Mes Premiers Pas De Soumise (Histoire Vraie) - Acte 1
Ce matin, jai la peur au ventre.
Je suis ce que lon appelle « une femme rangée », mariée et mère de 4 s.
Grande, mince, soignée, les cheveux longs châtain, les ongles toujours parfaitement vernis, la bouche écarlate, on me dit belle, je suis celle que beaucoup dhommes désirent, mais un seul me possède.
Jai trouvé mon maître, je lui appartiens.
Aujourdhui, je vais rencontrer mon maître pour la première fois.
Nous avons eu quelques contacts par SMS ou téléphone.
Hier, ses consignes mont excitée tout au long de la journée, me mettant dans un état second parfois difficile à dissimuler.
« Surveille tes messages ».
Je suis sa petite pute soumise. Je me suis engagée à respecter toutes les doléances de mon maître vénéré.
Toute la soirée, jusque tard dans la nuit, le ventre noué jai guetté le moindre message arrivant, parfois tardant
en redoutant lultime contact, celui qui me ferait patienter jusquau jour du rendez-vous, jusquà aujourdhui.
Ce matin je me suis appliquée à respecter points par points les consignes de mon maitre.
Je veux plaire à mon maître, le satisfaire dans les moindre détails.
Après mêtre libérée des poids du matin, jai commencé par me nettoyer.
Sous la douche, cheveux noués, je me savonne consciencieusement le corps en commençant par la nuque, les épaules. Je mattarde sur mes seins, lourds, tendus par le désir de satisfaire mon maître, sur mes tétons qui ne demandent quà être titillés et pincés.
Mais je ne cède pas à cette envie qui menvahit.
Dans un soupir, je me réserve pour mon maître.
Je me savonne les pieds et remonte sur mes jambes, mes cuisses, mon sexe.
Ma main passe délicatement sur mon sexe lisse, doux, imberbe et je remarque à quel point mon clitoris est tendu. Dune main je dirige le pommeau de la douche sur cette intimité gonflée par le désir.
Le jet deau tiède et les vas et viens de mon majeur mexcitent.
Je reprends mes esprits. Mon maître exige que je lui réserve cette jouissance qui ne demande quà exploser. Jobéis à mon maître.
Je me concentre maintenant à rendre bien propre le terrain de jeu préféré de mon maître.
Une première pression deau tiède.
Je sens la chaleur du jet monter dans mon ventre.
Une deuxième pression.
Je retire la canule et savoure cette chaleur qui irradie.
Je pense au moment tant espéré ou mon maître explosera en moi
plus tard
tout à lheure
jattends, je savoure
et me libère.
Je répète la délicieuse opération, encore
et encore une fois.
Je finis de me savonner, me rince.
Je suis propre pour mon maître, comme il la exigé.
Je me sèche, menduis le corps dhuile légèrement parfumée.
Je me coiffe, me maquille, me vernis soigneusement les ongles.
Avant de quitter la salle de bain, je mintroduis dans lanus ce plug métallique en argent que jai acheté sur les consignes de mon maître.
Stimulée par la douche de tout à lheure, je nai pas de difficulté à le faire rentrer. Le bijou est en place, gardien du temple réservé à mon maître.
Cette présence est agréable. Je me sens plus complète.
Je choisis ensuite consciencieusement les sous vêtements de dentelle noire qui plairont à mon maître.
Je mhabille et mapprête à sortir. Marcher prend une tout autre saveur. Chaque mouvement, chaque pression me donne le vertige.
Les yeux rivés sur le téléphone, je guette les prochaines consignes de mon maître.
Jattends les prochaines consignes de mon maître, brûlante dimpatience, de désir, DU désir de le satisfaire.
Le téléphone retenti
un message de mon maître. Il me demande de le rejoindre à sa salle de sport.
Je prends mon équipement et monte en voiture.
Avant de le rejoindre, mon maître ma demandé de faire une course spéciale dans une animalerie.
Il ma transmis le code barre dun objet que je dois trouver et acheter.
Assise, je sens bien mon plug. Cest délicieux. Sur la route, je ne peux mempêcher donduler sur le siège. Hummm ces pressions
Me voilà dans le magasin où mon maître ma demandé de faire des « courses ».
Je me dirige vers laccueil avec le code barre de lobjet exigé.
« Nous ne faisons plus cette référence. »
Ce nest pas possible
je ne peux décevoir mon maître.
Lobjet en question est un collier de chien, ou plutôt devrais-je dire « de chienne » en cuir rouge.
Je me rends au rayon proposant ces articles canins. « Canins »
je réalise que pour mon maître je vais perdre jusquà ma condition de femme.
Des colliers en cuir rouge
il y en a des petits, des grands, des larges, des étroits
lequel choisir ? lequel plaira à mon maître ?
Lequel est adapté à mon tour de cou ?.
Choisir à loeil, ça ne suffit pas. Je nai quune solution : essayer.
Jen prends un premier, le passe autour de mon cou. trop grand.
Un deuxième. Je lessaie. Trop serré.
Un vendeur mobserve. Je détourne le regard.
Un troisième
ça devrait convenir. De toute façon, je ne veux pas en essayer dautres. Je veux sortir de cette boutique, vite !!
Je passe à la caisse, me retrouve dehors. Lair frais me fait du bien. Je respire. Pas longtemps : un message de mon maître.
« Que fais-tu petite pute ?? »
« Jarrive mon maître ! je viens de finir le dernier achat exigé par mon maître »
« Dépêche-toi ! soumise !! »
Jarrive à la salle de sport, me dirige vers les vestiaires.
« Où es-tu petite pute ?? »
« Je suis dans les vestiaires mon maître, jarrive »
« Presse-toi !! Et viens saluer ces messieurs »
« Bien mon maître »
Je mempresse de me dévêtir.
Jenfile ma tenue de sport et me dirige vers la salle. Je salue un à un les hommes qui sy trouvent et réserve la dernière accolade pour mon maître. « Tu vas courir sur le tapis ».
Je mexécute et commence ma séance. En courant je sens encore plus cette présence en moi. Ça mexcite, je me dilate.
Mon maître mobserve.
Je baisse les yeux.
Un SMS : « Après ta séance, tu ira prendre une douche avec les autres filles. Tu garderas ton plug ».
Je cours
ça mexite.
Je regarde les autres femmes qui transpirent dans cette salle
jobserve en me demandant laquelle sera présente avec moi dans les vestiaires lorsque je prendrai ma douche.
Je suis terriblement excitée. Je me dilate. Je me dilate tellement que soudain, je sens le plug en argent me quitter !
Il glisse, il tombe dans un bruit métallique fracassant, il roule !
Où est-il ?? Quelquun a-t-il vu ce qui se passait ??
Je descends violemment du tapis. Je cherche, je tremble.
Ah
il est là ! Vite, je le ramasse et le glisse dans ma poche.
Je lève la tête
mon maître me regarde. Je baisse les yeux.
Un SMS : « Que se passe-t-il petite pute ? remonte sur ton tapis !! »
Je lui réponds en lui explicant ce qui vient de se passer.
Je croise son regard
il est fou de colère.
« Tu seras sévèrement puni pour ta faute !! Reprends ta course et noublie pas de remettre ton plug en place dès que tu auras fini !!! »
Mes 40 minutes sachèvent.
En sueur, je rejoins les vestiaires.
Il y a une autre femme.
Je me mets entièrement nue, remets mon plug en place, me penche pour ranger mes affaires. Lautre femme mobserve mais ne dit rien.
Je me dirige vers la douche.
Je sors de la douche, me sèche, me rhabille.
Le téléphone retenti. Un autre SMS de mon maître. Il me demande de mettre mon uf vibrant en place et de le rejoindre au restaurant où il déjeune avec ses collègues.
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