Ce Jour-Là

Étant seul depuis un petit moment déjà, j'acceptai l'invitation d'un ami pour une soirée qu'il organisait chez lui le samedi soir.

Je me situe dans la moyenne niveau physique 1m75 pour 66 kg, bruns, allure athlétique mais ça n’empêche que cela commençait à m’agacer de ne retrouver personne.

Cette soirée arriva rapidement et je n’avais plus très envie de m’y rendre le jour venu mais je fis un effort pour mon ami.

A mon arrivée chez lui, il y avait déjà trois mecs et deux nanas que je ne connaissais pas. Mon ami me les présenta et je fis connaissance avec eux. Au fil du bavardage, d’autres personnes arrivèrent. Nous étions une vingtaine en tout avec à peu près moitié filles et moitié gars.

Mon regard fut attiré par une brune, elle était de taille moyenne avec quelques formes mais un joli visage. Elle était vêtue d’une petite robe noire et d’un haut bleu sombre avec de longs ongles vernis de noir tout comme son visage maquillé.

Je pris mon courage à deux mains et me décidai à aller lui parler. Je me présentai à elle « Salut je suis Alain et toi ? » elle me répond qu’elle s’appelle Marjorie et qu’elle est venue à cette soirée avec une amie mais qu’elle est célibataire si c’est ce que je veux savoir.

Au fil de la soirée je fais deux, trois allusions pour tenter de la mettre en confiance et de la faire rire ayant tous deux pas mal bu cela aidant. Après plusieurs danses ensemble où je me collai à elle, nous échangeons enfin un baiser. Je la regarde à ce moment-là et lui fais un clin d’œil et de nouveau je l’embrasse en faisant rentrer ma langue dans sa bouche.

Vers deux heures du matin, elle me demanda discrètement si je voulais l’accompagner chez elle car elle avait peur de rentrer seule si tard. J’acceptai bien volontiers et espérai que cela irait bien plus loin. Nous avons marchés une dizaine de minutes environ et sommes arrivés au bas de son immeuble. Elle me demanda si je voulais monter, je lui dis « oui » sans hésitation.

Elle vivait au quatrième étage sous les combles dans un petit studio. Elle me proposa un verre puis ensuite je m’approchai d’elle et l’embrassai de nouveau tout en la serrant contre moi avec mes deux mains posées sur ses fesses.

Je commençai à avoir un début d’érection et je pense qu’elle dut le sentir car elle recula et me regarda en souriant et me dit « je te fais de l’effet on dirait ». Je la repris contre moi et l’embrassai de nouveau pendant un long moment où mes mains commencèrent à parcourir son corps.

Elle me poussa sur son lit tout en se mettant assise sur mes genoux et m’enleva mon t-shirt. Mes mains caressaient ses seins par-dessus son haut que je ne mis pas longtemps à enlever. Ma bouche se posa sur sa peau et je lui fis des petits bisous pendant que mes mains dégrafèrent son soutien-gorge. Face à ma bouche j’avais ces seins lourds et gros que j’embrassai rapidement, j’alternai d’un sein à l’autre, je les léchai et par moments je mordillai ses tétons qui commençaient à durcir sous l’effet de ma langue.

Elle s’enleva de mes genoux et m’enleva mon jeans et me fit m’allonger sur le dos. Marjorie m’embrassa et sa bouche commença à descendre le long de mon cou et s’arrêta sur mes pecs qu’elle mordilla. Sa langue continua plus bas et ses mains m’enlevèrent mon caleçon qui libéra mon sexe. Elle me prit en bouche pendant de longues minutes tout en alternant avec mes couilles.

Je n’avais encore jamais connu pareille fellation, sa langue léchait ma hampe et sa bouche m’engloutissait tout entier. Je prenais beaucoup de plaisir. Sa bouche descendit sous mes couilles et je sentis sa langue contre mes fesses, elle me les léchait et je trouvais cette sensation nouvelle pas désagréable.

Je lui dis « j’aimerais que tu me fasses goûter ton sexe » et en me redressant, j’entrepris de lui enlever sa robe et le petit string mauve qu’elle portait en dessous. Son sexe était entièrement épilé et ma bouche se précipita sur ses petites lèvres suintantes de cyprine.
Je lui mis un doigt puis deux et elle se laissa faire, j’entendais ses petits soupirs.

Soudain elle me dit « prends-moi, j’ai envie de te sentir en moi », je me glissai en elle qui était allongée sur le dos et je n’eus aucun mal à faire glisser mon sexe en elle tant elle était mouillée. Je la besognai de longues minutes ainsi avant qu’elle ne se place en levrette, mes mains serrèrent férocement ses flancs et j’accélérai mes mouvements jusqu'à ce que je sente les premiers soubresauts de l’éjaculation. Je lâchai de longs jets en elle et elle eut simultanément son orgasme qui enserra encore plus mon sexe en elle. Nous nous sommes écroulés sur le lit, l’alcool et la fatigue aidant.

Au petit matin, je me suis réveillé et je me tournai dans le lit et m’aperçus qu’elle dormait encore. Je m’approchai d’elle et fit passer ma langue dans le creux de son oreille, j’entendis un feulement et vis ses yeux s’ouvrir…

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