Leslie Ar60

Leslie AR 60 - Vacances chez Caroline, son anniversaire, quel souvenir, suite et fin

Le restaurant n’est pas bien loin, juste à une petite demi-heure en voiture de chez Caroline, il se trouve sur les hauteurs de l’arrière-pays ville, ce qui explique aussi la vue magnifique qu’il offre et de plus il a un parking privé pour ses clients.
La nuit commence juste à tomber alors que nous arrivons, en chemin nous avons parlé de tout et de rien, Caroline me racontant principalement de ses désirs et de la soirée à venir.

Une fois la porte franchie, une hôtesse vient s’occuper de nous, la salle est particulièrement bien éclairée et lumineuse.
Caroline a juste enfilé un gilet sur ses épaules qu’elle a laissé ouvert. Ceci me permet de voir que sous une telle lumière son buste est bien plus transparent que de ce que j’ai pu en juger chez moi. Ses aréoles brunes forment une tache sombre sous le tissu.
- Bonsoir mesdames, avez-vous une réservation ?
- Bonsoir mademoiselle, oui pour deux personnes.
Elle jette un œil à son cahier et nous demande de la suivre. Alors que nous traversons la salle, Caroline me glisse à l’oreille :
- C’est dingue, j’ai l’impression que tout le monde nous regarde !
Bien sûr cela ne m’a pas échappé que quelques têtes de messieurs se tournent vers nous régulièrement, surtout que la salle est bien pleine. Je lui réponds :
- C’est normal, deux belles filles seules ne peuvent qu’attirer les regards.
- J’ai l’impression que tous les mâles de la salle nous détaillent de la tête aux pieds.

La salle est conçue de façon à ce qu’un maximum de clients puisse bénéficier de la vue. La pièce forme un large demi-cercle avec une grande baie vitrée. La partie centrale de ce demi-cercle est légèrement plus basse, ainsi, les personnes assises aux tables placées en haut bénéficient toujours de la vue sans être gênées par les autres clients assis plus bas à proximité de la baie.


L’hôtesse coupe notre conversation pour nous présenter notre table, elle se trouve juste au bord de la partie haute, une petite pour deux personnes, à peu près à l’aplomb d’une autre table en bas occupée par deux couples.
L’étage, si on peut appeler ça comme ça, est bordé par des filins d’acier pour éviter toute chute, et ainsi la vue est complètement dégagée vers la baie, et là où nous sommes nous pourrons offrir le spectacle de nos cuisses aux personnes situées en contre-bas.
Nous nous plaçons à proximité l’une de l’autre de façon à bénéficier toutes les deux de la vue, vers l’extérieur.
Rapidement nous commandons et commençons à boire le cocktail de bienvenue.
Alors que nous sirotons et bavardons avec Caroline, je m’aperçois que deux têtes d’hommes situés à la table en contre-bas de la nôtre, se lèvent régulièrement dans notre direction et que leurs yeux se glissent souvent sous notre table. Il est clair qu’ils apprécient nos jambes.
Comme leurs compagnes nous tournent le dos elles ne se rendent pas compte de ce qui distrait tant leurs hommes

Alors que nous avons déjà attaqué notre premier plat, je demande à Caroline :
- Tu n’as rien remarqué ?
- Si bien-sûr ! Ces deux-là vont attr un torticolis.
- Nous leur en montrons un plus.
- Oh oui ! Remontons nos jupes pour mieux leur montrer nos jambes.
- Excitant, en ouvrant un peu nos cuisses, dis-je.
- Bien-sûr !
Aussitôt dit je m’exécute et saisis ma robe à deux mains au niveau des hanches pour la faire glisser et remonter un peu.
- On doit voir ta culotte maintenant, me dit Caroline.
Certainement, car mon admirateur porte maintenant un regard appuyé vers moi au niveau de mon entre-jambes.
Caroline comme moi, auparavant, att sa robe, non sans quelques difficultés tellement elle est près du corps, décollant légèrement ses fesses de la chaise elle la fait glisser vers le haut.
Maintenant sa robe est bien retroussée, le bas s’arrête juste au niveau de son entrejambe.

- Magnifique, ils vont nous faire une attaque !
- Certainement, dis-je.

D’autant plus que j’ai écarté généreusement mes jambes et que je dois offrir une superbe vue sur mon sous-vêtement en tulle noir, d’ailleurs à voir la tête que font les deux gars, je ne me trompe pas. Peut-être qu’ils arrivent même à voir par transparence mon sexe gonflé, qui de plus déforme le tissu.
L’attitude des hommes ont éveillée la curiosité des femmes, car celles-ci se retournent dans notre direction.
- Maintenant c’est excitant et amusant, déclare Caroline.

Caroline à son tour écarte copieusement ses cuisses, et l’effet ne se fait pas attendre, les deux hommes sont tout rouge.
Maintenant les deux hommes nous matent si souvent l’un et l’autre qu’ils doivent bander comme des ânes.
Mon excitation monte, alors, je prends la main de Caroline que j’amène au contact de mes seins.
- Tu n’aimes pas ?
Caroline est dans tous ses états et se laisse faire quelques secondes jusqu’à ce qu’elle réalise l’endroit où nous sommes et elle la retire prestement en tournant la tête vers les autres tables pour voir si son geste a été vu.
- Tu es vraiment la pire cochonne que je connaisse.
En disant cela, elle garde le sourire et son regard espiègle. Je vois bien qu’elle s’amuse autant que moi.
- Et ça te fait quoi de t’exhiber avec moi ?
- Ça me fait bander, tu veux vérifier ?
Je n’ai pas fini ma phrase que Caroline éloigne ses mains de moi de peur que je m’en empare pour lui faire vérifier mes propos.
- Je te crois sans problème, je n’ai qu’à voir comment tes yeux brillent et l’état de tes tétons pour comprendre. D’ailleurs c’est la même chose pour moi !

Les quelques minutes qui passent en suite, me permettent d’admirer la vue que l’on a maintenant que la nuit est tombée sur le ville, non sans continuer mon jeu de jambes, un coup croisées, un coup bien écartées, provocante et impudique pour le plus grand plaisir des deux hommes.
J’ai le sexe en feu, je bande comme une malade, remplie de désirs.
J’ai à cet instant envie de me ruer sur Caroline et la palper, l’embrasser, mais comme si Caroline lisait dans mes pensées, elle me dit :
- Tu restes tranquille et surtout, tu ne me touches pas ! Enfin, je veux dire pas ici, car je sais que tu en es capable.
Je la regarde, un sourire coquin aux lèvres et en agitant les doigts.
- C’est vrai que j’en meurs d’envie ! Allez, rien qu’une fois ?
- Eh bien patiente un peu, le repas n’est pas encore fini.

C’est à cet instant que la serveuse nous amène la carte des desserts tout en jetant un regard sur nos poitrines et repart avec un sourire qui semble dire : « on n’est jamais au bout de nos surprises dans ce métier ».
Je dis alors à Caroline :
- Avec tout ce que l’on a mangé et surtout bu, il faut que j’aille m’alléger un peu.

Et sans attendre sa réponse, je me lève et me dirige vers les toilettes, je pénètre dans une cabine et retire non string et retourne à la table.
Caroline m’accueille en me disant :
- Alors, te voilà plus légère ?
- Oui, de ça !
Je lui colle alors dans la main ma culotte. Elle met quelques secondes à comprendre et me dit en secouant la tête :
- Tu es sans limites ce soir et là je présume que tu as les jambes bien écartées ?
- Tout à fait.
Caroline regarde alors vers les couples et se retourne vers moi en disant :
- T’as vu, nous sommes en train de les perdent, ils viennent de s’ quand ils t’ont regardés, ils doivent penser que t’est une belle salope.

- Tu enlèveras la tienne à la maison pour moi, lui dis-je, ou maintenant si tu veux !
Alors Caroline sans se faire prier, prestement enlève sa culotte sous le regard ahuri de nos deux voyeurs.
- Voilà nous pouvons partir, me dit Caroline.
Je cherche la serveuse et quand je la vois enfin j’agite mon bras pour l’appeler. Elle me voit rapidement et se dirige vers nous.

- Pouvons-nous avoir l’addition s’il vous plaît ?
- Bien sûr, madame, je vous l’apporte de suite.
Je vois qu’encore une fois elle jette un coup œil à ma poitrine et me lance un grand sourire, elle a l’air de trouver ça follement drôle.
L’addition réglée, nous partons à partir, non sans rouler des hanches et nous faire une dernière fois remarquées et nous sortons enfin nos poitrines respectives se trémoussant au rythme de nos pas.
Une fois assise dans la voiture, Caroline se jette sur mes lèvres et m’embrasse avec violence, reprenant juste sa respiration pour me dire :
- Cochonne ! Je t’aime.
Ma main droite glisse alors sur sa jambe et vers son sexe, Caroline voyant très bien ce que je souhaite atteindre, la bouche ouverte et les yeux brûlants, écarte ses cuisses pour me faciliter l’accès.
Mes doigts sont rapidement au contact de son sexe bandé et elle pousse un bref gémissement au premier toucher. Elle écarte plus franchement ses deux jambes et cambre son bassin, son regard planté dans le mien me suppliant d’aller plus loin.
Alors prenant son sexe dans la main, j’entreprends un mouvement de va-et-vient, elle agrippe alors ma cuisse avec ses ongles et émet un cri plaintif et saccadé.
Sa respiration s’accélère et sa poitrine se soulève, et Caroline hurle un plaisir non feint.
Je tente de retirer ma main, mais elle me dit :
- Encore !
- À la maison, ma chérie, attends encore un peu ça n’en sera que plus merveilleux.
- S’il te plait…
- Non !
Le chemin du retour se fait à la vitesse de l’éclair, je suis trop impatiente de sentir moi aussi ses caresses sur mon corps.
Le moindre arrêt obligatoire nous donne l’occasion de nous embrasser, caresser, lécher. Une chez Caroline, nous nous empressons d’aller dans sa chambre et nous jeter l’une sur l’autre pour ce qui allait être la nuit d’amour et de plaisirs intenses…

A suivre…

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