Sophie

La nuit tombe lentement, les lumières de la ville illuminent les rues. Elle arpente le trottoir d’un pas lent. Des hommes la regardent, la désirent. Indifférente, elle continue sa triste promenade : Sophie a perdu son homme, celui qu’elle aimait tant. Sa famille l’a rejetée parce qu'elle n'est pas du même milieu alors qu’elle l’aimait encore.
Ils ont vécu de bons moments ensemble. Il aimait bien la chouchouter, lui raconter des histoires salées qui l’excitaient tant. Sophie se donnait à lui facilement à la fois pour son plaisir à elle et surtout son plaisir à lui. Elle était encore pucelle quand ils se sont rencontrés. C’était sur une plage du midi, sur le sable. Elle portait un ensemble de bain qui la faisait paraître plus sexy que les autres. Il l’a conquise en lui parlant, lui disant qu’elle était la plus belle, plus agréable à voir, plus sexy. Elle l’a cru, elle s’est abandonnée quand d’un baiser il l’a convainque de se donner à lui.
Loin du littoral caché de tous, il a pu la mettre nue. Sa poitrine dépassait celles qu’il connaissait. Quand il est venu sur elle, il sortait une belle queue. Sophie a pu toucher un sexe d’homme pour la première fois. Elle a eu un peu peur quand il voulait la dépuceler. Au fond d’elle-même elle savait qu’elle devait un jour ou l’autre en passer par là. Elle eut à peine mal. Il jouit en dehors de son ventre sans qu’elle éprouve un plaisir quelconque. Il a voulu recommencer le soir au même endroit.
Presque résignée, Sophie accepte de l’avoir en elle une autre fois. Il lui a fait découvrir ce qu’était le plaisir charnel. Elle sentait autour de son sexe coulisser un autre sexe. Le plaisir est venu pendant qu’il la baisait. Le couple, pendant toutes les vacances n’a cessé de baiser, allant plus loin qu’un accouplement vulgaire. C’est souvent elle qui demandait la bite. Il lui a appris comment la prendre dans sa bouche, entre ses seins, dans le cul. Elle aime le masturber comme elle aime quand il la branle.

Elle devient l’amante parfaite.
De retour en ville ils ont des complicités pour s’aimer. Si au début seuls les jardins publics pouvaient les abriter, le fait pour lui d’avoir enfin son appartement lui permet de la faire venir chez lui. De discrets leurs amours devenaient plus ouverts, selon ses désirs. Tout est parti bêtement un soir avec des copains quand à la suite d’un pari fou il a du baiser devant tout le monde une autre fille. Il baisait comme il savait faire. Sophie regardait son amant la tromper devant les autres. De jalousie elle a eu envie elle aussi de se faire mettre devant les autres. Un proche voisin avait, il lui semblait, une queue convenable elle s’arrangeait pour l’avoir en elle. Pour rester avec son amant elle se faisait mettre en restant assise. Elle dominait et voyait tout, surtout la pine entrer et sortir de l’autre vagin. Elle sentait bien ses seins ballotter pendant ses mouvements.
Baiser ainsi lui plaisait de plus en plus. A l’écouter il aurait fallut toujours, souvent en tout cas baiser ainsi. Mais lui de plus en plus soumis à sa famille commençait à la rejeter. C’est pourquoi Sophie erre dans la ville. Hagarde elle entre dans le premier bistro venu. La première consommation est la bonne. C’est un homme dans la quarantaine qui l’invite. Lui ou un autre !…
Sophie se laisse entrainer vers une nuit bizarre. Son nouvel ami connait des endroits où les gens se mêlent entre couples. C’est un lieu caché, en sous sol, avec une musique de fond légère. Un vestiaire où on est invité à laisser le plus de vêtements possible dès l’entrée. Son cavalier laisse tout, même son caleçon montrant ainsi une belle virilité. Sophie pense laisser tout ce qu’elle porte. Une nudité éclatante entre dans la salle principale. Les regards des participants sont clairs, elle fait de l’effet tant chez les hommes que chez les femmes. Son homme du moment l’entraine au bar où elle monte sur un tabouret, montrant partout en se retournant ses seins, ses fesses ou sa chatte. Elle y reçoit un hommage appuyé quand la main de son cavalier vient sur elle. Il la masturbe. Sophie étonnée au début y prend plaisir, se tend pour prendre plus de plaisir.
Ils vont d’assoir sur une banquette, lui bandant toujours, elle encore mouillée. La musique devient dansante. Il l’invite à « remuer » sur la piste. Sentir contre elle la queue bandée lui donne envie de l’avoir en elle. Ils allaient arrêter quand elle sent contre ses fesses une autre queue. Elle se retourne à peine pour la prendre dans la main. Sophie sent dans son anus, l’envie de se faire enculer. Elle arrêt la danse, se penche un peu en avant et debout accepte la queue dans son cul. Devant les autres elle se fait sodomiser. Etant penchée elle prend la queue de l’autre dans la bouche. Elle comprend son bonheur d’être et enculée et léchée. Elle va prendre du sperme par les deux extrémités, son cul et sa bouche. Les mains de l’un lui tiennent la tête pendant que les autres sont autour de ses hanches. Elle fait jouir ses deux amants. De retour à leur table, elle a la visite d’une voisine. Une grande fille blonde aux yeux eau de mer. Les seins attirent l’attention. Ils sont presque trop gros. Sophie pour la première fois est attirée par une autre fille. La réciproque est certaine. Un verre de soda avec deux pailles leur sert de prétexte. Le verre entre les deux, une paille dans chaque bouche, des mains qui cherchent les cuisses.
Elles font des petites caresses qui les entrainent vers de plus grandes. Sophie se laisse ouvrir les jambes, passer une main vers sa chatte. Après une queue elle est prête à recevoir une main. Elle est douce la main quand elle s’insère sur sa moule, mieux qu’une main, d’homme, plus douce en tout cas. Sophie apprécie le majeur qui caresse son abricot. Elle s’ouvre le plus possible à la caresse. Surprise de l’effet elle pousse un petit cri de jouissance. Son amant la tient dans ses bras, même quand elle caresse aussi la chate de l’autre. ? Leur premier baiser est échangé quand Sophie est encore dans les bras d’un homme.
Un de ses derniers hommes sans doute à voir la suite : elles partent ensemble vers un hôtel finir la nuit. Nuit plus que chaude. Où la découverte de 69 entre nana est la meilleur des choses. Pour Sophie le principal est atteint quand son amante se met de telle façon que les deux sexes soit contre. Le fait d’avoir les jambes écartées n’est pas gênant. Le plus dur est de faire des mouvements presque d’aller et venue sur l’autre sexe. Sophie se laisse convaincre par l’autre de continuer dans les amours saphiques.
Il est convenu dans les sous sols de la ville de les voir draguer ensemble les filles sensibles comme elles.