La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 176)

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Histoire écrite par esclaveCyriliaMDE (suite de l'épisode N°168) - Les Moires du Château de mon Maître - -

J'avais bien souvent fait ce rêve avant d'entrer dans les murs du Château de mon Maître, le Marquis D'Evans : J'étais là, acculée face à un groupe de femme plus belles les unes que les autres, et je voyais dans leur regard la perversité qu'elle prévoyait d'infliger à mon corps. Telles des prédatrices, elles n'avaient pour simple idée que de se demander quelle quantité de plaisir elles allaient bien pouvoir tirer de moi et de mes gémissements. Ce rêve était réalité, dans cette salle de bain aux dorures et au luxe incomparable, et il coupait tout lien avec le monde que je connaissais jusqu'à présent. Les trois femmes, telles les Moires de la Grèce Antique, semblaient voir mon destin sans la moindre difficulté. La comparaison allait même plus loin, je ne m'en apercevais que peu de temps après.

- « Allez ma chérie, approche toi, nous n'allons pas te manger … pas tout de suite du moins ! » dit alors la somptueuse esthéticienne aux cheveux de feu

Ces trois belles femmes marionnettistes, jouaient sur les fils de mon être sans que je ne m'en rende compte. Malgré les paroles de la belle rousse, elle s'était amusée à me fixer de son regard de fauve. Je ne pus que détourner le mien et me réfugier sur ses lèvres. C'est alors que celles-ci, rougies par un magnifique rouge à lèvre s'entrouvrirent pour laisser le bout de sa langue les caresser. Elles avaient faim et ma paralysie soudaine les excitait. Hypnotisée, je perdais peu à peu l'attention de tout mes sens. Un manque d'attention, qui fut alors réprimé par la gravité elle même. Je sentais le plug glisser, s’expulser de ma chair. Trop tard pour réagir et le rattr, il chutait sur le sol troublant alors le silence dont se délectaient mes trois Maîtresses.

- Je croyais que tu avais bien placé le plug, Rose, dit subitement Madame Marie réprimandant son esclave
- Je l'avais pourtant fait, Maîtresse, je suis désolée, répondit Rose la tête baissée
- Tu ne vas pas me faire croire que cette petite chienne ne peut pas tenir un plug dans ses fesses.

Je sais que Monsieur le Marquis aime les salopes mais tout de même.
- Nous ne pouvons laisser, la pauvre chérie, comme cela, n'est ce pas ? Coupa ma Dame Blanche mutine.
- En effet … en plus, je viens de m'apercevoir que si elle revient vers nous debout je verrai ces …couilles, oui … ces petites choses bouger … beurk … Rose, ramène moi cette chienne comme il se doit …

D'un pas régulier et contrôlé, presque cérémonial, la fleur aux service de la Maîtresse de cérémonie se dirigea vers un petit meuble que je n'avais pas vu à cause de sa blancheur dans cette atmosphère brumeuse. Une magnifique armoire aux poignées d'or, sculptées d'arabesques et d’entrelacs tiré tout droit du XVIIe siècle. A l'intérieur, je vis des peignoirs moelleux et des kimonos de soie, sûrement pour les Invitées de Monsieur Le Marquis. Il y avait aussi, à l'intérieur des étagères, ornées de serviettes d'une blancheur immaculées, à l'exception d'une qui contenaient les instruments de soumissions, tous plus alléchants les uns que les autres. De cette étagère sortit une laisse faite de fines chaînettes d'acier rutilantes. Elle s'approcha alors de moi qui désespérément ne savait plus où me mettre. Je sentis sur la peau de mon visage la douceur de la Rose. Attirant mon attention d'une simple caresse de ses doigts fins, je ne vis dans ses yeux aucune supériorité, aucune envie de me blesser, juste une douceur complice et rassurante. Une sensation qui fut tellement prenante que seul le cliquetis de l'attache me signifia qu'elle avait accompli sa tache. La Fleur soumise posa une main sur mon épaule, sans la moindre force, ce qui ne m'empêcha pas de me baisser et de me mettre à quatre pattes. Elle me chuchota alors à l'oreille de suivre les mêmes conseils que tout à l'heure et ce sera parfait. Tout d'abord je ne compris pas tout à fait, mais je suivais la consigne. Mes genoux tentaient de suivre une ligne alors que le haut de mon corps restaient le plus statique possible. C'est là que je sentis mon corps réagir comme par magie, quelques pas après que Rose n'ait légèrement tiré sur la laisse.
Mes hanches ondulaient, mes épaules réagissaient, donnant un aspect presque félin à mon avancée. Je n'avançais pas vite, par la volonté de ma guide, mais je voyais, malgré mon regard légèrement baissé, que les deux Moires restées en retrait étaient en train de préparer quelque chose.

- Allez, mets moi ce torse sur ce banc et laisse toi cajoler, jolie poupée » dis alors Madame Marie, tapotant sur le banc comme on le ferait pour donner un ordre à un animal.

Docile, je ne pouvais qu'obéir à ces trois envoûtantes sorcières. Dans ce spectacle sans le moindre spectateur, Rose jouait donc le rôle de Clotho « La Fileuse » amenant mon destin à ses sœurs avec pour simple outil une laisse et sa douceur. Elle était, en quelque sorte, à mon image. Elle était asservie, à sa place, nue, elle était aussi pure et fraîche que la rosée. Mon corps posé sur le banc, je sentais alors Lachésis « La Répartitrice », qui était joué par la ravissante rousse dont je ne connaissais toujours pas le nom, prenait son rôle très à cœur d'enrouleuse de fil. Prenant un cordage de soie, elle se mit à m'attacher tout d'abord mon buste sur le siège avant de me lier les mains et les genoux aux 4 pieds du mobilier. Paradoxalement, alors que l'immobilité s'emparait de plus en plus de mon anatomie, mon sexe, ultime symbole de ma virilité semblaient faire de la résistance et voulait se dresser pour défier mes trois Maîtresses. C'est alors que la Troisième des Moires, Atropos « L'Implacable » s'incarna en Madame Marie et se posa sur le banc, à quelque centimètres de mon visage, avant de s'adresser à moi en me montant le visage jusqu'à son extrême limite

- Je t'ai promis que nous allons extirper toute trace de masculinité chez toi, n'est ce pas ? Vois tu, petite poupée, mon amie Christine, ici présente, n'a rien contre un peu de masculinité dans une esclave »

Ainsi tel était le nom de ma Lachésis : Christine, la Dame Blanche. Malgré mon incapacité à voir autre chose que le ventre de Madame Marie, je me doutais que la caresse que je sentais sur ma croupe était une marque d'affection de sa part.
Je ne sentis alors plus qu'un doigt qui se glissa entre les deux lobes de mes fesses, me provoquant un frémissement. Comme si elle était électrique, Madame Christine provoqua un frisson qu'elle semblait guider jusqu'à mon appendice masculin. Là, son empreinte ne fut plus celle d'un doigt mais de plusieurs qui se mirent à doucement caresser ma peau de plus en plus tendu en cet endroit. Puis j'entendis les pas des pieds nus de la Rose Clotho qui se posa derrière moi juste avant que l'Implacable Madame Marie ne reprenne son explication.

- Ton Maître, Monsieur le Marquis, t'a bien dilaté ton petit cul de salope. Tu dois aimer ça pour qu'un plug de 2 cm ressorte ainsi, répond !
- Oui Madame Marie. Je me gode tous les soirs, Madame Marie
- Quand bien même … avoue que tu aimes avoir ton cul bien ouvert.
- Oui Madame Marie, la chienne que je suis aime avoir le cul bien ouvert.
- Nous allons vérifier cela. Rose, tu prépares des plugs de plus en plus gros. Nous verrons si l'un d'entre eux peut combler le cul de cette petite salope de chienne en chaleur.
- Oui Maîtresse

Quelques secondes plus tard, je sentais les doux doigts de Rose remettre un peu de lubrifiant sur ma rosette avant de commencer son travail de saillie avec soin et fermeté. Ajouté à cela, les caresses expertes de la Dame Blanche me faisaient de plus en plus d'effet. Ma respiration était de plus en plus forte tout en étant contenu par les liens qui agissaient comme un carcan. J'étais à leur merci, et cela m'excitait au plus haut point. J'entendais alors les rires de ma rousse Maîtresse qui commentait ma manière de trembler, retenant au maximum mon explosion de plaisir. Pour me r, elle s'amusait à passer seulement un doigt sur mon gland turgescent, le titillant, le caressant, le serrant mais sans jamais lui donner la jouissance. C'est alors que je sentis que la taille du plug était devenue un peu plus grosse que tout à l'heure et je le sentais bien à présent qu'elle le faisait aller et venir en moi.
Je gémissais et percevais de moins en moins ce qui m'entourait. Mon corps ne me répondait plus et semblait tenter de bouger tout seul, renforçant mon impression d'être emprisonnée et à la merci de mes trois ‘’tortionnaires de plaisirs’’. Seuls les coups de cravache de Madame Marie arrivaient à m'empêcher de perdre pied.

- Je pense qu'on peut commencer, très chère Marie. Je sens que la petite poupée est prête, fit remarquer la Dame Blanche.
- Oui regardez là, on dirait un animal, conclus Madame Marie avant de s'adresser à moi. Tu veux jouir petite putain ?
-Oui … S’il vous plait … Oui Madame Marie

Les mots coulaient de ma bouche comme si cela était naturel. A chaque fois qu'elles me nommaient tel un objet, une putain ou un animal, je me sentais électrisée. Je me sentais à ma place entre leurs doigts experts. J'aurais tant aimé que mon Maître soit là pour m'observer et sombrer encore plus loin dans ma déviance et ma perversion. Je sautais dans l'abîme, les yeux fermés. Un abîme dans laquelle résonnait la voie ironique de Madame Marie :

- Vraiment ? Je ne suis pas convaincue, s'amusa-t-elle
- Je suis vraiment prête à jouir Madame Marie … je … je n'en peux plus … Pitié Madame Marie ! Pitié.
- Cesse de geindre ! C'est ton coté de mâle qui ressort et je n'aime pas ça.
- Pardonnez moi Madame Marie ! Je suis désolée d'être si faible … je …
- Bien, Christine, commençons la traite. La petite souillonne a l'air prête, ponctua-t-elle d'une claque sur mes fesses

Mon visage était crispé, alors que je percevais le bruit d'une porcelaine se posant sur le sol. Puis la main de la Dame Blanche apposa une main sur ma croupe, comme on le ferai pour rassurer la pouliche que j'étais avant s'adresser à moi avec douceur.

- Allez ma grande, tu peux jouir.
- Merci Madame Marie ! Merci Madame Christine ! Merci Mademoiselle Rose ! Merciii …

Mon corps était pris de spasme contenu par mes liens que j'éprouvais, marquant mon corps par la même occasion. L'Implacable Madame Marie se mit alors à me cingler les fesses à coups de cravache, les chauffant comme jamais. Je hurlais de plaisir alors que je sentais ma sève masculine s'échapper de mon corps et les ongles de la « Repartitrice » me lacérer les fesses, comme pour me laisser une marque de son passage. J'étais extatique, mon corps ne répondant plus vraiment à mon esprit. Ce dernier était baigné de plaisir douloureux et de souffrance délicieuses car la Dame Blanche ne s'arrêtait pas malgré ma jouissance. Elles avaient parlé de ''traite'' et ''extraire'' toute ma masculinité. Cela prenait un tout nouveau sens maintenant. Rose était alors passé à un nouveau plug, jugeant que 3 cm n'était pas assez pour la salope que j'étais. La grosseur de l'engin commençait à se faire sentir, à cause de la jouissance qui me faisait serrer les fesses. Je haletais alors que je tentais d'entrcevoir ce qui pouvait bien se passer derrière moi mais je recevais alors une claque de Madame Marie.

- Et bien ? T'aurais-je autorisé à regarder derrière toi, petite poupée ?
- Non … non Madame Marie, peinais-je à dire alors que mon cœur battait la chamade et que mon souffle était fort.
- C'est bien ce qu'il me semblait. Ton vagin appartient à ma Rose, ton gros clitoris suintant est à Christine. Moi, j'ai ta frimousse et te voir ainsi te débattre ne me déplait pas, je l'avoue. Je veux bien te récompenser pour ce spectacle

Alors qu'elle terminait sa phrase, je voyais mon Implacable ‘’tortionnaire’’ ouvrir ses cuisses et remonter une jupe pour découvrir de magnifiques jambes gainées de bas magnifiques. Comme dans une peinture de Grand Maître, je suivais les lignes devant moi, guidée jusqu'au point culminant jardin intime de ma Maîtresse. Je voyais son intimité, humide de m'avoir torturé, se rapprocher petit à petit de mon visage. J'en étais hypnotisée par ce sexe exposé comme une œuvre d'art devant moi. J'avais tellement envie de lui rendre hommage que j'usais les quelques forces qui me restaient pour tenter d'atteindre le fruit glabre de l'Implacable Atropos. Mais celle-ci était farouche et savait comment pousser les esclaves à bout. Elle était assez proche pour que je sens la fragrance de son orchidée, mais pas assez pour caresser ses pétales.

- Je ne sais pas ce que tu lui montres mais, en tout cas elle a repris de la vigueur la petite poupée vicieuse, commenta subitement la Dame Blanche.
- Il aime respirer les doux parfums, et j'imagine qu'il aime encore plus goûter à ce qu'il voit, n'est ce pas, petite pute ?
- Oui Madame Marie, exprimais-je dans un gémissement et troublée par la main experte de ma « Répartitrice »
- Je n'ose imaginer quelle se serait si je laissais ma chatte ainsi devant toi. Si proche mais aussi si loin à ne pouvoir la toucher.
- Oui Madame Marie, ce serait tellement dur. La pouliche en chaleur que je suis a tellement envie de vous apporter du plaisir
- Je pense plus que c'est par gourmandise que par intérêt pour mon plaisir que tu me dis cela. Comment être sûre ? … hmm … J'ai une idée. Tu as intérêt à rester la bouche fermer jusqu'à ce que je te donne l'autorisation de l'ouvrir, sinon il t'en cuira. C'est compris petite pute ?
- Oui Madame Marie.
- Qu'est ce que j'ai dit ? Lança-t-elle en me cinglant mon fessier

Comprenant, je fermais ma bouche et me contenta de hocher la tête, faisant apparaître un sourire satisfait sur son visage. Doucement, le bassin de Madame Marie s'approcha de mon visage et sa main me guida droit vers son pubis. Ma bouche restait fermée retenant les gémissements que me provoquaient les deux acolytes. Avec force, la vicieuse et sadique Cuisinière de Monsieur le Marquis sembla prendre mon visage pour une serviette, essuyant son sexe gonflé de désir et me recouvrant de son délicieux nectar. L'odeur en était enivrante. Mon nez étant la seul protubérance, elle se mit à passer dessus et d'y insister, manquant de m' à plusieurs reprise. Elle prenait mon nez pour un doigt tendu, je n’ose dire une verge mais un doigt, oui cela est plus probable. Mais ma récompense était là, j'entendais le souffle de ma Maîtresse, je sentais ses muscles se contracter. Elle prenait du plaisir et cette vision redonnait de la vigueur à mon membre déjà trop de fois utilisé pour que cela soit encore agréable. Mais mon corps ne m'appartenait plus. J'étais une poupée entre les doigts de ces Moires, ces délicieuses Moires qui jouaient de mon corps comme on joue d'un instruments. Je sentis alors des pincements sur mes tétons éructés d'excitation.

Les pinces semblaient être reliés à une chaînette que Madame Christine s'amusait à tirer pour mieux me titiller, pour que je n'oublie pas sa présence. Puis, un plug encore plus gros entra dans mes entrailles ce qui manqua de peu de briser le scellé de mes lèvres. Respirer par le nez ne suffisait plus, je devais utiliser ma bouche mais je n'avais pas le droit de l’ouvrir, ne serait-ce que pour prendre une bonne bouffée d’air. Ma tête me tournait mais je tenais bon alors que je remplissais encore un peu le bol de Madame Christine. Au même instant, les cuisses de Madame Marie se refermèrent, emprisonnant mon visage dans ses bras qui maintenaient ma tête plaquée contre son bas-ventre. Sa main se figea alors dans ma nouvelle chevelure, me comprimant contre son intimité bouillonnante. Je ne sais combien de temps dura son orgasme mais quand elle me libéra de sa poigne, j'étais à la limite de tourner de l'oeil.

- Hmmmm oui, belle petite poupée … oui tu aimes faire plaisir à tes Maîtresses, n'est-ce pas petite chienne souillonne ? J'en ai mis partout sur ton visage. Tu vas sentir mon odeur partout où tu iras jusqu'à ce que tu ailles te laver. Tu aimes ta récompense ?
- Oui Madame Marie, merci pour cette merveilleuse récompense … merci … merci encore, la tête me tournait, hébétée par le plaisir et la fatigue.
- Bien, Rose où en es tu ?
- Je crois que celui de 4 cm tiendra, Maîtresse
- Bien … Vient ici que tu profites aussi. Tu as été parfaite aujourd'hui

Les pas de la jeune Rose Clotho la guidèrent à ma tête. Elle s'installa à la place de Madame Marie une fois que celle ci se soit légèrement reculée. Elle se retrouva prise en étau entre sa Maîtresse et mon visage qui découvrait, une fois encore, le fruit à la fragrance délicate et à la délicieuse saveur salée. Cette fois, j'eus l'autorisation d'utiliser ma langue mais, il était évident que je n'étais, en ce moment, qu'un objet. J'étais un sextoy pour la Maîtresse qui, pendant ce temps, caressait et malaxait le corps nu de son esclave. Ce n'était pas moi qui faisait vibrer ce corps, mais la musicienne Implacable. Je ne me plaignais pas de ma position lapant tout fluide s'échappant de l'antre au plaisir de ma sœur esclave, suçant ses chairs sensibles avec délicatesse. La douleur de ma verge était de plus en plus présent à mesure que mon corps renonçait à combattre. Les muscles du bas de mon corps se secouaient sans discontinuer. Je sentais mes fesses irradiées de chaleur à cause des claques et griffures de la Dame Blanche. Le temps n'était plus quantifiable depuis un moment lorsque, le supplice exquis fut stoppé. Je n'avais pas non plus réussi à avoir l'esprit assez clair pour compter le nombre de fois où Rose avait joui sous les caresses fermes de la Maîtresse qui lui malaxait les seins tandis que j’apportais du plaisir à la belle Rose de ma langue endolorie. Je tombais épuisée, littéralement vidée alors que les trois Moires se relevaient, certaines plus facilement que d'autres. Elles débattaient sur un sujet que je n'avais pas la force de suivre. Je voulais juste me reposer et profiter des derniers tremblements de mon corps.

- Je peux donc l'emmener, n'est ce pas ? S'exclama Madame Christine comme une recevant un cadeau de Noël
- Monsieur le Marquis te l'a promise, n'est ce pas ?
- Parfait parfait, pouvez vous m'aider à la redresser un peu ?

Sous les bras de Marie et Rose, je me soulevais pour me retrouver en position à genoux. On m'ouvrit la bouche sans que je n'oppose de résistance, puis on apposa le petit bol rempli de ma semence sur mes lèvres avant de le renverser pour me le faire boire. J'avalais avidement, acceptant tout liquide, comme une bonne chienne que j'étais alors. La Dame Blanche s'amusa même à verser le liquide un peu plus brutalement que nécessaire, faisant s'échapper un peu de ma sève des commissures de mes lèvres marquant ainsi mon torse de souillure. Je notais cependant une chose lorsque j'avais fini. Un dépôt de poudre bleu sur le fond du bol. Mon cerveau éteint, je ne compris ce que c'était que 30 minutes après que j'ai été menée dans une chambre du château. Que mes bras et mes jambes aient été attachés aux montants d'un lit à baldaquin dont le satin des riches draps me faisait frémir. 30 minutes durant lesquelles, je m'étais endormie, pendant que la Dame Blanche, cette fois seule, ne disparaisse. Elle réapparut dans une nuisette noire transparente alors qu'elle remontait vers moi telle une fauve. Je voyais alors mon membre, revigoré par ces pilules bleus écrasées dans ma pitance. Je souffrais mais je ne pouvais rien faire d'autre qu'accepter d'être l'objet de mon ultime Maîtresse. La nuit fut douloureuse, éreintante et électrisante. Chevauchée par une diablesse insatiable, incapable de faire le moindre mouvement, je ne pouvais m'empêcher de la remercier mille fois avant de sombrer dans le monde de Morphée, ma salvatrice. Mes songes furent alors peuplés de Nymphe, jouant de mon corps, de fouet, de gémissement et de plaisir. Des songes guidées par les aromes laissés par mes Maîtresses et, en particulier, par les senteurs de la Dame Blanche. Celle ci, comme pour marquer son territoire dans mon songe, avait placé ses dessous trempés par la vision de mes douces s, directement sur mon visage. Un ultime délice avant de commencer d'engrener sur ma nouvelle vie… Et pour tout cela, dans mon esprit, juste avant de m’endormir, je remerciais d’une reconnaissance sans borne, Celui grâce à qui je pouvais vivre de tels moments de délices, oui, car sans Lui, rien ne serait ainsi… Alors MERCI Monsieur le Marquis d’Evans de me donner cette chance de vivre ce que je suis ….

(A suivre ...)

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