L'Orage

L'orage cesse enfin. La chaleur fait vite évaporer l'eau des chaussées. Il reste cette odeur indéfinissable d'ozone : c'est agréable surtout que la température est descendue. Comme souvent je sens mon besoin de donner mon sexe à une fille, n'importe laquelle. Pas loin de ma table deux femmes me regardent en ricanant. Elles se moquent de moi, pas possible. Je vais leur montrer que je ne suis pas le dernier à les laisser faire.
Elles sont à ma table après mon invitation : nous buvons elles un thé, moi un café serré. Comment est-il possible d'être aussi belles, aussi désirables. La petite brune aux yeux verts fixe mon entrejambe. C'est sans doute ce qui me fait bander. Elle le voit bien la coquine, son regard brille. L'autre rousse pose sa main sur le bras de la brune. J'admire cette fille couleur de feu. Elle aussi me donne envie d'elle.
Pourquoi ne pas leur proposer une séance particulière.

Nus dans une chambre, celle de la rousse, nous allons nous coucher. Je regarde avec envie la motte de la brune qui, poilue, me donne envie d'aller y plonger ma langue. Sa copine regarde la même chose que moi. A la différence de moi, elle se touche à peine le bas ventre. Je lutte pour y croire, elle ne va pas vouloir baiser son amie ?

Je suis installé entre les cuisses de cette brune. Son sexe dégage une odeur de cyprine qui me force à la lécher. Mon nez sur son clitoris, ma langue dans le vagin, happe ce qui dépasse. La rousse commence à me caresser les fesses. Je la laisse faire, c'est excitant. Surtout quand elle vient fouiller dans la raie. Je ne sais pas comment elle fait, couchée elle aussi, à l'envers de sa copine, le bras tendu sur mon postérieur. Si je pouvais lui prendre le con avec au moins une main. Non, elle se contente seule.
Bon moment avec un sexe sur la bouche, l'autre fille qui se branle sans complexe. Il n'y a que ma bite qui est seule, même si je fait des mouvements sur le drap : le gland est durement frotté.


La rousse se met sur la brune, sa bouche sur le sexe, éloignant la mienne. Ça y est, elle sont en 69. Isolé je commence à me branler. C'est bon de se masturber ainsi. Si je continue je vais éjaculer sur les draps. Je suis assis à les regarder. C'est joli deux filles qui se gougnottent. Leurs seins touchent comme à loisir le corps de l'autre. Je vois enfin l'ouverture que donne la rousse. Je me mets sur elle, ma bite bandée. Je n'ai pas à chercher son cul, la main de la brune me guide.
Cet anus n'est pas encore ouvert comme je le voudrais. Ma pine doit d'abord ouvrir un peu. Je sens le plaisir venir quand le gland entre à peine. Aidé par l'autre main et par le désir de celle que je veux sodomiser, ma bite entre progressivement. D'abord passe le gland puis le corps de la bête. Le bas ventre contre les fesses je suis sur le point de jouir.
La main qui me dirigeais lâche le vit pour prendre les couilles en les serrant. Je retarde sans le vouloir l'éjaculation. Celle que j'encule demande que j'aille encore plus loi, plus fort que je lui fasse mal, alors que mon souhait de la faire jouir.
J'attends mon tour quand elles partent ensemble. L'anus que je pénètre se referme, s'ouvre pour recommencer. Elle n'en fini pas de jouir. Dommage, l'orgasme fini, elles me laissent à ma faim.
Je reste comme un con la bite droite. J'allais recommencer à me branler quand je reçois deux bouches pour dévorer ma queue. Si au début elles se disputent pour me prendre dans la bouche, la suite montre qu'elles savent comment partager une bite.
La brune lèche le gland pendant que la rousse caresse avec sa langue les couilles l'une après l'autre. Je les regarde, prenant autant de plaisir à leurs caresses qu'avec mon regard. J'arrive à caresse les fesses de la brune plus proche de moi. Elle ouvre sa raie comme ne invitation à poursuivre ce que je ne manque pas.C'est mon pouce qui est sur l'anus. Je dois forcer un peu pour le faire entrer. Une fois dedans je la branle lentement.
Elle tend son cul vers moi comme si c'était une queue dans son ventre.
Quand à la rousse, elle se masturbe tranquillement à la recherche uniquement de son plaisir. Je vois son sexe humide, ses doigts qui dansent sur le clitoris.
Enfin je sens que je vais jouir. Je les avertis pour la suite espérée. C'est toujours la brune qui suce, qui reçoit mon jet de sperme. Elle semble le mâchouiller un moment avant de le partager dans un long baiser avec sa copine.
Suis fini, écroulé sur le lit, la bite en deuil. Pourquoi je ne bande plus ? J'ai toujours envie des deux filles. Elles me font plaisir en s'embrassant encore comme deux amoureuses. La brune commence à peloter l'autre qui lui rend ses caresses sur le tétons.
Elles se sont couchées en sens inverses, les bouches sur le corps de l'autre, prêtes à aller très loin. Les lèvres descendent lentement. Ma queue revit aussi lentement. Elles sont en 69, les cuisses ouvertes à la bouche de l'autre. Je sens le gland qui sort du prépuce. Je bande assez pour les baiser l'une après l'autre. Elles me repoussent quand je veux aller sur elles.
Je regarde simplement, je bande toujours. Je me branle devant elles. Ma main va et vient sur le mat. J'allais jouir quand enfin elle, la rousse prend ma queue pour me branler. Sa main est agile pour, me faire jouir enfin sur elle. Mon sperme s'écoule sur son corps, léché par l'autre fille.
Plus tard, bien plus tard, j'arrive à bander encore une fois pour les baiser l'une après l'autre.
Dehors le temps est à nouveau à l'orage. Le tonnerre nous invite à rester dans la chambre.

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