Le Deal 5
Karine me rend complètement fou. En à peine 24h, j'aurai eu droit à la palette de tout ce qu'elle peut-être : de la furie dépravée à la bombe sexuelle d'une sensualité à mourir, de la femme protectrice à la maîtresse sévère en passant même par la petite coquine complice, c'est dingue. J'en oublierais presque ce gode qu'elle m'a planté dans le fion sans ménagement. A vrai dire mon sphincter n'a mis que peu de temps à s'habi à sa forme ergonomique et sa base n'étant pas une pastille comme la plupart de ces objets mais plutôt une sorte de fine lamelle souple, elle s'insinue dans ma raie à la verticale et est pratiquement invisible une fois le plug en place. Je suis encore tout à l'excitation de la séance qui vient de s'achever et cette douche, pourtant à peine tiède n'arrive pas à me faire débander. Je sors de la douche et commence à me sécher, quand soudain la porte de ma chambre s'ouvre:
-"Monsieur Jo?"
C'est Constance. Pas de peignoir en vue et je n'ai pas envie qu'elle me voit dans cette tenue. Je choisis de ne pas bouger et de ne rien dire, elle finira bien par s'en aller. En effet, après un court instant, j'entends la porte qui se referme. Ce choc a instantanément permis à ma queue de retrouver la position repos. Je peux alors sortir tranquillement de la salle de bain pour aller rejoindre mes hôtes, non sans remarquer que Constance était simplement venu déposer sur le lit mon T shirt et mon bermudas soigneusement lavés et repassés et poser mes baskets au pied de celui-ci, me rappelant qu'il me faudra regagner et je le sais déjà, à regrets, le Finistère dans la soirée. Arrivé sous la grande tonnelle, je m'installe dans un des fauteuils. Karine et Pierre ont gentiment attendu mon arrivée pour se servir un verre, un plateau d'alcools divers ayant déjà été disposé sur la table basse. J'opte comme mes hôtes pour un bourbon de douze ans d'âge. Nous devisons dans le calme depuis un petit moment quand Constance Apparaît:
-"Excusez-moi, Madame Karine, je voulais seulement savoir à quelle heure vous désiriez que je serve le déjeuner.
-"C'est très bien Constance. Je vois que tu t'es aperçue tout de suite que Monsieur Jo est un invité de marque.
-Oui Madame Karine. Excusez-moi, Monsieur Jo de ne pas vous avoir traité avec déférence tout à l'heure, je n'étais pas au courant de votre visite.
-Tu es toute excusée, Constance. Mon étourdi de Pierre a du oublier de te prévenir hier soir.
-C'est exact, je suis désolé ma chérie." s'excuse Pierre l'air penaud. Je ne vois pas en quoi Constance m'avait manqué de respect mais ne comprenant strictement rien à l'étrangeté de la situation, je préférai me taire prudemment. Après un long silence pesant et sans que ni Karine, ni Pierre n'aient ordonné quoi que ce soit, Constance décroisa ses bras et ôta les boutons de sa robe jusque sous son tablier à hauteur de la ceinture. Puis elle saisit une chaise, obliqua de 45° pour se mettre de profil, se plia en deux, pris appui d'une main sur le siège et de l'autre releva sa robe libérée de tout boutonnage sur ses reins et enfin écarta bien les cuisses pour offrir encore une meilleure vue sur sa croupe accueillante. Le lycra qui gainait ses jambes était en fait des bas auto fixant et elle portait un string de fine dentelle noire. Une fois positionnée de la sorte elle tourna légèrement la tête et dit à Karine:
-"Je trouve Monsieur Jo très beau."
Le spectacle insensé qui s'offrait à mes yeux eu pour effet immédiat de remettre mon chibre au garde à vous en l'espace de quelques secondes, ce que ne manqua pas de remarquer Karine:
-"Oui, mon beau camarade, c'est ça, je suis fort aise qu"elle te fasse déjà si bien bander, car je vais te l'offrir maintenant. Il faut que tu saches que tant que tu seras parmi nous, Constance t'appartient en tout point au même titre que Pierre et moi.
-" Et bien Constance?
-Oui, Madame Karine. Je n'attends que le bon plaisir de Monsieur Jo.
-Allez, mon beau camarade, prends-là pour moi maintenant et défonce-la bien. Elle n'attend que ça pour te satisfaire."
Entendant cet ordre, dans un état second, je me lève d'un bon, me positionne derrière cette jument comme un étalon en rut. Je passe les doigts sous les ficelles de son string et les arrache d'un coup sec, puis me baissant légèrement pour libérer le fin tissu de sous son ventre et le jeter à Karine comme un trophée, quelle n'est pas ma surprise en m'apercevant qu'en faisant ça, j'avais libéré en même temps une paire de couilles roses et lisses et une bite de taille tout à fait raisonnable. Putain, Constance en fait est un... mec! Je sens monter en moi une sentiment mêlé de colère, de frustration et d'excitation ultime qui décuple mon érection. Avant que j'ai pu faire quoi que ce soit Constance m'attire sur le côté près d'elle ou de lui, je ne sais plus trop, sort un préservatif d'une des poches de son tablier et enferme ma pine dans le fin étui de latex avec une dextérité que je n'avais encore jamais vu:
-"Tu la veux vraiment ma queue ma salope?
-Oui Monsieur Jo. Merci, Monsieur Jo de si bien vous occuper de moi."
Je repasse derrière cette lope abandonnée à mon désir:
-Mon beau camarade, je veux que tu la prennes maintenant. Pas la peine de la préparer, tu vas voir comme elle est accueillante.
Je vais enculer un mec. L'idée ne m'avait même jamais effleuré jusqu'à ce moment. Je suis complètement hystérique je claque le cul de cette raclure et elle me remercie à chaque fois qu'un coup s'abat sur sa croupe rougie.
-"Allez mon beau camarade montre-moi maintenant comme tu es fort et vigoureux."
N'y tenant plus, je présente mon gland à l'entrée de son tunnel, J'empoigne ses hanches et en une seule poussée à faire hurler une truie je m'introduis en elle violemment. Mon dard s'enfonce sans rencontrer aucune résistance et je la pistonne à une cadence à laquelle je ne pensai même pas tenir trente secondes. Et l'autre pute qu'arrête pas de me dire merci alors les coups continuent a pleuvoir sur son cul. Que faut-il que je fasse pour qu'elle se rebelle un peu? Elle ne fait au contraire que décupler ma rage, et je continue de la pilonner à grands coups de boutoirs. Je ne suis plus que violence et je m'abandonne à cette sensation de transe ou plus rien n'existe, où seulement deux images subsistent, celle de Karine avec ce sourire radieux de satisfaction perverse et celle de mon pieu qui lui offrira ma crème en gage de dévotion à tout jamais sienne:
-"Maintenant, branle ta queue que je te sente jouir sous ma fureur!
-Oui Monsieur Jo. Merci Monsieur Jo de me laisser accéder à la jouissance." Et elle empoigne sa queue déjà très raide et la branle avec une extrême habileté qui lui arrache enfin des gémissements sonores. Elle est quand même pas croyable cette lope, plus je la maltraite et plus elle me parle gentiment:
-"Oui Monsieur Jo, merci infiniment Monsieur Jo! Je viens....
-Sers-toi de ton tablier, je veux pas que tu en foutes partout même si c'est toi qui nettoie après connasse!"
Elle enserre sa queue dans son tablier et d'un seul coup explose. Son sphincter se rétracte et comprime soudain tellement ma bite que je sens ma sève monter à une vitesse vertigineuse. J'abandonne alors son trou béant, je vire ce fuseau de plastique qui enserre ma pine et me rapproche de Karine. Je pose mes genoux écartés sur les rebords de la table basse devant elle et explose à mon tour en déposant ma liqueur blanchâtre sur le carreau luisant de la table en longs jets puissants, comme une offrande sacrée à toutes les dépravations et je m'écroule enfin dans le confortable fauteuil situé juste derrière moi.
-"Que se passe-t-il, Jo? Je te sens contrarié.
-C'est cette séance tout à l'heure. C'était....j'ai été....et puis Constance..."
Karine me coupe:
-"Tu sais, Jo, généralement nous ne reparlons de nos séances après coup que si l'un d'entre nous enfreint les règles. Nous sommes des adultes responsables, consentants et agissons en toute connaissance de cause." Puis avec son petit air complice, "et puis, je vais te souhaiter la bienvenue à notre club. Tu as, je le crois goûté d'une certaine manière à la puissance que pouvait avoir certaines relations entre nous, mais malgré tout, tu n'as pas perdu le contrôle. Je crois que ce qui te fait peur à cet instant précis est sans doute le fait de t'être éloigné de ta zone de confort, un peu comme dans un bolide de course quand on joue un peu trop avec la zone rouge. Et nous t'avons regardé prendre un tel pied, c'était magnifique."
Elle a raison, je suis terrorisé à l'idée d'avoir déclenché tout ce qui s'est passé. J'éprouve presque de la honte à avoir maltraité de la sorte cette pauvre Constance et pourtant, le fait de pouvoir offrir ce spectacle à Karine, c'était tellement bon.
Et Karine qui doit toujours lire dans mes pensées:
-"Et puis ne t'inquiète pas au sujet de Constance. Ce qui se passe entre elle et nous est un jeu. Un jeu extrême, je te l'accorde, mais cela reste un jeu. Si elle est là où elle est aujourd'hui, c'est d'une part son souhait, certains d'entre nous et il y en a beaucoup plus que tu ne le crois trouvent leur épanouissement dans la totale soumission à l'autre, allant même jusqu'à faire passer tous les plaisirs de l'autre avant le sien. Constance est l'archétype extrême de ce genre de comportement et d'autre part parce qu'à un moment donné elle a enfreint une limite, celle de ma propre volonté. Constance, il y a quelques années était un très beau mec avant de devenir une jolie femme. C'est une de nos anciennes camarades de jeux. Au cours de nos séances, je lui ordonnais parfois de se travestir pour agrémenter divers scénarii. Un jour nous sommes partis en voyage avec Pierre pendant trois mois, la laissant seule, et à notre retour, elle avait subi une intervention chirurgicale croyant me faire plaisir et s'était fait poser des implants mammaires qui lui donnent c'est vrai aujourd'hui, cette superbe poitrine. Moi, je désirais un camarade masculin tout court et pas un camarade masculin avec une poitrine 85c. Elle avait rompu le contrat. Mais comme elle est très intelligente, discrète, dévouée, et que nous l'apprécions beaucoup, nous l'avons conservé à notre service, car nous avions besoin d'une intendante, je dirais initiée, pour s'occuper de notre maison. Ah oui et j'oubliais si elle a eu cette réaction avec toi, c'est que seuls les personnes qui font partie de notre cercle et elles sont très peu nombreuses, ont droit et même obligation de nudité sous notre toit. La nudité pour nous est symbole de bien-être et de totale liberté. Tous les autres doivent être systématiquement vêtus."
Un bruit de cloche retentissant et l'arrivée sur la terrasse de Constance clôt cette conversation:
-"Une voiture au grand portail, Madame Karine. Ce sont vos parents qui vous rendent visite.
-Mes parents? Mais quelle heure est-il?
-Bientôt quinze heures Madame Karine.
-Bon eh bien, nous dînerons mieux ce soir! Amour et moi, maillots de bains, Jo, je vais te demander exceptionnellement de te rhabiller. Mes parents ne sont pas initiés.
-Aucun problème, Karine.
S'en suit l'arrivée des parents, le père qui félicite sa fille pour sa plastique de plus en plus charmante, les présentations d'usage, le blabla familial habituel, tout ceci s'éternise et je demande poliment à Karine la permission de prendre congé sous prétexte que je ne veux en rien gêner cette joyeuse assemblée et que le Finistère qui m'attend n'est pas tout à côté. Ce à quoi elle répond:
-"Comme tu voudras, Jo, mais avant de partir, je souhaiterais que tu me suives, j'ai quelque chose à te demander."
Je la suis donc dans la partie Est et nous entrons à nouveau dans la salle de préparation, qui a déjà retrouvé son aspect impeccable après le passage de Constance. Karine est magnifique dans ce maillot de bain une pièce qui se voudrait sage d'un bleu uni coordonné à la couleur de ses yeux, décolleté pratiquement jusqu'au nombril et échancré jusqu'à la base des reins. Elle sort d'un tiroir une poche de plastique contenant une pâte liquide de couleur vert émeraude et une sorte de fourreau en plastique composé de deux parties assemblables fermé à une extrémité et muni d'un trou de cinq centimètres de l'autre côté quand les deux parties sont assemblées. Elle ouvre le fourreau en deux et demande:
-" Allez, mon beau camarade, je voudrais que tu bandes encore pour moi.
- Le simple fait d'entendre ces mots et je suis déjà nu devant elle, j'empoigne déjà ma queue, mais:
-Non, attends, je connais le moyen de gagner du temps."
Et elle fait glisser lentement les bretelles de son maillot sur ses bras, le fait descendre jusqu'à ses pieds, s'en débarrasse négligemment sur le côté, plonge ses yeux dans les miens et commence à se caresser les seins d'une main et de l'autre attaque son bouton d'un mouvement circulaire qui lui fait bientôt entrouvrir la bouche pour humecter ses lèvres d'une langue gourmande. L'effet est immédiat et ma bite retrouve instantanément sa vigueur comme si je ne l'avais absolument pas sollicité du week-end.
-"Oui mon beau camarade, j'adore te regarder quand tu bandes comme ça pour moi."
Plus elle me parle, plus je sens ma verge se gorger de sang pour se dresser vers celle qui peut tout lui demander. Elle cesse à l'instant ses caresses, enfile une nouvelle paire de gants en latex et commence par me lubrifier abondamment. Ces doux attouchements font palpiter ma queue parcourue par ses doigts experts.
-"Dis-moi mon beau camarade, doucement, je t'interdis de jouir, je veux simplement que tu conserves cette belle fermeté."
C'est un véritable supplice. Comment veux-tu ne pas succomber quand une fille pareille te caresse une des zones les plus sensibles de ton anatomie comme si de rien n'était. De plus une douleur lancinante commence réellement à s'emparer de mon membre à la suite de toutes ces séances de tension extrême. Mais Karine n'en a visiblement que faire et reste concentrée sur son ouvrage. Elle a seulement besoin de ma bite, un point c'est tout. Je fais néanmoins un effort de concentration énorme pour éviter de décharger dans ses mains. M'abandonnant un cour instant, elle verse la pâte verte à part égale dans chaque coque du fourreau et dès que celle-ci prend une consistance un peu plus solide au contact de l'air, elle les approche et vient enfermer ma pine dans cette prison de plastique qui je l'espère est provisoire.
-"Ne bouge surtout pas, mon beau camarade, il n'y en a pas pour très longtemps."
Une de ses mains maintient le fourreau en bonne position. Elle s'est légèrement penchée pour surveiller le déroulement de son oeuvre, m'offrant une vue imprenable sur la chute de ses reins et son cul qu'elle malaxe et pétrit maintenant de sa main restée libre agrémentant le tout de petites claques. La vue de ce spectacle maintient l'excitation à son maximum, ma pine, tendue à l'extrême me fait vraiment souffrir et j'en viens à me dire que je vais finir par gicler dans le fourreau. Au bout de quelques minutes, j'ai vraiment l'impression que je vais exploser, la résine durcissant comprime ma verge de plus en plus ou peu être l'inverse, je ne sais plus très bien, je pense devenir fou. C'est à ce moment que ma tortionnaire décide de désolidariser les deux coques qui n'ont aucun mal à se séparer grâce au lubrifiant. Elle à un sourire radieux en contemplant son travail . Ceci fait, elle m'ordonne de me rhabiller et sans même me regarder me souhaite un bon retour vers le Finistère, non sans m'avoir recommandé de ne jamais m'éloigner de mon téléphone portable et de surveiller un prochain message. Elle souligne également qu'elle tient à être informée de tout élément de mon emploi du temps dès que je suis autre part qu'à mon travail. Je quitte la pièce, et après avoir adressé mon salut respectueux à Pierre qui lui m'adresse un clin d'oeil complice et au reste de la famille, Je me dirige vers le grand hall d'entrée où m'attend Constance. En m'ouvrant la porte, avec un sourire aimable, elle me dit:
-"Au revoir, Monsieur Jo, encore merci Monsieur Jo, je suis à votre disposition et je vous souhaite bonne route, Monsieur Jo.
-Au revoir, Constance."
Je m'engouffre dans ma voiture et direction le Finistère. Un rapide bilan, j'ai la bite en feu, des questions qui me tournent dans la tête:
Ma présentation?
La tour ronde?
Le moulage de ma queue?
Un prochain message... c'est pour quand?
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