Le Telephone Sonne

Le téléphone sonne. Il est presque 20 heures. Je regarde de qui vient cet appel tardif et suis surpris que ce soit Nuno, un ami avec lequel je dialogue assez souvent sur le net.
Je décroche et j’entends sa voix excitée :

Lui : Peux-tu venir à la maison tout de suite ?

Moi : Bien sûr. Il y a un problème ?

Lui : Pas du tout, mais elle est au point. On doit agir maintenant !

J’ai immédiatement compris. En effet, nous avions il y a peu de temps, eu cette conversation sur le net. Il voulait que je surprenne sa femme dans une situation, où elle ne pourrait plus revenir en arrière et se libère comme il le désirait.
Le plan était, que j’arrive à l’improviste et qu’elle accepte un ménage. J’avais évidemment été tout de suite d’accord pour l’aventure, au risque de m’en mordre les doigts, si cela ne fonctionnait pas. Mais l’aventure c’est aussi cela, et je lui avais donné mon accord. Restait à trouver l’occasion. Or tout semblait faire croire, que Nuno jugeait le moment venu.

Moi : OK j’ai compris. Dans 30 minutes, je serai là !

Lui : Pas question ! Plus rapide ! Elle se masturbe nue au salon… Nous n’avons pas trop de temps…

Moi : D’accord… Une douche super-rapide et je suis chez toi dans 10 minutes.

( J’habite à moins de 1 km et je roule en moto. Ce serait alors 10 minutes au plus)

Lui : OK mais sans faute ! Sinon c’est raté. Je serai à la porte dans 10 minutes précises.

Et bien, je ne vous dis pas la vitesse de cette douche ! J’ai passé un pantalon sans me soucier du slip, un tricot vite mis, une explication rapide à ma femme (au courant et d’accord sans soucis), mon casque et me voila parti.
À l’heure précise, j’arrête ma moto devant leur porte. Déjà je vois Nuno en short et torse nu, me faisant signe de me dépêcher.
Il me dit qu’elle est au salon. J’ouvre lentement la porte (avec Nuno caché discrètement derrière moi).

Là m’attend une très belle surprise : dans une lumière douce, assise sur le bord d’un fauteuil en cuir, complètement nue, les jambes bien écartées et les yeux fermés, elle se caressait de deux doigts rapides, les faisant parfois pénétrer bien au fond en gémissant.
M’approchant silencieusement, j’enlève mon T-shirt, laisse tomber mon pantalon. Complètement nu aussi, elle toujours les yeux fermés, je m’accroupis entre ses jambes. Sans la toucher ailleurs, je me penche afin que mes lèvres arrivent sur son vagin ouvert.
J’y colle subitement ma bouche, tel un baiser bouche contre bouche, et d’un seul coup, j’y introduis ma langue le plus profondément possible. Sursautant, elle essaya de se dégager. Mais je lui avais pris les deux jambes contre mes épaules, de façon à l’obliger à rester dans cette position. Elle leva la tête et ouvrit les yeux pensant se faire traiter par Nuno. Elle les ouvrit tout grands, quand elle le vit debout à côté de moi, nous regardant nu lui aussi, se caressant la queue d’une main nerveuse et visiblement, en attente de sa réaction.
Elle leva un peu le torse et me prit la tête pour me dévisager. Avec un sourire, elle me remit la bouche contre son vagin et se laissa tomber sur le dos en gémissant. « Bande de salauds… » dit-elle entre deux gémissements. Ouf ! Elle marchait plein tube dans la fantaisie de Nuno… Restait la suite…
Nuno s’approcha d’elle, l’embrassa et lui demanda si elle était heureuse, si elle aimait la surprise. Elle lui répondit en gémissant, en avoir depuis toujours rêvé, mais qu’elle avait eu peur de lui demander. Son fantasme était de se faire prendre par deux hommes… Et que pour cela, j’étais son élu…
Tout allait donc pour le mieux.
De mon côté, ses mots me donnèrent davantage encore l’envie de « manger » cet abricot bien ouvert devant moi.
Je léchai tout autour de ce beau vagin, passai rapidement le bout de ma langue sur le clitoris bien dressé, pour ensuite le sucer comme le téton d’un biberon.
Elle commença à onduler, à gémir, à émettre des mots sans suite, entrant dans une jouissance incontrôlée, pendant que Nuno lui suçait les seins, lui décuplant ainsi le plaisir…
Freinant, je lui soulevai les reins, laissai glisser ma langue sur la courte zone entre le vagin et son beau petit trou de cul, que je lui léchai à petits à-coups, pour ensuite la lui introduire comme si je voulais la pénétrer. La beauté de ces deux trous offerts complètement épilés, très clairs du fait qu’elle soit une vraie blonde, faisait que ce moment devint unique, inoubliable pour moi et je pense pour elle aussi.
Nuno en avait profité pour lui introduire sa queue en bouche, qu’elle suçait avec vigueur, continuant à onduler son bassin au gré de mes caresses.
Au bout d’une vingtaine de minutes, elle écarta son mari et me prenant la tête dans les mains, m’attira sur d’elle pour m’embrasser violemment, démontrant ainsi, tout le feu qui lui rongeait les entrailles. Je ne me suis pas fait prier. Sa bouche avait un goût de sexe de mâle, mais c’était loin de me dégoûter. Je l’embrassai et lui dis à l’oreille, que la queue de son mari avait un goût agréable, ce qui eut un effet dévastateur sur elle. Elle trembla de tout son corps et se blottit contre moi…
Elle me répondit tout bas :

- J’ai rêvé de le sucer avec un autre homme… De le partager… Je n’aurais jamais osé te demander de le faire. Mais tu ne parais pas être contre.
Tu veux bien ? On ne lui dit rien. Quand il sera distrait, tu commences à le sucer aussi. Ce sera comme ma vengeance…

J’ai accepté. Un peu à l’écart, nous regardant en se caressant, lui n’avait rien entendu.
Nuno avait une belle queue de 17 cm et bien grosse. Suzane lui demanda de se coucher sur le dos dans le canapé. Elle lui prit la queue en bouche et débuta une fellation qui lui fit fermer les yeux d’extase. Je me baissai pour sucer les seins de Suzi, puis allai à son cou pour lui caresser les cheveux…
J’approchai ma bouche de la sienne.
Afin que Nuno ne se rende pas compte de la transition entre les deux bouches, elle se concentra a lui sucer le bout et subitement, nous échangeâmes. Elle s’écarta doucement, alors que je prenais avec douceur, sa queue bien en bouche. Elle m’embrassa le cou, les épaules, puis nous regarda d’en haut.
Quelques minutes plus tard, sans que Nuno ne se soit aperçu du changement, elle se pencha sur sa bouche et se mit a l’embrasser…
Là évidemment, il se rendit compte que quelque chose clochait. En se penchant, il découvrit que depuis quelques minutes, c’était moi qui le pompais… Il se laissa tomber en arrière en riant.

- Là vous m’avez eu, mes salauds !

- Non, pas encore mon chéri, dit Suzane.
Tu as voulu un trio. Très bien… Nous ferons tous les trois de tout.
Venez que je vous suce les deux ensemble. Ne pense pas que tu y échapperas. Tu devras aussi m’aider à sucer Carlo.

Il lui répondit sur un ton de défi,

- Et qui t’a dit que j’ai envie de fuir, ma puce ?

Comme pour le lui prouver, il se retourna de façon à ce que je le suce, mais qu’il ait aussi accès à ma queue, qu’il se mit à pomper avec ardeur !

Et bien mes amis… J’étais éberlué.
Cette nuit prenait des tournures, que jamais je n’aurais imaginées possibles.
J’ai attiré Suzi contre nous pour former un cercle, nous tournant et retournant, alternant ce vagin sucré avec une queue bien dure.
Mais nous voulions jouir dans Suzi, l’inonder. Tant de fois, nous avions parlé de cette nuit sur le net, que nous voulions voir se terminer par une énorme éjaculation dans le vagin et le cul de Suzane.
Nous nous la partageâmes une éternité. Je l’ai baisée, m’arrêtant chaque fois que je me sentais éclater, la repassant alors à Nuno, qui lui mettait des coups de butoir, jusqu’à ce qu’il en soit au même point. Nous nous la repassâmes sans compter, elle multipliant ses cris de plaisir, jouissant plusieurs fois.

Fatigués, nous lui annonçâmes que nous allions lui inonder le vagin et le cul. Avec un regard malicieux, elle voulut savoir qui inonderait quoi. En réalité, elle voulait savoir si on le ferait ensemble par double pénétration, ou lequel de nous deux lui prendrait son cul.
Là je pris les devants.

- Suzi, en paye de cette nuit, je tiens à ce que ce soit moi qui te remplisse ton petit cul.
J’espère que vous m’accorderez ce cadeau… Et j’aimerais aussi le faire, pendant que Nuno t’enfilerait le vagin. Qui sait, nous arriverons peut-être à jouir tous les trois… Mais je vous avertis, je ne vais pas tenir longtemps…

Sans discuter davantage et en riant, nous trouvâmes les positions adéquates. Nuno se coucha sur le dos et Suzi l’enfourcha. De la main, elle orienta sa queue au fond de son vagin, se pencha et l’embrassa. Les deux firent mine de m’avoir oublié.
Je m’étais déjà bien enduit la queue de lubrifiant. J’en pris encore un peu pour caresser le petit trou qui s’offrait à moi. Je voyais la queue de Nuno entrer et sortir lentement du vagin de Suzane. Une idée me vint alors.

- Suzane, avant de finir dans ton cul, aurais-tu envie d’un double vaginal ? lui demandai-je.

- Oh ! Oui ! Vous voulez bien essayer ? Avec tout ce sexe, je suis super-prête pour essayer de vous prendre les deux ensemble !

Je n’ai eu qu’à pousser un peu, en me guidant sur la queue de Nuno. Je pris les deux accolées dans ma main. Je les sentis s’enfoncer et aussi, le vagin s’écarter. Celle de Nuno battait contre la mienne. Quand nos couilles se rencontrèrent, les deux queues bien enfoncées, Suzane commença à trembler de tous ses membres, emportée dans une jouissance sans précédent. Elle cria comme une bête blessée, puis s’effondra sur Nuno.
J’étais à bout, je la savais à bout. Mais je voulais mon dû, je voulais son cul.
Je sortis ma queue de son vagin, la dirigeai sur son bouton de rose et doucement le pénétrai.
Peut-être n’était-elle pas encore tout à fait sortie de son orgasme et n’opposa aucune résistance. Bien au contraire, elle poussa sa croupe en arrière, pour m’aider à y entrer.
J’étais au fond, je m’y sentais serré et son cul palpiter. La jouissance monta en moi. Je me mis à gémir. Nuno le remarqua et accéléra. Elle, petite, semblait être un jouet entre nous deux.
Nous éjaculâmes pratiquement ensemble, l’inondant de sperme chaud, dans un orgasme ne paraissant pas avoir de fin. Elle était secouée entre nous deux, mais aussi incroyable que cela paraisse, sembla encore jouir avec nous !
Nous retombâmes comme des pierres, fatigués mais heureux.

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