Make Up Sex ?
Nouvelle prise de tête
Comme toujours, ton sale caractère fait des étincelles, et après cette dispute j'ai comme souvent une furieuse envie de te malmener
Assise sur le canapé du salon, tu fulmines encore quand je te rejoins dans la pièce. Tu me suis du coin de lil, le regard noir et encore animé d'une lueur de colère intense
Je massois à tes côtés et tu détournes le regard, préférant rester silencieuse
Je glisse une main sur ta cuisse, que tu repousses vivement, et tu tires légèrement sur ta jupe pour couvrir la peau nacrée et soyeuse de tes cuisses galbées.
Je me love contre toi et vient murmurer doucement au creux de ton oreille quelques mots pour apaiser ta colère. Mon souffle chaud te caresse doucement le lobe et vient frôler ta joue
Encore une fois tu me repousses, mais avec moins de fougue
Je t'observe un instant, un petit sourire narquois aux lèvres, puis je pose de nouveau la main sur ta cuisse
Tu râles et secoue la jambe pour que j'enlève la main, mais cette fois tu ne la gifles pas
Il n'en faut pas plus pour m'inciter à aller plus loin
Je te pousse contre l'accoudoir du canapé et tu t'affaisses en offrant une résistance toute relative
Je me glisse au-dessus de toi et vient t'embrasser avec fougue, nos souffles se mêlent et s'accélèrent quand nos langues se livrent une bataille acharnée. La mienne envahit ta bouche et la fouille sans ménagement, tu répliques en la repoussant pour venir nicher la tienne entre mes lèvres
Ma main glisse sur le côté de ta cuisse et retrousse ta jupe pour venir saisir à pleine paume le haut de ton string, string que je fais coulisser doucement contre ta fente dont les lèvres déjà enflées de désir s'écartent au passage de la fine étoffe
Tu souffles et gémis contre ma bouche en sentant ton excitation venir remplacer la colère
Je redouble d'ardeur dans un baiser enflammé avant de descendre lentement embrasser et mordiller ton cou, y laissant quelques petites marques rouges avant de poursuivre ma descente vers ta poitrine.
Ton bas-ventre commence à bouillonner, tu sens l'étoffe mouillée coulisser entre les lèvres de ton intimité gonflée de désir. Tu fermes les yeux quand, de l'autre main, je libère un sein du petit haut qui le couvrait et viens en aspirer la pointe entre mes lèvres. Je la lèche goulument et la mordille ensuite jusqu'à t'arracher un petit gémissement mêlant plaisir et douleur. Ma main libre vient malaxer l'autre sein sans retenue, pressant la chair comme on presserait un citron, roulant la pointe entre pouce et index et tirant dessus avec délice
Puis ma bouche délaisse ce sein ferme et lourd à la pointe fièrement dressée
Et quand je me baisse lentement, elle vient effleurer ton antre dégoulinante de désir avant que je vienne y poser mes lèvres pleinement, après avoir écarté l'étoffe trempée de ton string
L'odeur de ton nectar m'enivre, et je plonge sans retenue mon visage entre tes cuisses, léchant chaque goutte, parcourant ton sillon inondé du bout de la langue, venant ensuite la nicher dans ton antre. Je déglutis et avale ta mouille pour m'en abreuver, et fourre ma langue aussi profondément que je peux en toi, sentant les parois lisses de ta petite chatte odorante pulser de plaisir à chaque petite caresse que j'y dépose.
Ta poitrine se soulève à chaque respiration, tes yeux s'embrument de plaisir, et tu gémis de frustration quand je retire ma langue de ta petite chatte béante. J'ai le visage couvert de mouille
Bien vite, ta frustration s'efface quand tu sens mes mains écarter tes cuisses humides et relever ton bassin pour que je puisse venir lécher ton petit cul serré. Tu t'affaisses un peu plus encore et glisse sur le dos sur le canapé pour que je puisse relever tes jambes et ouvrir tes fesses plus encore. Je te dévore littéralement le cul, mordant tes fesses ici et là, y laissant des marques rouges avant de revenir baiser de la langue ce petit trou moite et chaud.
Tu souffles, pantelante, la respiration saccadée, quand un deuxième doigt glisse dans ton petit tunnel et que ma bouche s'active pour lécher chaque petite ride de chair autour des deux doigts.
Puis, une fois que je te sens fin prête, je me redresse et, de ma main libre, défait les boutons de mon pantalon, le tire vers le bas et libère rapidement ma queue brulante de désir pour toi. Je remonte tes jambes pour que tes mollets reposent sur mes épaules et je te tiens enfin à ma merci. Tu es là, sous moi, toute tremblante de désir, me suppliant du regard pour que je te possède sans retenue.
Tu sens la pointe de ma verge presser contre ton anus lubrifié et déjà martyrisé par mes doigts, et je ne te ménage pas quand, d'un mouvement du bassin, je glisse en toi presque d'un coup. Tes sphincters résistent un instant puis s'écartent, et je viens fourrer ton long tunnel de toute la longueur de ma queue
Je te prends comme une petite chienne, glissant en toi sans merci, mes boules venant claquer contre tes fesses à chaque mouvement. Je te fourre avec délectation et d'une main je viens de nouveau agripper un sein que je malmène au même rythme que ma queue qui s'enfouit dans tes entrailles. Ton cul est si chaud et serré, j'y glisse avec bonheur sans marquer la moindre pause.
Tu glisses une main sur mon torse, labourant ma peau de tes ongles, et venant également titiller mes tétons, que tu pinces tout à tour pour me rendre la monnaie de ma pièce. Ton autre main glisse entre tes cuisses et tes doigts s'agitent furieusement sur ton clitoris qui se dresse comme une petite bite, dur et sensible.
Je me penche au-dessus de toi, viens un instant mordre tes lèvres dans un baiser furieux avant de me redresser pour reprendre mon travail de sape entre tes fesses.
Après ces secousses qui semblaient ne pas vouloir finir, tu t'écroules enfin, à bout de force, foudroyée de plaisir. Je me retire rapidement de ton cul, laissant l'orifice béant et dégoulinant de la mouille de ta petite chatte qui s'écoule dessus depuis le début de nos ébats.
Je libère tes jambes, et me redresse sur lassise du canapé, tenant ma queue luisante fermement dans une main, et je viens la présenter en face de ton visage. Tes yeux sont encore mi-clos et ta bouche grande ouverte pour reprendre ton souffle quand la première giclée de sperme vient napper ton visage. Suivie dune autre, tout aussi forte, qui laisse une longue trainée sur ta joue, et la troisième gicle au fond de ta gorge, en souillant tes lèvres au passage.
Je tremble et me raidit en finissant de libérer sur ton visage et dans ta bouche un flot de plaisir épais, dont tu viens recueillir dans un dernier effort les dernières gouttes directement sur ma queue, que tu suces avec gourmandise pour la nettoyer goulument.
Je te contemple, à moitié nue sur le canapé, les cuisses trempées, les seins rougis, la peau couverte de sueur et le visage marbré de trainées de sperme
Tu es magnifique
Un petit sourire narquois aux lèvres, je murmure ces quelques mots en remontant mon pantalon : « Alors amour, fini de bouder ? »
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