ai donc pénétré 2 doigts d’un coup sec dans son anus, sans préparation ni préliminaire. Là j’ai senti sa crispation. Je lui doigtais le cul en rajoutant d’autres doigts. A la fin je le doigtais vigoureusement avec 4 doigts. Il fermait les yeux, gémissant de plaisir.

Puis je suis passé aux choses sérieuses. Je me suis placé derrière lui. Il était à 4 pattes. Je ne me contenais plus. Je l’ai alors enculé de toute mes forces, ignorant ces complaintes. Il criait de douleur mais rapidement, ça s’est transformé en cris de plaisir. Il prenait son pied. Il gigotait du cul sur ma queue pour augmenter la pénétration, exprimant son plaisir de se faire prendre sauvagement dans la nature par un inconnu qu’il avait aguiché. Moi, je sentais pour la 1ère fois cette sensation de puissance, de domination quand l’anneau de son anus serrait a bite et que je m’enfonçais dans ses intestins. La chaleur de son corps et l’étroitesse de son cul se mêlaient à ma rage et au plaisir de dominer un allumeur. En plein coït, il continuait de commenter :

- Putain je la sens ta grosse queue !
- Ta gueule, lopette !
- Oh oui vas-y, insulte moi !

Plus je continuais, plus il prenait du plaisir. Mais il commença à la fermer pour ne faire que gémir sous mes coups de bite dans son cul. Je le sentais vraiment soumis au plaisir que je lui procurais ; c’était comme avoir dompté un cheval sauvage : je l’avais monté en levrette en le tenant par son collier. Je le dominais et j’en retirais un plaisir très fort.

Et là j’ai réalisé que ce gars se comportait comme une salope en manque et que je traitais cette salope comme les hommes me traitaient au lit.
Du coup je devais être comme lui, à leurs yeux : un sac à foutre tout juste bon à enculer. Cette idée à fini par me faire jouir dans son cul à grands jets. Et en le voyant se crisper au moment de jouir, je me suis revu toutes les fois où un homme me prenait en levrette et éjaculait en moi.

Je me suis allongé. Il est venu sur moi, ma sucé un peu et m’a remercié. On est resté allongé, j’ai appris avec lui comment attiser le désir animal chez un homme mûr et dominateur.

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