A La Fac, Avec Un Noir Et Sa
Jai vécu des histoires quand jétais à la fac. Je vous en ai déjà raconté une. Celle que je vais vous raconter sest déroulée lors de ma 1ère année. En 1ère année, on arrive à la fac avec beaucoup dà priori, que ceux-ci soient bons ou mauvais. Pour moi ils étaient plutôt bons, du coup jessayais pleins de choses.
Un jour en quittant un amphi, un homme ma abordé. Il me semblait lavoir déjà vu. Donc, il devait être étudiant, professeur ou à ladministration. Il était noir, grand, musclé et dodu. Le genre de personne qui a une musculature assez développée mais qui a aussi une couche de graisse entre la peau et les muscles, si vous voyez ce que je veux dire. Il était en costume, le crane rasé. Il ma donc abordé et ma demandé des renseignements sur les cours. Il était sympathique et engageant. Je lui ai fait comprendre que je devais me rendre à la station et il ma accompagné. Chemin faisant, on a discuté et il ma invité à prendre un café à la cafétéria. Jai accepté.
On a continué à discuter. Il me posait des questions sur moi : 1ère année, pas du coin, loue une chambre
Cétait détendu. Il me semblait sentir en lui une petite excitation, un désir. Il était charmant donc je souriais beaucoup et il avait lair dapprécier. Il me dit que la 1ère année est faite pour choisir mais aussi vivre de nouvelles expériences.
- Tu sais, en 1ère année on jouit dune certaines libertés. On peut expérimenter contrairement au lycée, et plus que quand tu auras un boulot. Il faut en profiter.
- Jespère bien. Dailleurs, jai lintention de profiter un maximum de la fac.
- Les sorties, les soirées, les filles aussi ?
- Entre autres, je ne me limiterai pas à ça !
Je lai senti très réceptif à ce moment là. Il a dû saisir que jétais ouvert, notamment aux hommes. Il ma alors proposé de venir dans sa chambre de la résidence universitaire pour me montrer des photos de ses expériences ; pour avoir une idée de ce que je pourrai faire.
Je mattendais à une chambre un peu plus petite : 2 petits lits mis côte à côte, 2 bureaux, un canapé. Je comprends quil sagit dune chambre pour deux étudiants. On sassoit sur le canapé et il me montre des photos de soirées, de vacances avec le BDE
- Bien sûr, il y a dautres moyens de samuser, si tu veux que je te montre...
- Genre comme ça ?
Je me suis mis à califourchon sur lui et lai embrassé à pleine bouche. Il a répondu positivement. Il était habillé, mais quand jai remué du bassin sur lui, jai eu limpression de sentir une grosse bosse. Jai retiré mon pull et mon tee-shirt, je lui ai enlevé sa veste et sa chemise. Jai pu pétrir sa musculature et ça ma excité de sentir cet homme. Je me suis laissé glisser sur le sol tout en embrassant sa poitrine et son ventre pour finir à genoux entre ses jambes. Javais très envie de le sucer et sans attendre jai défait son pantalon et jai saisi sa grosse bite déjà au garde à vous. Elle était large, le gland était un peu rosé avec des couilles énormes. Je me suis mis à louvrage en gobant sa queue et en massant ses bourses. Son odeur était très forte et javais envie davaler toute sa queue. Lui aussi vu quil poussait ma tête de sa main pour que je lui fasse une gorge profonde. Je ne voulais pas mais il a continué malgré mes gesticulations. Il ma laissé respiré, je lai repris en bouche mais seulement le gland que je mordillais.
Ensuite, je me suis relevé puis déshabillé lascivement devant lui et je me suis remis à califourchon sur lui. Jai pris sa bite dans ma main et je lai faite glisser entre mes fesses. Elle était assez longue du coup je me frottais à ce pénis comme à une rambarde. Ma salive et son liquide séminal faisait que ça glissait vraiment bien.
Puis jai pointé son sexe sur mon anus et jai laissé la gravité faire le reste. Le début de la pénétration est toujours excitant car sentir le gland forcer lanus est à la fois douloureux et libérateur de plaisir par la suite.
Il était assis et moi sur lui et face à lui les mains sur le haut du dossier. Il me claquait les fesses, minsultait et me masturbait. Je sautais comme un bienheureux sur sa queue qui me procurait beaucoup de plaisir quand jentendis un bruit de clé derrière la porte qui souvrit. Cétait une chambre universitaire donc il ny avait quun pièce et la femme qui est entrée a tout de suite eu la vision de moi, nu en train de se faire prendre. Jai essayé de me dégager pour me cacher mais lhomme men a empêché. Je me débâtais mais il était plus fort et me maintenait sur sa queue. Javais toujours sa bite fichée en moi mais je ne bougeais plus, de honte.
Il ma expliqué que cétait sa fiancée. Cétait une belle femme noire. Elle sest assise sur le lit et me regardait. Comme je ne bougeais plus (javais vraiment trop honte), il a commencé à bouger, à me claquer les fesses ; il minvectivait à coup de « bouge ton cul », « fais pas ta mijaurée, tu gémissais comme une putain avant quelle narrive ». La gène ne passait pas mais se mêlait au plaisir de la pénétration et je me remis à gémir de plaisir. Jai repris ma chevauchée et je ne moccupais plus de ce que la femme pouvait penser de moi ; je mabandonnais totalement au plaisir et jallais jusquà la fixer du regard pour lui montrer que je prenais du plaisir à me faire sodomiser devant elle.
Enfin, il ma soulevé, ma posé à 4 pattes sur le lit et a repris sa pénétration. Jétais presque face à face avec la femme mais je ne la voyais presque pas car le plaisir me submergeait et je fermais les yeux pour en profiter. Il me pénétrait à une telle vitesse avec une telle force que mes cris étaient inaudibles. Puis ils se sont parlés.
- Dis moi où veux-tu que je jouisse.
- Ejacule lui à la figure et fous le dehors que tout le monde sache qui il est.
Jétais trop allumé pour réaliser ce quil disait. Il est sorti de moi, sest placé devant mon visage et a éjaculé de grosses giclées de sperme sur mon visage. Jétais encore transis de plaisir quand il ma pris par le bras et foutu dehors dans le couloir ; la femme ma jeté mes vêtements à la figure et je les ai entendu se marrer. Jétais nu, en sueur, le visage couvert de foutre et lanus bien dilaté. Pendant un instant jétais un peu perdu. Mais je me suis rapidement rhabillé et enfui.
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