Nuit Magique
NUIT MAGIQUE
Hâtons nous de succomber à la tentation de peur quelle ne séloigne.
Après lépisode de nos vacances dans le sud, nous avons eues Olive et moi quelques aventures mais guère intéressantes, je comptais bien vous narrer la suite de lHomme de la plage mais malheureusement il ny a pas eu de suite.
2011 passa la routine reprit le dessus. Olive est préoccupé car dans sa boite il y a des rumeurs de charrette, il na pas tellement le cur à la bagatelle. Moi par contre mes envies, mes besoins sont devenus plus forts, plus présent...Jétais demandeuse, au point qu'il m'arrivait en croisant ou en discutant avec un homme de penser aux fantaisies érotiques que nous pourrions faire ensembles.
Les mois passent. Olive est toujours aussi peu empressé à mon égard. Nous faisons lamour quen trop rares occasions. Mes envies je les calme avec mes doigts ou mon sex toy.
Avec le retour du printemps jespérai, en vain. Mai arrive, Olive à un stage du 21 au 25 inclus. Les premiers jours je profite de son absence pour faire du changement dans la maison. Le jeudi 24 une collègue de travail me propose de déjeuner avec elle, nous décidons daller au restaurant que nous fréquentons tous régulièrement. Il est à cinq minutes à pieds de lagence.
Arrivant sur le coup de midi trente, sans réservation, le patron nous fait les gros yeux mais il nous prépare une table au fond de la salle.
Nous nous installons, prenons un apéritif en discutant. Les tables sont tellement rapprochées que notre voisin tourne la tête vers nous et là, je sens une boule en moi, dans ma gorge dabord, puis dans mon ventre. Un délicieux frisson de désir que je nai que trop peu ressenti ces deniers temps.
Sur une de mes répliques il se met à rire. Nous le regardons toutes les deux, il sexcuse en disant :
- votre remarque était bien envoyée.
Nous pouffons de rire. Un dialogue sinstalle entre nous trois.
Un peu plus tard ma serviette tombe, je me penche pour la ramasser, lui aussi, nos nez entrent brièvement en contact. Quelque chose dans son regard me dit quil est sur le point de membrasser, jai juste le temps de mettre un doigt entre nos bouches. Il pose sa main sur mon bras, je ne me suis pas préparé à la décharge dexcitation sexuelle qui me traverse. Un peu plus tard il prétend voir une tache sur mon chemisier pour me toucher un sein.
Je suis maintenant son centre dintérêt, sa conversation mest surtout destinée une certaine complicité sinstalle entre nous. Une pensée coquine me vient, je lui demande :
- Vous qui êtes dans le PVC pourriez vous maider, nous devons changer nos fenêtres et dans les différents devis difficile de faire le bon choix.
- Oui cest possible
- Alors passez à la maison ce soir si toute fois vous le pouvez ?
- Ce sera avec grand plaisir dailleurs je passe la nuit ici je suis à lIbis et comme cela je ne serai pas seul ce soir, voyez vous depuis 20 ans que je fais ce métier, je pars le Lundi matin et je ne rentre que le Vendredi soir, des soirées seules jen ai passées il marrive quelques fois en boîte de trouver une compagne féminine, mais avec lage cest de plus en plus rare.
- Alors disons 20 heures.
- Ok pour 20 heures.
Le repas se termine il se doit dhonorer ses rendez vous de laprès midi. Je lui communique mon adresse et mon téléphone, en partant il me tire vers lui, plaque une main sur ma fesse, comme je ne réagis pas il augmente sa pression, nos visages se touchent, il dépose un rapide baiser au coin de mes lèvres.
Nous partons, tout en marchand Véro me dit :
- il ne ta pas laissée indifférente cet homme et puis le coup des fenêtres bravo, et tu envisages quoi ?
- Qui vivra verra
Le fait est que l'absence dOlive et mes envies grandissantes m'excitent au moindre petit fait.
Je regagne mon bureau, très troublée par cet homme, cet après midi là je nai rein fait de productif.. En rentrant je refais notre lit en cas ou ? je prends une douche, me coiffe. 19 heures 30. Je descends préparation de lapéritif et du repas (merci Picard). Jespère que mon choix vestimentaire lui plaira. Une robe légère à fines bretelles, boutonnée sur le devant. Elle ne cache pas grand-chose de mes formes. Cest une robe de vacances. Ce soir je la porte sans soutien gorge, le bas nest pas boutonné et lorsque je bouge il se soulève facilement et il permet un accès facile aux mains baladeuses. En dessous un tanga blanc. Je vérifie quil ne manque rien, tout et bien. Je ressorts les devis.
20 heures la sonnette retentie je vais ouvrir. Il est sur le pas de la porte un bouquet de fleurs à la main quil me tend, son regard est perçant, ses yeux me déshabillent complètement, sous son regard, mon cur se serre, mon ventre se tend, mes seins gonflent.
- Vous êtes très belle, très désirable.
Je me sens vulnérable face à cet homme. Je referme la porte, il me plaque contre le mur et membrasse. Pas un baiser violent, pas un de ces baisers qui veulent dire « toi ma petite, tu vas y passer » mais un baiser tendre, baiser dune personne recherchant de la tendresse, il me fait fondre.
Jen ai le souffle coupé, le rouge me monte aux joues, je ferme les yeux, mes jambes peinent à me soutenir. Il me prend par le bras, nous nous dirigeons vers le salon. Je moccupe des fleurs le laissant seul. De retour je lui demande sil désire voir les fenêtres maintenant ou après lapéritif. Il préfère maintenant. Devis à la main nous faisons le tour des pièces, arrivés dans notre chambre il sextasie devant la taille de notre lit un 180 x 200.
- Dites moi dans un lit comme celui-ci on peut coucher à combien ?
- Régulièrement a trois, mon mari, moi et généralement le chat milieu.
Nous rions. Redevenant sérieux, il mexplique pourquoi de telles différences et me conseille une entreprise. Redescendus au salon nous prenons un apéritif au champagne, tout en papotant je lui propose de dîner avec moi, il accepte avec empressement, demande sil doit maider, je réponds que tout est prêt. Jai chaud dun seul coup, très chaud, je me lève, lui resserre du champagne me penchant plus que nécessaire, lui dévoilant mes seins nus.
Je linvite à passer à table. Je me dirige vers la cuisine à mon retour il a rapproché nos chaises. Assise près de lui, nous nous frôlons. A mesure que le repas avance, latmosphère devient plus détendue, la conversation prend un tour plus sensuel, coquin.
Au risque de te choquer, je suis libertin, 20 ans sur les routes mont amenés à faire des rencontres et à participer a toute sortes de soirées. Jai divorcé deux fois elles ne supportaient pas mes infidélités. Ma troisième épouse je lai rencontré à Agde nous avions loués un studio au Jardin dEden jétais encore marié avec la deuxième. Elle, elle était célibataire un soir au Glamour ça a fait tilt entre nous, nous nous sommes plus quittés depuis. Pourtant elle à onze ans de moins que moi, ça fait maintenant dix ans cette rencontre. Si elle reste avec moi cest que nous sommes tous deux identiques, nous avons besoin de liberté, elle profite également bien de son côté de mes absences. Nos week-ends sont souvent chauds.
Il dépose devant moi un test HIV datant dune semaine, il précise en me regardant :
- cest pour te rassurer en cas où tu désires aller plus loin.
- Je nai pas de test, il nous est arrivé davoir des relations intimes avec dautres partenaires, mais comme mon mari et moi sommes donneurs de sang régulier nous laurions appris si
Le repas terminé nous repassons au salon, Assise en face de lui, je croise et décroise mes jambes, lui envoyant un regard éloquent, je pose ma main sur ma cuisse, négligemment je remonte ma robe.
Je linvite à venir à côté de moi.
François me regarde, il se penche vers moi, pose sa main sur ma cuisse nos visages sont très proches, mettant un doigt sur ma bouche, en souriant :
- ou sont vos bonnes manières, soyez un peu patient.
Dépité il retire sa main. Moi riant je la prends et la pose où elle était. Sa main remonte sur ma cuisse, ma robe glisse. Je ferme les yeux, cet homme me fascine, me tient sous son emprise. Mon corps tremble légèrement, il me serre dans ses bras et murmure :
- je vous désire depuis que je vous ai vue, et vous me désirez vous ?
- Oh Oui dis je en rouvrant les yeux.
Il se lève, pose sa veste sur une chaise me tend la main, mattire à lui. Je suis contre lui il me dépasse dune tête. Doucement nous dansons au rythme de la musique, ses mains posées sur mes hanches. Il me presse contre lui, je sens nettement la bosse que fait son sexe contre mon ventre. Je relève ma tête lui baisse la sienne il membrasse sur le front, puis descend et membrasse cette fois au creux de mon épaule puis dans mon cou de petits baisers en petits baisers il se rapproche de ma bouche, sarrête au coin des lèvres.
Enfin il pose sa bouche sur la mienne, mincite à écarter les lèvres, glisse sa langue, elle entre dans ma bouche, quand elle est en contact avec la mienne, une décharge me traverse si violente que jen ai le souffle coupé. Cest délicieux, sa langue me pénètre comme un pénis, jinsère à mon tour ma langue dans sa bouche, il frissonne, me serre plus contre lui. Je sens son sexe dur contre mon ventre, il me semble volumineux. Javance mon bassin pour mieux le sentir, il se met à gémir entre nos lèvres. Nous ne bougeons pratiquement plus serrés lun contre lautre.
Jécarte un peu mes cuisses pour sentir sa virilité contre ma chatte humide, pressée de laccueillir. Une de mes mains sest détachée de son cou et descend le long de son torse, sa peau frissonne au passage lent de cette main qui descend inexorablement vers son sexe tendu, je le prends à travers le tissu, le caressant comme si je le masturbais. Il me serre plus contre lui bloquant ma main. Jabandonne son sexe. Mes mains tirent sur sa chemise la font sortir du pantalon et partent dans son dos. Lui passe un main entre nous et la fait remonter de mon ventre a mes seins. Il en masse un puis lautre, pince les bouts, les étirent au travers de ma robe, marrachant un gémissement.
Nous nous embrassons à pleine bouche. Nos langues se sont trouvées et amorcent le ballet le plus érotique quil leurs aient été donné de danser. Les bras noués autour de son cou les yeux clos je mabandonne. Ses mains se glissent entre nous et déboutonne ma robe, en écarte les pans. Ma respiration saccélère, dune main je cache mes seins, il lécarte, je résiste, il insiste, je cède. Il écarte les bretelles, posant ses mains sur mes hanches il fait glisser ma robe sur le sol, je mécarte légèrement de lui elle tombe, je lenjambe. Il ne me reste que ma culotte. Sa main explore mon ventre, sattarde sur le denier rempart, jouvre mes jambes, lui tend mes lèvres, nous repartons pour un langoureux et long baiser.
Sans me quitter du regard, ses mains se posent sur mes fesses, glissent sous lélastique de mon tanga et le tire vers le bas, je me tortille pour laider arrivé en bas de mes jambes, je le repousse. Je suis nue devant lui immobile.
Il sécarte, me regarde. Il me fait asseoir sur le canapé. Il fait glisser mes fesses au bord, écarte mes jambes et se cale entre. Il prend le temps de me découvrir. Ses yeux sattardent sur mes seins puis mon ventre plus bas il découvre un ventre plat, mon sexe, mes lèvres imberbes seulement surmontées dun petit triangle blond taillé court. Un silence règne entre nous. Ses mains semparent de mes seins, ses pouces passent lentement mais intensément sur mes tétons pour les faire durcir. Ses index viennent aider en les pinçant par petites pressions, ma respiration se fait haletante. Sa bouche prend le relais elle les embrasse, aspire les pointes, les lèche, sa langue chaude me fait frissonner. Une onde de chaleur mirradie de mes seins à mon vagin. Délicatement, sa bouche descend embrassant mon ventre, mon nombril, sa langue va et vient dans le creux, cest délicieux.
Il arrive au pubis, quil frôle du bout des lèvres. Descend sur lintérieur de mes cuisses serrées qui sécartent et se dirige vers mon sexe lisse. Chacune de ses caresses me font frémir, mes reins se cambrent. Il remonte, le bout de son nez effleure ma toison, descend, vers lentrée de ma vulve. Mon ventre ondule. Sa langue écarte mes lèvres, remonte, elle aplatie, écrase mon clitoris en faisant de petits cercles. Il laspire et le tire légèrement. Je mouille de plus en plus. Je soupire et appuie sur sa tête. Il sent monter en moi le plaisir. Il le titille avec sa langue encore plus rapidement mon clito devenu dur. Il laspire à en vouloir lavaler. Dans un long soupir je me crispe, mes mains lui emprisonne sa tête, jexplose dans sa bouche.
Sa langue abandonne mon clito. Il récupère le jus de ma source, par des mouvements circulaires de plus en plus resserrés jusqu'à atteindre le cur de celle-ci. Sa langue se raidit pour pénétrer à lintérieur. Mon bassin ondule de plus en plus, avance vers sa bouche. Mes soupirs lexcitent et le stimulent. Sa langue tendue me pénètre. Elle va le plus loin possible. Il enfonce un doigt puis un deuxième dans ma fente gluante. Il trouve mon point G et le masse. Je me cabre, cri, mon vagin enserre ses doigts. Des gémissements sortent de ma bouche. Ses doigts font maintenant des aller et retour senfonçant de toute leur longueur, mon corps se tend, mon cur cogne dans ma poitrine, je me raidis, frémis et mon orgasme éclate bruyamment.
Après avoir récupérée je le prends par la main et lentraîne vers notre chambre arrivée près du lit, je mallonge dessus. Il se déshabille rapidement je le vois enfin nu, mes yeux se posent sur son entrejambe son pénis est dressé.
Nous nous regardons, il est proche de moi, sagenouille, ses mains parcourent mon corps, dépose de petits baisers. Il me murmure :
- tu es belle.
Je tends la main vers sa queue, mes doigts lentourent, il frissonne, je sens son membre palpiter dans ma main. Je fais quelques aller et retours qui lui arrachent des gémissements. Japproche mon visage de son sexe, je le prends dans ma bouche, je fais coulisser son sexe à lintérieur, je creuse mes joues pour laspirer. Son membre palpite dans ma bouche. Mais il se retire et sétend sur moi me couvrant de baisers, il prend mon visage entre ses mains, me regarde. Il positionne son sexe à lentrée de ma grotte.
Lentement son gland écarte mes lèvres, mes chairs sécartent doucement pour le laisser entrer. Dun coup de rein il senfonce et simmobilise. Jécarte mes cuisses au maximum pour le laisser entrer plus profondément. Son pénis glisse en moi, jusquau moment où nos ventres se touchent. Mes hanches se mettent à onduler, un flot de chaleur monte, menveloppe dans un tourbillon de jouissance. A son tour il se met en mouvement ses va et vient deviennent puissants, je laccompagne dans notre chevauchée. Je ferme les yeux et renverse ma tête, tous mes sens sont concentrés sur le feu qui me dévore le ventre. Seul nos souffles sentendent dans la pièce, plus rien ne compte pour moi, je ne sais plus qui je suis, mon mari oublié depuis un bon moment. Je lâche un cri aigu, mes muscles intimes palpitent de façon désordonnée sur son pénis, je ne suis que jouissance, mes jambes nouées dans son dos appuient sur lui, je veux le sentir au fond de moi.
Son sexe durcit, grossit encore, je me cabre tellement que je le soulève, je hurle ma jouissance au moment ou il se répand en moi. Je mécroule lui sur moi, nous restons un long moment sans bouger nos respirations redeviennent normales. Cest incroyable mais il est toujours aussi dur en moi. Jouvre les yeux, ma bouche se colle à la sienne, nous nous embrassons longuement passionnément. Mes mains se posent sur son torse pour le repousser il se recule en protestant, je laisse son pénis à demi enfoncé, je mimmobilise et commence une ondulation des hanches tout en resserrant au maximum mes muscles vaginaux.
Il appuie sur mes bras, je résiste, puis cède, brutalement il senfonce pleinement en moi, il plonge son regard dans le mien en me jaugeant, je soutien son regard tout en donnant de petits coups de reins. Il se recule et sabaisse fortement, il reprend ses va et vient tantôt lents tantôt rapides tantôt profonds, tantôt juste en ne laissant que son gland entre mes lèvres. Puis il sarrête, se retire une affreuse sensation de vide sempare de moi il me demande :
- mets toi à plat ventre
Il maide à me retourner, glisse sous mon ventre deux coussins me soulevant ainsi les hanches. Il se place entre mes jambes et entre en moi violemment. Heureusement mon conduit est bien huilé. Il se met à bouger en faisant des mouvements de rotation alternés de va et vient. A chaque coup de rein son pubis vient frapper mes fesses. Je me cabre, je cri, je cherche lair je ne contrôle plus rien, mes mains senfonce dans les draps, une véritable frénésie sempare de moi.
Lorgasme qui me submerge est si intense que je perds connaissance. Quand je retrouve mes esprits il est toujours fiché en moi immobile, il me semble que son pénis à encore grossi, je me sens écartelé, il reprend ses va et vient me pilonnant furieusement pendant je ne sais combien de temps, je sens son sexe palpiter aussi et dans un cri il joui en longues saccades au fond de mon ventre au moment ou je hurle. Nous restons enlacés, nos corps sont luisants de sueur.
Son sexe toujours fiché en moi ramollit lentement. Il se retire de moi, je sens sécouler de ma chatte nos jus damour maillés. Il sallonge au près de moi, son sexe à demi bandé et joue avec mes seins, je reste là ouverte. Je lui demande de mapporter un verre deau, il descend le chercher. Je profite de ces instants de calme pour aller jusque la salle de bains me rafraîchir et faire une toilette intime. Quand je reviens il mattend allongé sur le lit je bois mon verre, massoit sur lui, et descend jusque ma bouche touche son pénis, il est semi dressé, ma main le branle puis ma bouche le gobe, ma langue joue avec son gland, je souffle dessus, je le lèche sur toute sa longueur, ma main caresse ses bourses, je les suce. Je le fais aller le plus loin que je peux dans ma bouche, le pompant profondément à men creuser les joues.
Ses mains senfoncent dans mes cheveux, il se saisit de ma tête et la fait venir davant en arrière, il ne me quitte pas des yeux. Gémit, la pression sur ma tête se fait plus forte, ses coups de reins plus brutaux, il baise ma bouche, jaccentue la pression de ma bouche sur son sexe. La pipe que je lui fais fait son effet il est maintenant de nouveau rigide. Mattirant vers le haut il murmure :
- vient sur moi.
Je monte sur lui, ses mains se placent sous mes hanches se saisissent de mes fesses, les plaçant juste au dessus de son sexe. Dune main je le saisis et le place entre mes lèvres intimes, ne faisant rentrer que le bout, bras tendus, je sens son sexe durcir au contact du mien. Je menfonce complètement sur lui un gémissement sort de ma bouche. Il mattire, je me colle à lui. Une fois bien calée sur son membre, je me soulève en prenant appuie sur ses bras. La sensation de sa queue qui séchappe de mon ventre, le vide que cela crée je narrive pas à le supporter. Aussi je me renfonce bien vite sur sa queue. Je mempale dessus avec ravissement. Il coulisse avec facilité dans mon intimité.
Ses coups de reins sont longs et rapides jhalète, je maccroche à lui. Jai limpression que son sexe est énorme, il me remplit merveilleusement. Il appuie fermement sur mes fesses. Je les pose sur ses cuisses, son sexe planté dans le mien. Mon bassin le masse de manière circulaire. Je me laisse aller au plaisir. Mais il reprend le contrôle des opérations, ses mouvements de va et vient sont de plus en plus puissants, marrachant des cris de jouissance. Il accélère en moi, je devine quil est à bout, quil va venir, ça déculpe mon plaisir, il se cabre des jets brûlant viennent buter au fond de ma matrice. Nous crions ensembles. Je mécroule sur lui.
Après quelques instant je me retire de lui, je me blottie contre lui, je mendors.
6 heures 30, il me réveille, par de doux baisers, son sexe est dur entre mes fesses. Je remue légèrement le plaçant juste où il faut, il à compris le message, sa main se plaque sur mon ventre, mes pointes de seins durcissent aussitôt, elle descend, se pose sur ma toison, ma vulve, insère un doigt, constate que je suis humide, écarte mes lèvres, trouve mon clito, le titille, je me tortille, cherchant sa bouche je me couche sur le dos. Dans la pâleur du matin je le redécouvre, il me sourit. Je mouvre pour lui, je suis prête, il sallonge sur moi.
Dun long coup de rein il me pénètre, je me crispe, cest vrai quil est gros. Sans attendre il se met à bouger. Il ne se comporte plus comme lamant dhier soir mais en mâle ayant besoin dassurer son territoire. Ses coups se font forts, rapides, profonds, je serre les dents, il grogne, me besogne longuement, je suis envahie par la chaleur quil me procure la sueur coule entre nous.
Je râle, le griffe, mes muscles intimes se contractent alternativement sur son sexe qui me comble au-delà de mes espérances. Mes doigts se plantent dans son dos, son sexe tressaute au fond du mien et dans un rictus de plaisir il éjacule en moi. Je jouis secouée par de longs et violents spasmes autour de son sexe fiché en moi. Lorgasme qui me submerge est encore plus intense que les précédents, je suis heureuse.
Il reste encore un peu sur moi, et doucement se retire, je le regarde se lever. Il me demande où est la salle de bains je lui indique dun mouvement de bras, il séloigne et jentends leau couler. Petits à petits je récupère, jarrive à me lever, jai mal partout, je passe une robe de chambre. En passant devant la salle deau dont la porte est ouverte je laperçois rien que de le voir des frissons me parcourent une onde de chaleur me traverse.
Ce nest pas possible je nai quand même pas encore envie et pourtant si, je laisse tomber ma robe de chambre et le rejoins sous la douche. En me voyant il me lance un sourire féroce, prend le pommeau de douche et le passe partout sur mon corps, nous nous savonnons mutuellement en insistant sur lentre jambe, il durcit à nouveau, mattire contre lui, me soulève, et me fait descendre sur son sexe. Je noue mes jambes dans son dos et me bouche sur la sienne. Il me plaque contre le mur et me prend sauvagement, cest ce que je veux. Très vite je me mets à crier, je lui tape dans le dos, jai la tête dans le creux de son épaule, je lui plante mes dents au moment ou je jouis, il ne résiste pas et une nouvelle fois me comble. Nous restons soudés sous leau de la douche, attendant que mes jambes aient la force de me porter, il me pose.
- laisse moi maintenant cette fois il faut jy aille, jai un rendez-vous à 8 heures 30.
Je sorts me sèche, nouant sur ma tête unes serviette et passe ma robe de chambre. Je vais dans la cuisine et prépare du thé et du café, je ne sais pas ce quil prend le matin.
Il arrive sassoit, nous buvons silencieusement. Il regarde sa montre, se lève. Je laccompagne jusque la porte me hissant sur la ponte des pieds je lui tends mes lèvres, je ferme les yeux, nous nous embrassons longuement tendrement. Jouvre la porte. Sur le seuil il se retourne et me dit :
- Lors de mon prochain passage je tappelle et si tu es libre
Il séloigne. Je referme la porte, je reste seule vidée, mais il faut que je me dépêche si je ne veux pas être en retard au travail, je monte mhabiller en passant devant le miroir de lentrée je jette un coup doeil, jai le visage dune femme comblée, heureuse davoir vécue ce quelle vient de vivre. Cest certain je vais avoir droit de la part de Véro a quelques plaisanteries grivoises. Si elle me demande
- Alors
- Je lui répondrai, cétait magique.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!