La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 173)
Histoire écrite par Scarlett - Scarlett au Château (suite de l'épisode N°164)-
Je suis à pas feutrés Marie dans les couloirs du château. Les plafonds à la française sont hauts, les grandes vitres sont brillantes, les couloirs sont très lumineux. Les peintures en tableaux vernis sont énormes, magnifiques, les tentures dun velours bordeaux dignes des contes des Mille et une nuits. Je suis donc de près Marie, enchantée, émerveillée par la beauté des lieux. Nous arrivons devant une grande double porte massive et sculptée, celle des appartements de Monsieur le Marquis. Elle était magnifique, imposante et dissimulait derrière elle un long couloir, desservant les grandes pièces privées du châtelain, et ayant pour fin une immense baie vitrée donnant sur limmense parc et la forêt du château. Marie me dit sur un ton des plus laconique :
- « Troisième porte à gauche »
Javance lentement quelque peu effrayée par ce qui va suivre. Je frappe à la porte et jentends un :
- « Entre »
Jouvre la porte et découvre le luxueux bureau de Monsieur le Marquis dEvans. Cétait un lieu merveilleusement beau; une grande pièce aux murs grèges, aux tentures de soie encore plus belles que celles du couloir. Avec des meubles du style néo-classique. Javais limpression dentrer dans un de ces bureaux que lon voit dans les magasines de décorations. Mon Maître, le Marquis dEvans se tenait droit, face à une baie vitrée donnant sur les jardins féeriques de la demeure. Javance puis je me tiens à quelques pas de lui, les yeux fixés au sol. Il se retourne, je relève légèrement la tête, et il me sourit comme pour me souhaiter la bienvenue dans ce lieu, où je découvre ce que je suis vraiment, ce que jai envie dêtre : une femme soumise. Il me fixe de ses yeux dun bleu azur. Son regard est très dominateur et mimpressionne beaucoup, ce qui me fait de nouveau baisser la tête. Il sapproche alors et explore des yeux toutes les parcelles de mon corps nu, puis effleure de ses mains mes hanches, ce qui me fait frissonner.
- « Tais-toi ! » dit-il dun ton calme dune voix presque douce.
Il repart contempler le paysage à travers la baie vitrée.
- « Tu peux disposer. Jai chargé Marie tinitier à quelques pratiques. Ne sois pas capricieuse, jexige la plus grande obéissance ! »
A lentrée des appartements de Monsieur le Marquis dEvans, Marie mattend. De ses yeux au regard dédaignant, elle me fait signe de la suivre. Nous revenons à la Chambre des nouveaux, et je découvre quatre croix St-André disposées contre le mur circulaire de la pièce. Oui une pièce ronde dune dizaine de mètres carré de circonférence. Je pense être au cur du Donjon du château
- « Je te présente eclaveCyril, esclave6934, esclaveObjet et esclaveAlbert ; ces quatre mâles ont été choisi par Monsieur le Marquis pour servir à ton entrée dans le cheptel. Regarde, comme ils bandent ces chiens en chaleur ! Oui, ils sont en forte érection, après deux semaines dans leur cage de chasteté, ils nattendent quune chose, que tu les prennes en bouche pour jouir, afin de se soulager, il te faut les vidanger ! Allez, à genoux, tu vas les sucer un par un, et fait les bien éjaculer »
Jai à peine pris le temps danalyser ce quelle mavait ordonné, pour que Marie appuie sur mes épaules et ainsi je me retrouve nez collé au pénis du premier esclave. Alors je mapplique donc à le sucer. Marie me propose différents instruments, un fouet, un martinet et une cravache, elle me donne limpression que je devrais en choisir un. Au moment où jessaie de choisir un instrument, la cuisinière me dit :
- « Je ne te demande pas de choisir petite soumise ! ».
Un premier coup de fouet sabat sur mon dos, heureusement pour moi, mon cri est étouffé par le sexe que jai en bouche. Dailleurs le premier esclave ne tardera pas à jouir dans ma bouche en de longs jets épais. Les coups ne sarrêtaient pas et mexcitaient extrêmement. La douleur devenait insoutenable et me faisait perdre la notion du temps. Je ne sais pas, mais je présume que les quatre hommes ont joui très vite, aussi vite que quelques lanières venaient taquiner incessamment le haut de mes fesses.
Je me relève et tente en vain de reprendre mon souffle. Du sperme coule le long de mes lèvres. Je nai pas pu tout avaler. Marie, sans se soucier de mon état, minstalle sur ce qui savère être un chevalet, débutante jen ignorais jusque là lexistence. Elle mexplique quelle doit me dilater mon petit trou. A laide dun gode faiblement lubrifié, la cuisinière qui ne connaît pas la douceur, me dilate le trou du cul sans me ménager. Je navais jamais été sodomisée. Dieu que cest douloureux ! Ma chatte ruisselait. Bien que les sensations fussent atroces, elles nétaient pas du tout désagréables car je sentais un liquide couler le long de mes jambes. Après avoir fait des allers retours sadiques avec ce gode, elle décide de le retirer subitement. Sachant que je ne dois pas crier, je fais de mon mieux pour ne pas laisser échapper un son, sans succès; la surprise prend malgré moi le dessus.
Evidemment Marie me rappelle à lordre. Sans plus attendre elle introduit un plug dans mon orifice, martyrisée par le gode assez volumineux quelle venait de retirer. Le second objet devait être plus volumineux que le premier, cest avec difficulté quelle le fera entrer en entier. Je ne pouvais plus réfléchir, ou me poser des questions sur ma situation. A quoi bon se poser des questions oratoires ? Au fond, je savais que jaimais cela, que Monsieur le Marquis avait raison, je devais avoir un potentiel à la soumission. Je mouillais encore plus, peut-être que le fait de penser au Marquis, au fait dobéir à ses ordres que Marie ne faisait que transmettre, faisait accroître lexcitation que mon ventre traduisait en chaleur.
Marie étant comme moi une femme, devait sans doute savoir que je désirais me faire prendre pour satisfaire le désir qui, na jamais été aussi grand. Je nétais pas au bout de mes surprises. Je souris en voyant deux grands messieurs, 2 blacks aux carrures impressionnantes, totalement nu et en forte érection également, entrer dans la « Chambre des nouveaux ». Ils portaient juste pour chacun un collier de cuir aux armoiries des Evans. Le premier sapproche et sans mot dire, force lentrée de mes lèvres de son sexe énorme en érection. Lautre me tient par les hanches, un léger sentiment de joie menvahit quand la sadique cuisinière intervient :
- « Tu nauras pas droit à la pénétration vaginale ma belle, ton vagin appartient à Monsieur le Marquis et il na pas permis quon y touche. Pour ce faire baiser ta chatte, tu dois dabord faire partie des soumises du cheptel personnel de Monsieur le Marquis dEvans, cest son petit harem ! »
Je nassimilais pas tellement ce quelle disait, je déduis seulement que je naurais pas droit à mon orgasme tant voulu. Lautre black retire le plug et me pénètre sauvagement, bestialement le cul. Tous deux samusent à inverser leurs emplacements; je ne sais plus qui jai dans la bouche et qui va et vient dun rythme endiablé entre mes reins. Jessaie juste de mappliquer à la tâche en espérant pouvoir ignorer ces sensations intenses et profondes. Ils mettent plus de temps que les quatre premiers mais finissent par jouir chacun dans un trou. Je sens leur sperme chaud sécouler dans mes entrailles et dans ma bouche. Exténuée je commençais à avoir envie que cela sarrête. Mais au moment où ils quittent la pièce, Marie détache les quatre esclaves qui ont bien profité du spectacle, et elle enfile un gode-ceinture. Elle mordonne de bien me cambrer puis me besogne vivement tout en tirant sur mes tétons. Les mâles, eux, me caressaient doucement tout le corps. Le plaisir des caresses vicieuses des 4 soumis se mêlait à la douleur que provoquait le gode et le désir insatisfait que mon sexe transformait en une multitude de sensations fortes.
Je ne sais plus si la pénétration de Marie a été longue, si jai crié ou si des larmes ont coulé. Certainement. Mon seul souci à présent est lobéissance à Monsieur le Marquis. Je devais me faire une place au château et peut être même faire partie des soumises du cheptel personnel du Maître
(à suivre
)
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