Dans La Cabane De Jardin 1 / 2
Dans la cabane de jardin 1 / 2
Ça faisait deux jours qu'il neigeait. C'était rare pour la région, je n'avais pas vu de neige depuis au moins dix ans. Je marrêtais souvent dans la journée pour regarder mon jardin, il était joli comme ça, et le soir quand la nuit tombait, il y avait un moment ou seul le blanc était encore visible. Mon jardin prenait alors une forme étrange, une croûte de matière blanche posée sur quelque chose de noir qui n'était plus définissable.
Il m'est même arrivé de regarder le jardin de nuit, je m'étais levé pour faire pipi et j'en profitais. J'allumais alors l'éclairage du jardin, plein de petite lampes plantées dans un peu partout sur des piquets à trente centimètres du sol, C'est du douze volts, il n'y a aucun danger, même si on y touche c'est à peine si ça chatouille.
Mon attention était attirée vers ma cabane à outils
C'était quoi ? Une impression, j'avais cru voir un reflet de lumière
J'avais du rêvé ! De nuit, mon jardin prenait vraiment des allures surréalistes les quelques fleurs qui avaient survécu jusque là s'était transformées en petit boutons blancs .
Le lendemain je me levais tard. Le décor autour de la maison était étonnant, tout était blanc, même le ciel, en plus il y avait du brouillard. Il me fallait du bois pour la cheminée, j'allais chercher la brouette, elle est dans l'abri de jardin, ma cabane à outils si vous préférez. J'étais surpris. Des choses avaient bougées. Il ne manquait rien en apparence, il ne manquait rien mais différentes choses n'étaient plus à leur place. La brouette par exemple était rangée dans un coin, relevée et appuyée contre l'étagère. Ça vous parait bizarre aussi ? Franchement si j'étais du genre à ranger mes affaires, ça se saurait. La cabane était rangée et c'est pas moi qui avait fait ça. Le centre de la cabane était totalement dégagé. C'en était inquiétant.
Bon l'urgence c'était la température, il faisait froid et il me fallait du bois.
Je retraversais le jardin, un voisin passait sur la route, je le saluais. Il me répondait timidement. Je ne sais pas quel voisin c'était, je ne l'ai pas reconnu, je ne sais pas qui c'était. Il m'a répondu avec une petite voie, c'était juste une silhouette, on aurait dit qu'il portait une sorte de manteau, on aurait dit une hombre, un fantôme qui disparaissait dans le brouillard.
Je revenais à la maison, et réveillait le feu dans la cheminée et terminait la journée tranquillement. Le soir il neigeait toujours, je m'étais fait un chocolat chaud et je le dégustais en regardant dehors c'était vraiment beau mais
La c'était pas une impression il y avait de la lumière dans ma cabane de jardin
Je décidais de tirer les choses au clair. Je posais le bol sur la table et sans faire de bruit j'allais jusqu'à la cabane, je me plaçais juste derrière la porte, il n'y avait pas de bruit mais il y avait de la lumière.
En me tapant la tête avec la paume de la main . '' Je suis bête, c'est moi qui au du laissé la lumière allumée ! '' . J'ouvrais la porte et tombait nez à nez avec un homme, je hurlais, il hurlait.
Me tapez pas, je vais m'en aller, je vous jure je ne voulais pas vous voler et j'ai
j'ai rien volé je vous jure.
Là j'étais désarmé, surpris mais désarmé je brandissais la petite cuillère que j'avais encore dans la main mais je ne me trouvais pas vraiment crédible. Je ne savais plus quoi dire ni quoi faire. Il était enveloppé dans un sorte de sac de couchage, allongé sur le sol. Il grelottait le pauvre. Il n'avait pas vraiment l'air en forme, il avait une petite voie et là je le reconnaissais.
Il sortait et se dirigeait vers la rue.
Excusez moi je ne voulais pas vous faire peur, je vous ai rien volé je vous jure.
Et tu vas ou comme ça ? Lui demandais-je.
Je suis d'un naturel plutôt méfiant, mais je ne sais pas ce qui m'a pris à ce moment. Il était jeune et
Bref je ne sais pas ce qui m'a pris ce soir là
C'est pas grave, tout va bien, ne vous inquiétez pas pour moi.
Dehors il neigeait.
Et tu vas ou comme ça ? Tu as un endroit ou aller ? Tu as mangé quelque chose aujourd'hui ?
Il me regardait,il avait l'air perdu. Il ne répondait pas.
Bon suis moi.
Le ton que j'employais était autoritaire ou je devrais peut être dire directe. Il me suivait, il sentait mauvais. À la porte de ma maison, côté jardin, je lui demandais de laisser cette horreur dehors ( là je parle de son sac de couchage ).
C'est tout ce que j'ai ! Me répondait-il .
Oui mais ça sent vraiment mauvais . On verra les détails demain.
Il n'y avait pas que son sac de couchage qui sentait mauvais. C'est tout le bonhomme qui sentait pas bon.
C'est quand la dernière fois que tu as pris une douche ? Demandais- je.
Je sais pas.
Et tes vêtements, tu les as lavé quand la dernière fois ?
Là il baissait les yeux et ne répondait pas. Je le conduisais à la salle de bain.
Bon, tu vides tes poches, tu mets tous tes vêtement dans la machine là, tu passe sous la douche. Ça ne sera pas du luxe, prend ton temps moi je prépare le repas, j'allais passer à table.
Il avait la tête baissé, mais j'ai cru voir une esquisse de sourire sur ses lèvres. Je le laissais et allais vérifier la cuisson. Je revenais quelques instants plus tard, je mettais la machine à laver en marche et je m'arrêtais quelques instant pour le regarder sous la douche. Je sais, mais j'ai pas résisté. C'était un beau gaillard, bien carré, des bras forts, des cuisses épaisses un torse costaud, pas de ventre, bon sur ce point il avait même l'air un peu maigre, il devait tenter de rester présentable, il avait les cheveux courts mais pour rester propre, avec ce froid, ça ne devait pas être facile.
Il avait des fesses à vous faire tomber les cheveux de la tête, il était finalement bien, très bien et juste au moment ou j'allais sortir de la salle de bain, comme un petit cadeau il se retournait, et je voyais une superbe bite qui pendait lourdement entre ses cuisses. Il ne pouvait pas me voir, il se lavait la tête et le shampooing l'obligeait à fermer les yeux. Je restais en admiration, sur le torse, il avait une légère fourrure qui devait être très douce. Un instant je rêvais mais je disparaissais avant qu'il n'ouvre les yeux.
Je retournais à la cuisine et je mettais la table. Deux assiettes, deux verres, deux couverts
Ça n'arrivait pas tous les jours. Je l'entendais, il m'appelait
Monsieur, s'il vous plaît, Monsieur
J'arrivais dans la salle de bain, il était nu, juste devant le lavabo. Il terminait de s'essuyer. Il était encore plus beau que quelques minutes plus tôt quand je l'avais vu sous la douche, là je sentais qu'il n'en faudrait pas beaucoup plus pour que je craque. Je bandais, je bandais mais sous mon pantalon, rien ne transparaissait.
J'ai rien à me mettre ! Me disait-il avec un petit sourire.
J'ouvrais un placard,il y avait des vêtements de détente, très doux et très confortables. Il en enfilait un devant moi, ça lui allait bien, le moment ou il enfilait le pantalon était délicieux.
Il me regardait avec un large sourire maintenant.
Je me sens mieux, et je sens bon maintenant
On passait à table. Il avait bien meilleur allure et je le regardais avec envie. Quand il se déplaçait je devinait cette masse, cette lourdeur qui se balançait dans son pantalon, il n'avait pas de sous vêtements et à chacun de ses mouvements on devinait une forme allongée qui pendait. Là je vous jure que je bandais à mort.
Il a mangé de bon cur, à ça oui. Ça faisait plaisir de voir quelqu'un apprécier autant ma cuisine. Il en a repris, et pour finir n'a rien laissé. Il était beau, il me plaisait, je voulais en savoir plus sur lui.
On parlait. Il s'appelait Xavier. Ça faisait quelque mois qu'il dormait dans la rue, sa copine l'avait largué, il n'a pas donné de détails sur ce point, depuis il essayait de dormir dans un endroit tranquille ou il pourrait se reposer, il essayait de rester propre mais avec le froid, là c'était loupé. Toujours dehors, il ne pouvait pas se laver, et garder ses vêtements propres. Il n'était arrivé dans ce village que depuis moins d'une semaine, ma cabane de jardin l'avait aidé à dormir, sinon au chaud, au moins au sec. Et il n'avait rien mangé depuis trois jours.
Il avait trouvé un boulot dans le village et avait un rendez vous la semaine qui venait mais il avait renoncé, comment pourrait-il s'y présenter, il était salle, il sentait mauvais, il se ferait jeter
Je le rassurais, lui expliquais qu'on chercherait une solution.
Chaque solution a son problème. Heu, non, c'est le contraire mais c'est pas grave ça marche quand même
Demain il fera jour et on étudiera la situation
Mon commentaire le faisait rire.
On installait le canapé lit, il est très confortable, je l'ai déjà pratiqué. Puis je le laissais dormir. Il inspirait confiance, il avait l'air gentil, je suis d'un naturel méfiant mais je ne sais pas pourquoi je lui faisais confiance, il m'inspirait confiance. Je le laissais seul, il me regardais '' Eh Charly
!''. Je me retournait, je le regardais, il avait l'air ému et rajoutais juste
'' Merci !''. Je lui répondais par un sourire.
Je m'endormais rapidement. Un peu plus tard dans la nuit je me réveillais, j'allumais les lumières de mon jardin et tout naturellement mon regard se portait vers ma cabane de jardin. Depuis ma fenêtre je regardais mon jardin. Les formes y étaient féeriques presque surréalistes. Je me souvenais de mon invité et discrètement je glissait un il dans le salon.
Il était allongé sur le dos, il avait l'air totalement détendu. Il dormait nu. Ceci-dit il avait bien raison, je fais pareil, on se sent bien, libre de ses mouvements et c'est aussi la meilleur manière pour se réchauffer.
Avec sa main, il se caressait le torse, je frissonnais. C'est ma main que j'imaginais sur son torse, il était mince mais il avait des muscles. Et puis cette douce fourrure, enfin cette fourrure qu'on devinait douce, elle devait l'être. Il a vraiment fallu que je presse sur moi pour ne pas aller vérifier. Je vous jure qu'il n'aurait pas fallu grand chose pour que je me laisse aller.
Il devait rêver, il faisait des petits bruits avec sa bouche, il ne ronflait pas, on aurait dit qu'il voulait parler, il murmurait des trucs.
Il passait sa main sur son ventre, se grattait un petit peu, relevait la tête en arrière, soupirait fort et avec sa main, continuait à se caresser le ventre, en un mouvement il repoussait sa couverture et je voyais sa bite.
Je devais faire des yeux tout rond, j'étais fasciné, il était largement aussi bien membré que je l'avais deviné sous la douche, et en plus il commençait à bander. Sa queue lourdement allongée sur sa cuisse se redressait, se soulevait puis retombait dans des mouvements aussi lents que gracieux et élégants.
Je ne pouvais pas détourner les yeux. Il était tellement beau, tellement sexy. De nouveau sa queue gonflait, elle se relevait . Elle glissait toute seule sur sa cuisse, dans un sens, dans l'autre. Lentement elle devenait plus grosse puis de nouveau un peu moins. Puis elle finissait par devenir plus grosse, bien plus grosse. Il passait sa main dessus et quand il la retirait sa queue avait pris toute sa taille. Là elle se relevait avec force sur son ventre.
Il devait faire un rêve très agréable.
J'aurais bien aimé partager ce rêve, mais pour le moment mon rêve à moi, je le vivais. Il était beau mon rêve mais il était aussi terriblement frustrant. Je n'avais pas le droit de toucher. Il le prendrait mal, ça ne fait aucun doute.
Il soupirait avec force, puis se retournait. Il avait un beau cul aussi, des fesses fines et fermes et là encore j'aurais bien aimé les caresser.
Il spectacle était terminé, je repartais vers ma chambre. Je n'avais allumé la lumière qu'au fond du couloir et je n'avais vu toute la scène que dans un clair obscur. Je me demandais même si je ne l'avais pas rêvé.
Seul dans mon grand lit. Je le revoyais, je m'imaginais le caressant, je déposais mes lèvres sur son gland, en fait je ne savais plus s'il était circoncis ou pas. Je revoyais cette bite lourde et bien grosse. Sa proportion était parfaite, elle pouvait faire peur avec une telle taille mais moi elle me faisait rêver. Moi, peur jamais !
J'imaginais son gland entrer dans ma bouche, je la devinais contre ma langue. J'avais juste un doute, je me demandais seulement jusqu'à quelle niveau je pourrais me la prendre dans la gorge. Elle paraissait tellement
longue ?
Large ?
En fait je ne savais pas, elle était parfaite.
Je m'imaginais allongé sur le ventre, je l'imaginais allongé sur mon dos. Je sentais sa queue énorme appuyer sur mon anus. Je soupirais de ce plaisir espéré. Je ressentais ce moment tellement fou, ce moment ou le partenaire pousse et force, ce moment ou mon anus se dilate. Ce moment ou on perd tout contrôle. Ce moment ou on se sent envahi, et ou le plaisir nous inonde, ce moment ou on ne sait pas si le mec va faire mal en forçant comme un malade ou s'il va y aller avec la force virile et douce qui convient pour une explosion de plaisir.
Surtout qu'avec une queue comme la sienne, il peut faire mal, il peut réellement faire mal. Mais il peut aussi provoquer un plaisir intense.
Je ne pouvais pas me masturber, je ne pouvait que rêver à un désir improbable qui ne viendrait pas et dont le plaisir qui ne vienant pas non plus allait m'empêcher de me rendormir.
Je suis resté là allongé sous ma couette à regarder le plafond, et ce n'est que tard, très tard dans la nuit que je parvenais enfin à me rendormir.
N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter
@CharlyChast
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