Surprises Surprises. Comment Tout A Basculé 2
Jétais endormie et réveillée par la sonnerie du téléphone et une conversation.
Je me lève pleine de courbatures après la nuit passée.
Je suis accueillie dans le salon par Didier et Pascal qui me plotent, Didier me dit en me prenant sur ses genoux « alors ma chérie tu as été comblée ». Je lui répondis quils étaient 2 beaux salauds. Jécoutais la conversation que tenait Pascal apparemment avec une femme, qui daprès ce que je comprenais voulait linviter ou les inviter pour ce soir.
Une fois le téléphone raccroché, Pascal dit « nous sommes invités ce soir chez Christine et Thierry(pseudos). Je leur réponds que je les connais pas et que je nai rien à me mettre, ni de quoi me préparer et leur dit que je comptais rentrer chez moi, ils me rétorquent que le WE nest pas fini.
Didier dit « ce nest pas grave on va remédier à tout ça ».
Je nai pas le temps de me retourner que Didier me prend dans ses bras membrasse et me dit que je suis très bonne en membrassant. Lorsquil me lâche Pascal et nu, me colle contre le mur et me pénètre, je jouis encore plusieurs fois. Ensuite il me décolle du mur et je sens Didier derrière moi qui me sodomise dun coup. Je suis encore en double pénétration, empalée sur 2 belles bites.
Ils me mettent ensuite à genoux et méjaculent sur le visage.
Nous sortons, je suis en sous vêtements sous mon manteau, Didier me dit « nous allons faire des achats pour ce soir ». Nous allons dans un magasin assez bien avec des tenues classique. Ils me choisissent une jupe plissée mi cuisses, un chemisier blanc assez transparent.
Arrivée le soir, il est environ 21h30, il fait nuit nous sommes fin octobre, je monte à larrière de la voiture de Didier avec Pascal. Didier me dit en me regardant dans le rétroviseur amuse toi bien chérie. Jai compris le pourquoi des vitres surtintées. Pascal sortit sa bite et ma la mis en bouche, en même temps il me fouillait le cul et la chatte.
Arrivés à destination, la porte dentrée souvrit, une belle femme blonde méchée, Christine,(Didier à plus quun penchant pour les blonde et blonde méchées) denviron une petite quarantaine, mince se tenait dans lentrée. Elle appela Didier mon chéri, lembrassant sans retenues. Elle me fit la bise et nous remontions un long couloir. Nous arrivons enfin au salon, je pus entendre des cris de femme prenant du plaisir. Le couloir continuait dans la maison. Il y avait 3 canapés en U et 4 fauteuils au bout. Il y avait beaucoup plus dhommes que de femme (12e surprise). Le maitre des lieux, Thierry 45 50 ans, mari de Christine, dit à sa femme «tu dois être ravie ton chéri est là». Christine les tenais par le bras. Elle répondit « oui je vais bien mamuser ce soir » Je voyais bien quelle nhésitait pas à lui caresser la bite à travers son pantalon. Je dis bonsoir à tous le monde, des mains se baladaient parfois sur mes fesses. Il y avait un homme blond très musclé, grand costaud une trentaine avec un regard bleu perçant (Lionel), assis juste à coté de lui un antillais, les traits fin bel homme, Sylvain. Moi jétais debout, Thierry se leva et me pris par la main afin que je vienne massoir sur ses genoux.
Christine ne tenant plus se mise debout et dit « venez me donner du plaisir »Ils disparurent tous les 3 dans le prolongement du couloir. Pierre sétait assis sur le fauteuil à coté de moi et avec Thierry, ils me complimentaient tout en me plotant comme deux vieux salauds. Jétais en bas sans culotte avec un chemisier transparent sans soutien gorge. Lexcitation montait, je mouillais comme une petite salope qui avait envie de se faire baiser.
Thierry me dit « les nouvelles sont obligés de passer un examen dadmission, tu vois ce que je veux dire ».Je lui répondis « jai une idée ».
Il jeta un coussin à terre et dit « met toi à genoux devant moi petite salope. Comme nous sommes les maitres de cérémonie avec Pierre on va dabord soccuper de toi et ensuite on verra»
Il sortit sa bite qui était assez petite à coté de ce que javais pris depuis hier soir. Je me mis à le sucer. Pendant ce temps Pierre me tripotait le cul en disant « la salope elle est ouverte, une vrai bonheur, elle va se faire enculer »Il se plaça derrière moi et me pénétra vaginalement, provoquant assez rapidement un orgasme. Il avait une bite assez longue et fine. Au bout du 4eme orgasme, Pierre me sodomisa, je poussais des petits cris étouffés par la bite de Thierry. A ce moment jentendis des bruits de talons qui arrivaient, une femme 45 ans environs (Sylvie) avec 3 jeunes, très jeunes qui la suivaient. Ils devaient avoir 20 à 25 ans. Elle dit à son mari, qui était Pierre, celui qui me sodomisait, ils sont très bien ces petits, il faudra les inviter maintenant et surtout quils viennent à la maison ; en sessuyant le coin de la bouche avec un doigt.
Elle demanda aussi « doù elle sort celle la et en plus tu lencules» en parlant de moi.
Thierry répondit « elle est venue avec Didier et Pascal, elle est nouvelle »
Je sentais que Pierre allait jouir, ce quil fit rapidement. Une fois mon arrière train libéré, je sentis une bite se présenter à lentrée de mon vagin. Une pénétration vigoureuse. Je jouissais comme une folle, me faisant baiser à la chaine comme la première trainée venue (moi qui ne couchait jamais le premier soir ni le deuxième). Sylvie me regardait très hautaine et me disait tout en se levant « eh bien petite pute tu te fais bien baiser et ce nest pas fini »Je continuais à sucer la petite bite de Thierry qui se vida dans ma bouche. Le black se mis devant moi, une bite énorme (au moins 22cm et 7 de large) disant « le meilleur pour la fin du premier acte ». Il me la mise en bouche et au vu de la taille elle ne rentrait pas beaucoup, il poussait jusquau fond de la gorge, jai cru que jallais vomir.
Thierry dit « la chambre dami est vide vous pouvez y aller pour continuer »
Ils me libèrent, je me lève en rajustant ma jupe, je me suis assise sur un accoudoir de canapé tout en buvant une coupe de champagne. Je pu mapercevoir que les petits jeunes de Sylvie étaient plus que jeunes. Ils auraient pu être ses s, quelle salope.
Lun deux sapprochait de moi avec des banalités dusage, me demandant si je voulais des amuses bouches. Javais un peu faim, je me suis jeter sur lassiette.
Une autre femme que javais vu lors de mon arrivé sortait du couloir la jupe remontée avec, sans dessous, elle venait de se faire baiser.
Sylvie qui est une mangeuse dhommes, vient me parler en mexpliquant les codes de ce cercle damis. Elle mexplique que Christine et elle sont au sommet de la pyramide et quelles ont priorités sur toutes les femmes concernant la disponibilité des hommes et quil en va de même pour leurs maris. Cest pour cette raison quils mont baisé les premiers.
Pascal et Didier et surtout Didier sont les chéris préférés de Christine, cela faisant au moins 2 heures quils étaient en train de la baiser, et quaprès cest elle. Elle me dit « si tu veux je peux te prêter les 3 petits jeunes, ils se débrouillent bien pour leur âge ».
Elle arrête de me parler et leurs dit « allez y baiser là la nouvelle et faite lui tous ce vous mavez fait »
Je navais jamais fait lamour avec des hommes plus jeunes que moi, malgré parfois les sollicitations, surtout que lécart était important.
Ils memmenèrent dans une chambre, je fus mise à 4 pattes, pénétrée immédiatement en levrette, un 2eme se mise devant moi et le 3eme me plotait en me mettant des doigts dans le cul.
A un moment jentendis deux voix dire « ça y est elle est prête » Lionel et le Black (Sylvain) venaient participer. Là je savais que jallais me faire défoncer. Ils se présentèrent devant moi, je suçais Lionel, Sylvain était dans Nathalie. Le rythme était coordonné. Elle arrivait à entrée dans son vagin la totalité de la longueur de la bite de Sylvain. Ils me dégagèrent, Sylvain sallongeant je mempalais dessus avec difficultés, il me prit pendant 5 bonne minutes afin que je me fasse à un calibre de cette taille tout en sentant des doigts me rentrer dans le cul. Lionel dit « maintenant elle est prête, il se positionna derrière mois et me pénétra doucement les fesses. Je hurlais de douleur et bonheur. La bite de Sylvain ne retrait pas complètement tout en tapant au fond de mon vagin, celle de Lionel que javais dans le cul était complètement englouti. Ils me possédaient. Jen pleurais tellement jétais écartelée. Jai compris aussi le pourquoi de la double vaginale de ce matin.
Tous les autres nous passaient dans la bouche ( Nath et moi), et méjaculaient sur le visage sans retenues. Jétais une vulgaire pute prise à la chaine et dans un état second. Sylvain et Lionel finirent par jouir. Christine (ayant terminé avec Didier et Pascal) entra en me disant « je vais temmener dans la salle de bain ». Jétais recouverte de sperme ( visage, cheveux, dos). Lorsque je revins dans le salon tout le monde me regardait et Thierry dit » je crois quelle à réussi son admission ». Nous bûmes encore quelques coupes de champagne et nous repartîmes. Jétais épuisé, je navais jamais autant jouis. Je montais seule à larrière de la voiture, ce qui nempêcha pas Pascal de me doigter. Didier me demanda « Alors ma chérie tu as aimé, cette petite soirée, toi qui ne voulait avant jamais en entendre parler de partouze, tu as eu lair dapprécier ». je lui répondais « tu exagères, tu en vraiment un salaud de mavoir fait ça, mais jai jouis comme une folle ». Il se mit à rire. Arrivé dans le parking ( 5h00 du matin), ja cru que nous allions allez directement à lascenseur, mais pas du tout, Didier ouvrit la porte de lescalier de secours, me souleva ma jupe, sortit sa bite, je lui dis que jétais très fatiguée, il bandait encore et me pris sans ménagement, je suçais Pascal, javais les jambes toutes tremblantes.
Je fus encore prise jusquau petit matin dans tous les sens et par tous les orifices. Jai dormis jusquà 13h00, dun sommeil lourd et toute sereine,. Lorsque je me suis réveillée ils mapportèrent le petit déjeuner au lit, javais mal partout, pleine de courbatures et surtout des douleurs à mon postérieur. Je me suis lever vers 15h00 et je leur ai dit que jallais rentrer chez moi. Jai cru quils allaient me raccompagner, mais Didier a appelé un taxi pour me raccompagner. Jai eu beau lui faire mes yeux de biche et du charme, il resta sur ses positions en me disant « tu en veux encore, avec tout ce que tu as pris en 2 jours » Je le trouvais dur, avant il cédait à tous mes caprices. Ils membrassèrent tous deux langoureusement avec une tape sur les fesses et en me donnant un numéro de téléphone afin que je fasse au plus vite un test HIV.
Pendant le trajet (voiture noire, je vous en parlerai plus tard), je pensais à tout ce que javais fait, moi la femme respectable et respecté, pas facile, exigeante, je métais comportée comme la dernière des dernières.
Le lundi matin jétais épuisée, les jambes tremblantes, bonne mine très fatiguée. En arrivant au bureau, je tombais sur Sophie qui lorsquelle me vit, me dit « toi tu ne tes pas ennuyée, tu as baisé tout le WE»
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