Lueurs D'Automne

L’automne allume des lueurs dorées dans la pièce. Elle n’a pas allumé les lampes, laissant dans l’obscurité naissante des mystères. Lui la regarde avec envie. Il ne la connait pas encore bien, il la désire un peu. Qui sait, elle a des besoins cachés qu’il ne connait pas encore.
Elle, Julie à peine 25 ans est experte en caresses. Souvent quand elle est seule, elle aime se faire du bien, surtout le soir au lit ou alors sous la douche. Quand elle était plus jeune, elle a découvert le plaisir solitaire un soir quand une drôle de pression secouait son ventre. Ce devenait un vice qui a vite fait place à l’autre façon quand, en se lavant un matin sous la douche, le jet a dérapé sur sa chatte. Elle ouvrait ses lèvres intimes pour mieux sentir le jet sur le bouton sensible. L’orgasme suivant la convainquait de recommencer souvent.
Lui, Alain, jeune homme de 40 ans, à peu près, grand, est monté normalement. Quand il bande il ne dépasse pas les 20 centimètres. Comme tous les hommes son gland est presque violet quand il bande, ce qui est fréquent surtout en présence d’une belle fille attirante. Il aime satisfaire sa queue quand il bande, surtout le matin. Il prend sa queue dans sa main droite fermée. En faisant descendre et monter le prépuce, le plaisir vient toujours. Il lui arrive de s’enfermer dans les toilettes d’un lieu public pour sortir sa bite. Il sait se faire bander pour jouir.
Cette fin d’après midi est faite pour la rencontre entre deux êtres portés vers le plaisir. Elle sait que seule une queue dans son ventre la rendra heureuse de vivre. Lui sait que s’il éjacule en elle, il se sentira délivré.
Sans un mot, Alain lui fait signe. Julie n’attend que ça. Elle ouvre lentement les jambes en ayant soin qu’elle soit vue. Se montrer fait parti de ses préférences. Elle passe une main entre les cuisses, les découvre complètement, montre l’endroit où sa main va se nicher. Son sexe humide est visité par ses doigts. Elle fait ce qu’elle aime, même si cette fois elle n’est pas isolée.

Qu’importe qu’elle soit vue si elle prend du plaisir. Elle écarte ses lèvres intimes avec deux doigts de la main gauche, fait sortir le clitoris du capuchon. Un seul doigt au début est sur le bouton. Elle le fait aller dessus. Elle sait qu’elle va s’envoler. Elle met un deuxième doigt juste à coté du premier. Elle accélère son mouvement en regardant le garçon avec une seule envie: qu’il intervienne pour, lui, la branler.
Comme réponse, Alain ouvre sa braguette, sort sa queue, se branle aussi en regardant la main de la fille faire lui faire du bien. Quand elle lui demande de se mettre tout nu, il n’hésite pas un instant. Il enlève son tee-shirt, son pantalon, son caleçon. Sa pine est libre, il la reprend dans la main, la secoue de haut en bas. Ses couilles suivent le mouvement. Julie aime voir un garçon que se donne du plaisir, comme elle en ce moment.
Il est maintenant contre le pubis le Julie. La coquine se sert de lui pour prendre un autre plaisir que celui auquel il s’attend. Le manche de la queue est contre ses lèvres. Elle remue pour mieux le sentir. ? C’est bon pour elle puisqu’elle se masturbe autrement.
Le couple regarde les bas ventres. Il remarque que si le gland n’est pas dans le ventre de Julie, il se couvre et se découvre presque comme si Alain se masturbait. Pour Julie l’effet est presque le même que si elle baisait.
Julie se laisse bercer par l’orgasme qui arrive. Elle s’ouvre et se ferme comme si elle l’avait réellement dans le vagin. La queue est presque pincée par les lèvres d’en bas. Il n’en faut pas plus pour que le sperme sorte en bouillon du méat. La semence gicle sur le ventre. Julie l’étale sur elle. Le peu qui reste entre ses doigts est vite récupéré par la bouche. Soigneusement nettoyés elle peut mettre les doigts dans son anus.
Alain s’en veut d’avoir jouit si vite. Julie le comprend quand elle le reprend en main. Elle fait bander encore. Voir bander une queue à nouveau est pour elle une victoire. Elle se couche sur un coté pour être à même de prendre dans la bouche une pine fois une fois.
Bien sur les derniers vestiges de sperme sont toujours sur le méat: rien d’aussi bon pour le moment. La langue lèche doucement la queue, descend sur les couilles qu’elle gobe. Une main va se perdre entre les fesses de l’amant qui se laisse faire. Un doigt trouve le passage vers l’anus où il s’enfonce en entier. Le cul se referme un peu, elle continu sa recherche.
Alain bande encore plus. Il voudrait jouir encore, même dans la bouche, surtout sans la bouche. Julie se tourne encore, elle lui présente ses fesses. Il y a un trop long moment qu’elle ne s’est pas faite sodomiser. La queue qu’elle dorlote lui plait assez.
Elle est en levrette, lui est juste derrière elle. Il sent sur son pubis les fesses de la fille. Elle sent la queue juste entre ses cuisses. Elle la prend dans la main, la fait passer juste dans la raie. Julie frissonne de la tête aux pieds. Ce qu’elle veut est dans sa main. Elle la fait aller juste sur l’anus. En ouvrant lentement se cul elle facilite la sodomie.
Alain a rarement vu une fille se donner ainsi. La plus part du temps, les filles refusent de se faire mettre par le petit trou. S’il insiste, elles en jouissent souvent. Le prépuce laisse filer le gland quand il entre lentement.
Julie sent la queue dans son ventre. Son plaisir est rempli. Sentir les poils du ventre de l’amant contre ses fesses l’excite encore.
Miracle de la baise : ils jouissent ensemble, lui de longs jets, elle de spasme réguliers autour du cul.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!