Mes Premiers Pas De Soumise (Histoire Vraie) - Acte 2
Je mexécute. Luf se place sans effort. Je suis dégoulinante.
Direction la voiture. Sassoir avec ce plug est toujours aussi excitant. Mon autre jouet augmente encore le plaisir.
Je mempresse de rejoindre mon maître, mais la peur et lexcitation ne sont pas les amies de la concentration. Je me trompe de route, fais des détours, évite de peu un accrochage
un nouveau SMS.
Je me gare. Message de mon maître : « Tu es en retard petite pute ! Tu seras punie pour ça ! »
Les larmes aux yeux, je reprends le volant. Vite, il faut que je fasse vite.
Arrivée au restaurant, je confie discrètement à mon maître la télécommande de mon uf vibrant. Je fuis son regard. Il est en colère après moi.
Je massieds à sa table, en présence de ces amis. Ça y est, il vient de prendre la commande de mon uf
les vibrations mexcitent terriblement. Comblée devant et derrière, jondule sur mon siège. La chaleur monte très fort en moi, mais je dois restée concentrée, que rien ne se voit.
Si ses amis savaient
Jai envie, jai envie de jouir
Mes tétons pointent très fortement sous mon chemisier que jai laissé grand ouvert.
Mon maître me regarde. Ça lui plaît
ça mexcite.
Je suis déconnectée de la discussion. Je réponds aux questions que lon me pose, mais absente
Je mange peu
je nai pas faim de nourriture, seul le sexe de mon maître pourra satisfaire mon appétit.
Le repas prend fin. Je salue la tablée, méclipse. Je veux prendre le temps de bien me préparer avant ce grand RDV avec mon maître. Je ne veux pas le décevoir, je dois être parfaite.
Je méloigne. Les vibrations diminuent progressivement puis sarrêtent.
Je reprends la voiture
direction la chambre dhôtel que jai réservé ce matin.
Sur la route, jai chaud, très chaud. A lexcitation vient sajouter la peur. Jai mal au ventre.
Jarrive à lhôtel, entre dans la chambre, respire un grand coup et commence à me préparer.
Je me déshabille. Nue dans la salle de bain, je retire mon uf qui sest remis à vibrer très fort
je ne serai pas la seule ici cet après-midi à faire crier mon corps.
Je retire mon plug et mintroduis la douchette. Ce jet deau tiède qui me pénètre est toujours aussi agréable. Je me rends bien propre et remets en place mon bijou.
SMS de mon maître : « que fais-tu petite pute ? »
« Je me prépare pour vous mon maître »
« dépêche-toi, équipe-toi et attends moi à quatre pattes derrière la porte ! »
« bien mon maître »
Je me presse
jenfile mes dentelles noires sexy, et attache ce collier de chien en cuir rouge que mon maître ma fait acheter. Je le serre comme il faut autour de ma gorge.
Un bandeau sur la bouche (mon maître la exigé), je me dirige vers la porte.
Je magenouille, me mets dans la position que mon maître ma ordonnée. Jattends.
Je tremble. Jai froid. Jai peur.
Jentends des pas approcher. Il arrive
il est là
frappe à la porte.
A 4 pattes, tête baissée, regard fuyant, jouvre la porte.
Ça y est, je ne peux plus faire marche arrière.
Je suis sienne.
A peine entré, il matt par le collier auquel il attache une sangle et me traine jusquaux pieds du lit où il mattache fermement, la laisse courte, très courte. Il me retire mes sous-vêtements puis il sisole dans la salle de bain.
Jessaie de relever la tête. Impossible, la sangle est bien trop courte.
Repliée sur mes cuisses, le visage collé contre le sol, je ferme les yeux
je suffoque
je panique.
Je lentends saffairer. Que fait-il ? Que prépare-t-il ?
Jai envie de crier. Jai froid, je tremble. Des gouttes de sueurs descendent le long de mes bras.
Mon maître revient. Il me caresse les cheveux. « Tu vas être une bonne chienne, une bonne petite pute !».
Je lentends derrière moi qui se déshabille. Je ne peux rien voir. Il fait sombre et la laisse me maintient le visage au sol.
Il se pose sur le lit et se sert de moi comme dun paillasson.
Ses pieds sont froids et pourtant ils me réchauffent.
Il appelle un de ses amis, celui-ci doit avoir un jeune chien. Ils parlent dressage.
Je ne suis plus rien.
Je suis petite pute, sa chienne, je ne suis plus que sa chose.
Il raccroche, me détache tout en me maintenant le visage au sol. Il tire sur la laisse. « Viens prendre ton nonosse ! »
Il me retire le baillon, me hisse jusque sur le lit et me dirige vers son sexe que je commence à sucer. Il est dur, gros comme jaime.
Le froid qui mavait envahie se dissipe pour laisser place à une forte chaleur qui commence à remonter depuis le bas de mon ventre.
Je le suce et le suce goulument. Il se tend, durcit encore. Je sens quil aime ça.
« Hummm bonne chienne !! »
Soudain la laisse se tend et me tire la tête vers le haut. Il mattache en hauteur. Jai le souffle coupé. Je panique.
Il relâche un peu la tension. « Merci mon maître ».
Debout, attachée en hauteur par ma laisse, je suis soumise, totalement à sa merci.
Il sapproche de moi. Je sens sa chaleur. Il me bande les yeux et commence à mintroduire ses doigts dans le vagin.
Il me fouille, me fouille, encore, encore, de plus en plus fort. Je me perds.
« Dis-moi ce que tu es !! »
« Je suis votre petite pute mon maître »
« Et quoi dautre ??? »
« Le suis votre soumise »
« et quoi encore ?? »
« Je suis votre chose » « encore !! »
« Je suis votre petite pute »
« Non !! Ça tu las déjà dit, dis moi ce que tu es encore !!!! »
Il me fouille, de plus en plus fort.
« Dis-moi ce que tu es !!!! »
Ses doigts en moi mexcitent follement. Je narrive plus à réfléchir.
« Dis-moi ce que tu es !!!! »
« Je suis votre putain » « Je suis votre objet » « Je suis votre jouet » « Je suis votre
votre
»
Les mots méchappent, tout sembrouille dans ma tête.
« Je suis votre paillasson » « Je suis votre esclave »
« Cest bien petite pute soumise ! Tu vas retourner à la niche »
Mon maître me détache et me traine de lautre côté du lit où je me recroqueville, tremblante et haletante.
Il me tapote la tête. « Bonne chienne »
Il me relève, me met mes chaussures à talons hauts et me demande de me placer devant le miroir. Il me caresse. Il dit quil me trouve belle. Je nous imagine, et je me sens un peu plus humaine
mais juste pour un très court instant.
« Viens me sucer, viens chercher ton nonosse !! »
Il sassied au bord du lit et me guide jusquà son sexe turgescent. Il me demande de le sucer, encore et encore.
Je mexécute. Jadore prendre son sexe dans ma bouche. Il me confie quil observe la scène dans le miroir et que ça lexcite. Ça lexcite que sa petite pute soumise le suce, accroupie sur ses talons hauts, nue, tenue en laisse et les yeux bandés.
« Tu vas devoir apprendre à mieux sucer que ça petite pute !! »
« Oui mon maître ».
Il magrippe et me fait remonter le long de son corps contre lequel je me plaque.
Mes lèvres touchent ses lèvres. Sa langue touche ma langue.
Je sens son souffle. Jaime son souffle. Je men nourris un bref instant.
« Maintenant petite chienne, tu vas me lécher les pieds ! »
« Bien maître »
Il retire le bandeau de mes yeux, et le regard baissé, je me laisse glisser le long de son corps chaud et musclé, jusquà ses pieds que je me mets à lécher avec délectation. Je les lèche, du bout de ma langue et du plat de ma langue.
Je mordille les talons, glisse ma langue sur toute leur surface, incère ma langue entre chaque orteil que je mordille également tour à tour.
Mon maître adore ça, et plus il en réclame, plus jai envie de lui en donner.
Il me fait de nouveau grimper sur le lit, et me demande de lui donner la tétée.
Le lui offre alors tour à tour mes tétons qui se tendent.
« A quatre pattes chienne !! »
Je mexécute.
CLAC !
Je reçois un violent coup sur la fesse gauche. « Ça cest pour avoir laissé échapper ton plug ce matin ! »
Je serre les dents.
CLAC !
Une violente claque sur la fesse droite. « Ça cest pour être arrivée en retard au déjeuner ce midi ! »
Je me remets à trembler. Les claques reçues me chauffent la peau.
Puis, il attache la sangle en hauteur et commence à tirer fort.
Il me retire le plug de lanus et menfonce sa grosse queue toute dure.
Jai mal. Jaime cette douleur.
Il mencule, il mencule fort, puis se retire doucement, et revient encore plus fort.
A chaque mouvement, il tire un peu plus sur ma laisse, me coupant le souffle, ce souffle que jai tant de mal à reprendre.
Jaime sentir sa grosse queue qui mélargit, qui mécarte. Je perds le souffle, jétouffe, jai peur, je crie. « Pitié mon maître ! »
Mon maître est un bon maître. Il relâche un peu ma laisse, je respire à nouveau.
Il saccélère dans mon ventre jaime ça, je mabandonne, je mabandonne à lui.
Je sens une chaude décharge qui me rempli le ventre. Cest si bon.
Puis mon maître mentraine avec lui dans la salle de bain. Il me fait grimper dans la douche.
« Pisse devant moi ! »
Jessaie, ça ne vient pas. Je tremble, je grelotte.
« Vas-y !! Pisse devant moi ! »
A bout dun moment je sens que ça vient. Dans la douche, accroupie devant mon maître qui me tient en laisse, je pisse.
Il caresse son sexe qui na pas débandé.
« Maintenant cest à mon tour ! »
Il se met alors à me pisser sur le ventre. Cest chaud et agréable. Il dirige alors son jet sur mon sexe, sur mon clitoris encore tout gonflé. Cest bon, cest délicieux.
« Je veux que tu écrives tout ce que tu as fait aujourdhui. Tu lécriras pour moi. Tu es une bonne soumise ! »
« Oui mon maître »
Je suis SA soumise.
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