Le Professeur De Piano

Me revoilà pour vous faire chavirer avec une nouvelle histoire.
Cette histoire est issue d’un rêve érotique que j’ai fait il y a quelques nuits.

Dans cette histoire, je prenais des leçons de piano avec un jeune professeur très talentueux. Cela faisait quelques semaines que je suivais ses cours à domicile.
Mon professeur s’appelait Jimmy, il était magnifique. Il était brun avec de magnifiques yeux noisette. Il était grand, musclé, taillé en V avec de larges épaules et des hanches dessinées d’une manière tellement sexy.

Un mercredi après-midi, par une belle journée ensoleillée du mois de mai, je me rendais chez Jimmy pour une nouvelle leçon. Après l’avoir salué, je me suis installée sur le tabouret devant le piano. Je commençais à faire glisser mes doigts sur les touches du clavier. Jimmy se tenait debout derrière moi, je sentais son odeur par-dessus mes épaules.
Il posa ses mains sur mes épaules et je sursautais, surprise. Il se colla un peu plus dans mon dos. Je ne pouvais plus poser mes mains sur les touches. J’avais soudain une envie irrésistible de Jimmy.

Je me suis retournée sur mon tabouret pour lui faire face. Son regard, posé sur moi était fiévreux et rempli d’excitation. Ses yeux noisette avaient une lueur de feu. Je n’osais pas le regarder, je baissais les yeux sur mes mains posées sur mes cuisses.
Il approcha son index de mon menton, le releva pour que mes yeux croisent les siens. Son regard était de plus en plus intense. Je me souviens avoir mordu ma lèvre inférieure, par envie. Il m’a regardait encore plus intensément en me disant :
- Tu viens de te mordre la lèvre, ce geste me rend fou.

A ces mots, j’ai de nouveau baissé les yeux, je sentais mes joues rougirent, j’entendais mon cœur qui battait la chamade dans tout mon corps. C’était une sensation très enivrante.
Il m’a pris les mains et m’a relevé pour que nos deux visages soient presque collés.

Ma respiration était étouffée et de plus en plus rapide, la sienne était sifflante, il me regardait avec un regard de braise qui me faisait saliver de plaisir.
Je portais ce jour-là, une chemise noire, avec un jean noir assorti et une paire d’escarpins gris à talons compensés. De ce fait, j’étais quasiment à la même hauteur que Jimmy. Lui, était vêtu d’une chemise blanche à manches courtes, et d’un jean qui tombait délicieusement sur ses hanches sexy.
Il déposa le dos de sa main sur ma joue brûlante, et une espèce de décharge électrique me parcouru la colonne vertébrale. Je n’étais que frisson sous sa caresse. Il approcha ses lèvres de ma bouche qui emprisonna la sienne. Nos langues se mirent à tourner pour se chercher. Il passa sa langue sur mes dents et sur ma lèvre supérieure. Waouh quelle sensation exquise.
Il descendit sa bouche tendre sur mon menton, sur mon cou en déposant des baisers aussi légers que des plumes. Il s’attarda sur le creux de ma clavicule droite, il arriva sur mon épaule puis s’arrêta et fit la même chose du côté gauche. Je frémissais sous ses baisers.
Il laissa glisser ses mains sur ma poitrine, mon corps se convulsa sous ce geste. Il effleura le tissu de ma chemise qui recouvrait ma poitrine. Je poussais mon corps pour qu’il entre en contact avec la paume de ses mains.

Il déboutonna les premiers boutons de ma chemise, il déposa quelques baisers sur le haut de ma poitrine qui commençait à me faire mal, tellement elle était avide de ses caresses. Il continua son déboutonnage, chaque fois qu’il enlevait un bouton, ma respiration s’arrêtait.
Quand ma chemise fut ouverte, il tira dessus pour la sortir de mon jean. Il m’effleura la peau juste au-dessus de mon ventre. Il attrapa le col de ma chemise, la fit glisser sur mes épaules puis sur mes bras, puis il l’a laissé tomber au sol.
J’étais devant lui en soutien-gorge. Il était noir en dentelle, en forme balconnet mais il ne demandait qu’à descendre sous la pression de mes seins gonflés par l’excitation.

Il passa ses mains dans mon dos et dégrafa mon soutien-gorge d’une seule main, il était vraiment doux et sensuel dans ces caresses.

Mon soutien-gorge alla rejoindre ma chemise au sol. Il attrapa mon sein droit dans une de ses mains. Il titilla mon téton qui pointait de plus en plus fort sous ses doigts habiles. Il tirait légèrement dessus pour l’étirer encore. Sa bouche descendit le long de mon cou et vint s’arrêter sur mon sein gauche. Il fit tourner sa langue sur mon téton.
Sa langue me faisait chavirer, cette douce et lente caresse était une vraie . Je cambrais mon dos pour plaquer ma poitrine sous sa langue et sa main.
Tout à coup, il descendit sa main sur mon ventre, il passa un doigt sur le tour de mon nombril, ma respiration s’accéléra, et mon cœur allait exploser dans ma poitrine. Il fit glisser ses doigts sur le bouton de mon jean, l’ouvrit puis descendit le zip de ma fermeture Éclair. Il coinça ses doigts dans le tissu de mon pantalon et commença à tirer dessus pour me l’ôter.
La pression était tellement intense qu’il retira par la même occasion mon boxer noir en dentelle assorti à mon soutien-gorge. Je m’appuyais à ses avant-bras pour me retenir quand il retira mon jean sans enlever mes escarpins.
J’étais à présent complétement nue devant cet homme superbe, qui respirait la sensualité. Sa respiration était rauque, suave et envoûtante alors que la mienne était devenue presque insoupçonnable.
Mon corps frissonnait sous son regard fiévreux qui était posé sur moi. Il se pencha vers mon oreille, déposa un léger baiser sur mon lobe et me susurra quelques mots :

- Tu es si belle, je veux que tu sois mienne ! Avec une voix chaude et excitante.
- Je serais tienne ! Je chuchotais pour prononcer cette phrase.
Il m’attrapa par les épaules et me fit basculer sur un tapis blanc devant le piano que je n’avais jamais remarqué. Ce tapis ressemblait à une peau de bête, il était doux et moelleux.

- Allonges-toi, mets-toi à l’aise.

Tout en me guidant pour m’allonger, il passait sa main sur tout mon corps, qui était tendu, je me convulsais sous chaque passage de sa paume si douce sur ma peau brûlante et sensible. Soudain, il s’arrêta dans sa caresse et m’écarta doucement les jambes ainsi que les cuisses. Il caressa mes jambes et remonta jusqu’en haut de mes cuisses.
Il s’attarda quelques instants en me scrutant intensément, j’avais l’impression qu’il planait au-dessus de moi. Il se plaça devant moi à genoux, et se pencha pour que sa bouche flirte avec le haut de mon pubis. Il passa ses doigts dans mes quelques poils frisés, il tira dessus.
Puis approcha sa langue de mes lèvres, il les lécha doucement et furtivement. Je redressais la tête pour le regarder. Son regard brillait et il passa sa langue sur sa lèvre supérieure. Il était si sexy dans cette posture à genoux devant mon intimité.
Il caressait l’intérieur de mes cuisses, j’ondulais sous chaque mouvement. Il rapprocha de nouveau sa main de mon sexe mais ce coup-ci, il glissa un doigt entre mes lèvres, puis enroula sa langue sur mon clitoris. Je soulevais mon bassin pour aller à la rencontre de sa bouche et de son doigt en moi.
Il tournait sa langue très langoureusement et son doigt pratiquait des va-et-vient des plus torrides. Je respirais par à-coup, je n’étais plus qu’un soupçon de sensations qui mêlait désir et fièvre dans tout mon bassin.

Je gémissais de plus en plus en me convulsant sous ses assauts manuels. Il me dit soudain :
- Mallaury, tu es déjà si mouillée et je ne t’ai pas encore possédée.
Il se releva et s’approcha de ma bouche, m’embrassa avec une ardente ferveur, sa bouche réclamait la mienne, il me mordillait les lèvres et la langue très tendrement.
Je lui glissais quelques mots à l’oreille :

- Tu es si doux dans tes caresses, mais à présent j’ai envie de te montrer de quoi je suis également capable pour donner du plaisir.

Je le poussais et lui demandais de se relever. En effet, moi j’étais nue alors que lui était encore entièrement habillé. Je me plaçais devant lui et commençais à déboutonner à mon tour sa chemise, je passais d’un bouton à l’autre en le frôlant à chaque fois. Je sentais mes pupilles posées sur lui, qui se dilataient de voir chaque centimètre de sa peau qui se découvrait à moi.
Je déposais mes mains sur son col et je fis glisser sa chemise sur ses bras musclés, elle alla rejoindre mes habits sur le sol. Son torse était super, il avait de jolis pectoraux bien dessinés, il était légèrement bronzé, ce qui renforçait et accentuait son regard de braise.
Mes mains flottaient sur son torse, et je fis la même chose que lui en empruntant le même chemin de son menton jusqu’à son cou, en passant par ses clavicules. Il frissonnait sous mes baisers et mes mains allèrent se poser sur ses tétons joliment dressés.
Je descendis ma bouche pour aller à leur rencontre, je passais ma langue sur chacun. Sa respiration devint sourde et ralentie, il rejeta la tête en arrière et murmura mon prénom entre ses dents serrées :

- Oh Mallaury, que c’est bon !
- Je sais Jimmy, comme ce que tu m’as fait tout à leur !

J’ai arrêté mes mains à la hauteur de son bassin en les posant sur ses hanches. J’ai enlevé son bouton puis son zip et j’ai glissé mes doigts entre son jean et sa peau, j’ai saisi en même temps son boxer et j’ai tiré pour le faire descendre jusqu’à ses chevilles, il passa chaque pied et poussa ses affaires avec les miennes.
On était maintenant nus tous les deux face à face. Il était grand, et divinement sexy, ses épaules étaient larges et accueillantes. Son bassin était fin mais bien musclé. Ses jambes étaient élancées, et ses cuisses étaient rondes et charnelles.
Je le poussais pour qu’il vienne s’allonger à son tour sur le tapis en fourrure. Il s’étendit de tout son long et me scruta de son regard le plus intense, mon cœur palpitait rapidement.

Je m’accroupissais à ses côtés à la hauteur de son bassin, Je déposais des baisers légers sur son torse, je titillais ses tétons du bout des doigts. Il gloussait en serrant les dents. Je passais ma langue jusqu’à arriver sur son pubis.
Son sexe était épilé comme j’aime. Je le pris dans ma main. Il sursauta. Je décalottais son gland et fis glisser ma bouche sur toute la longueur qui était déjà impressionnante. Il se cambrait sous ma langue. Je tournais ma langue sur son gland, je le léchais en descendant jusqu’à la garde de ses testicules.
Il m’enserrait la tête de ses deux mains pour me guider doucement sur son sexe. Je caressais ses hanches de mon autre main. J’entendais son cœur qui battait à tout rompre quand j’approchais ma bouche de son ventre lorsque je m’enfonçais au plus profond sur son sexe.
Il me prit par les épaules et me releva :

- Attends Mallaury, je ne veux pas jouir tout de suite, je veux me laisser aller dans ton corps et te transporter jusqu’à l’extase.
Je le regardais tout en passant ma langue sur mes lèvres pour lui montrer mon envie de lui.
- D’accord, Jimmy, montre-moi comment tu me transportes jusqu’à l’extase comme tu dis.

Il me releva, me souleva et me déposa sur le couvercle du piano qui était refermé. C’était froid et je me cambrais sous la sensation de la matière dure du piano. Il vint me rejoindre en prenant soin de ne pas étaler tout son poids sur le piano.
Il m’écarta doucement les jambes et me les releva jusqu’à ce que mes genoux touchent presque mon ventre. Il ouvrit un préservatif et le déroula sur sa queue tendue. Je le regardais fiévreuse et excitée au maximum. Il s’avança vers mes hanches et me pénétra doucement, je le sentais écarter mes lèvres dans un geste très voluptueux.
Je rejetais la tête en arrière et je laissais échapper un long gémissement comme si j’avais retenu mon souffle jusqu’à sa pénétration. Il était sensuel. Il sortit dans la même douceur et me repénétra plus profondément. Je soulevais mon bassin pour suivre son mouvement. Il s’agrippait à mes hanches et à mes cuisses. Par moment, ses mains remontaient sur mes flancs, il me possédait entièrement. J’étais à lui, et je le voulais plus fort et plus loin.

- Oh Jimmy, possèdes-moi plus fort et plus vite, je t’en prie.
- Tes désirs sont des ordres. Avec un sourire fugace mais très érotique, il se redressa sur ses jambes et me pénétra plus fort et plus vite.
- Oh oui, comme ça, Jimmy c’est si bon de te sentir en moi.
- Tu es si accueillante, c’est un régal de se mouvoir en toi. Tu es chaude même bouillante et ton corps est un vrai délice.

Mon dos était cambré, je me maintenais sur mes coudes et mes avant-bras. Mes fesses ne touchaient même plus la surface du couvercle. Mon corps flottait en parfaite harmonie avec celui de Jimmy qui me soutenait par les hanches.
Il s’arrêta, m’attrapa par les hanches et me retourna délicatement et vint se placer sur le dos à son tour. Il me souleva pour que je vienne m’empaler sur lui. Il me tenait fermement par les mains pour me guider et soutenir mon équilibre. Je glissais délicieusement sur lui en me tenant solidement à son torse.
Il me tira à lui et m’embrassa avec passion en me serrant contre son torse brûlant et humide de désir. Je me perdais sous son baiser. En me redressant, j’haletais rapidement et par saccades. Lui, avait relâché ses muscles et rejetais sa tête en arrière comme pour s’abandonner à cette étreinte.
Il me soutenait sous les fesses pour me faire monter et descendre selon sa volonté, je me penchais en arrière sur ses jambes pour ressentir plus profondément sa pénétration intense et puissante.

Ma respiration était sifflante et la sienne était rauque.

- Oh Ma…llau…ry...

Il prononça mon prénom en détachant chaque syllabe en étouffant la dernière entre ses dents serrées. Il fermait les yeux et quand il les rouvrit, ils étaient enflammés et me possédaient entièrement.
Je gémissais de plus en plus fort, mon extase était au rendez-vous, je m’abandonnais sur lui en lâchant un râle de plaisir long et intense à n’en plus finir. Il jouissait presque dans le même instant que moi en se répandant en moi en râlant entre ses dents.
Il relâcha ses membres et sa mâchoire se détendit sous la jouissance. Je me laissais tombée à nouveau sur lui en posant ma tête délicatement sur son torse. Il m’embrassa les cheveux en resserrant ses bras autour de ma taille.

- Oh Jimmy, c’était si puissant, tu es un amant exquis, merci !
- Merci à toi ma douce Mallaury, quand je t’ai dit que tu serais mienne je ne pensais pas à ce point-là, en fait c’est toi qui m’as possédé !
- Jimmy, à vrai dire je crois que l’on s’est possédé l’un l’autre.

On s’est relevés, on est descendus du piano, on s’est rhabillés, puis il s’est installé sur le tabouret du piano pour y jouer une mélodie douce et délicate, je me suis glissée sur ses genoux et je l’ai étreint passionnément.


A présent, je ne regarderais plus un piano de la même manière, et je repenserais à ce rêve érotique.

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