Titom
Mon mari, me voit dans les bras de Titom, notre voisine khmer. Cest une obsession chez lui. Quand il est sur mon corps quil me raconte des histoires de cul, la voisine revient toujours, à croire quil la baiserait bien volontiers. Elle a un joli visage je le reconnais volontiers. De là à dire que jaccepterais ses faveurs il y a un pas que je refuse de franchir. Pourtant elle vient me demander un petit service cet après midi: un peu de lait pour faire un gâteau à son mari. Normal que je le donne ce quelle demande. Je ne vais pas la laisser partir comme ça. Je propose un café quelle accepte volontiers.
Elle est assise sur le divan du séjour, face à moi assise sur un fauteuil. Nous nous détendons complètement, elle en senfonçant dans le siège, moi en posant mes coudes sur les genoux. La tchatche sy met. Nous bavardons comme souvent pour ne rien dire. Puis elle se relâche totalement pour écouter. Ses jambes souvrent à peine. Je regarde là où je ne devrais pas. Je trouve quelle a de jolis genoux et le lui dit. Elle écarte un peu plus la jambes pour se pencher en regardant aussi. Malgré moi je lève un peu sa jupe pour mieux le voir.
Elle me regarde en face, me sourit, minvite presque par ce regard à poursuivre. Je ne vais pas quand même me mettre à la caresser. Jaurais du me lever. Elle pose sa main sur la mienne. Je suis perdue en la laissant faire.
Et puis après tout pourquoi pas
Nos doigts emmêlés montrent que ni lune ni lautre navons peur. Son autre main entre en scène quand elle caresse le dos de la main. Elle est douce, tendre il me semble. Son regard est encore plus insistant. Je vais me laisser aller
je suis troublée, jabandonne la lutte si lutte de ma part il y avait. Son visage sapproche du mien. Je sens son souffle sur mes lèvres. Mon Dieu quelle me tente, que je désire quelle embrasse.
Sa langue cherche la mienne. Notre baiser est long, sexy, amoureux en un mot. Si elle me veut, quelle me prenne.
Titom na pas besoin de mon acceptation, ce quelle veut elle prend. Comme un fillette je me laisse aller. Mon cou ne résiste pas à sa caresse anodine au début, terriblement excitante ensuite. Sa main prend mon cou, presse à peine ma tête vers elle. Je caresse un peu ses cheveux taillés courts. Enfin elle passe une main sur ma poitrine. Mes seins durcissent lentement. Elle passe sa main sous le tee shirt. Le soutien gorge ne tient pas longtemps sous sa main. Ma peau nue frissonne.
Là, jai envie quelle aille bien plus loin que ma poitrine. Je voudrais ses mains sur le corps entier. Je sais que je commence à mouiller. Mon sexe souvre déjà. Comment est le sien ?
Une main se pose sur ma jambe. Je suis ouverte à sa caresse légère. Elle prend ma cuisse en la serrant un peu. Je mexplique labandon par mon envie, mon besoin delle. Son exploration passe par le dessous de la jupe. Cest meilleur que la première fois avec mon mari, quand il me pelotait. Elle ne pelote pas, elle caresse finement.
Je ne sais quels doigts elle utilise pour passer sous le slip. Je sais quelle ne cherche pas longtemps ce que je lui offre. Elle commence une masturbation désirée. En plus elle sait bien faire ce quil faut pour mon plaisir. Titom me branle mieux que je le fais.
Je suis totalement ouverte. Elle le sait, en profit pour me doigter. Ses doigts coulissent en moi facilement. Elle sépare sa main en deux, un pouce qui continue dans la chatte et les autres qui commencent sur lanus. Elle senfonce dans le cul. Trop puisquelle me donne un grand frisson quand je part dans drôle dorgasme, mon premier avec une autre. Cest différent quune queue, cest bien plus doux, plus profond. Il peut venir, mon mari, appendre comment me faire du bien.
Elle me fait lever, me déshabille lentement. Je nai aucun remord dêtre nue contre elle. Son corps est dans mon dos, serré contre le mien. Sa chaleur menvahie. Ses mains sont sur mon bas ventre que je tend vers elle.
Et puis elle me tourne , saccroupit devant moi, comme en adoration devant un dieu antique. Elle vient manger ma chatte. Sa langue passe partout, même dans des endroits que jignore. Je jouis encore cette fois sur sa bouche. Pas écurée, elle continue son travail de sape. Je jouis avant de meffondrer sur elle. Mon pubis traine sur ses seins. Je suis assise sur ses cuisses, ma bouche sur la sienne, nos seins appuyés contre les autres.
Elle peut faire de moi ce quelle veut. Surtout quand elle sarrange pour avoir nos cuisses mêlées. Nos clitoris se touchent dans un enlacement jouissif. Nos bas ventres saniment comme si une bite était en eux. Je nen peux plus dorgasme. Je vais abandonner.
Mais voilà nous avons perdu du temps, laprès midi est avancé. Mon mari arrive. Il voulait me voir avec une autre, jy suis. Il se déshabille lentement, sa bite est plus grosse que les autres fois. Il va me faire mal en me baisant, à moins quil naille dans le con de Titom. Rien de tout ça, il est sur le dos, demande à mon amante de venir sur lui. Elle enfonce seule la queue dans le cul. Je veux moi aussi jouir de mon mari. Je vais sur sa bouche, en faisant face à Titom. Nous pouvons nous embrasser encore. La langue râpeuse de mon mari lèche la chatte. Il ma faite jouir.
Je me réveille, mon mari dort à mes cotés. Ce nétait quun rêve, dommage.
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