Florian
Il y a un peu plus dun an, jélevais encore mon petit frère puisque je suis laîné de la fratrie et quil est normal que je moccupe de lui puisque ma mère est incapable de le faire. De ce fait, mon appartement était souvent rempli dadolescents et comme jai un esprit plutôt jeune, je mentendais très bien avec ces derniers. Ensuite, mon frère est parti chez ma tante car ma famille estimait quà bientôt trente ans, il était plus que temps que je fasse ma vie. Du coup, je me suis retrouvé très vite seul mais je continuais à voir certains amis de mon petit frère, en particulier Florian qui vivait dans mon quartier. Je ne compte plus le nombre de fois où je le croisais dans le secteur et à chaque fois, on se plaisait à perdre de précieuses secondes, juste pour discuter.
Florian a fêté ses dix-huit ans il ny a pas longtemps et il est toujours aussi beau que le premier jour où jai fait sa connaissance grâce à mon petit frère. Dailleurs, je ne le remercierais jamais assez car hier soir, vendredi 26 janvier 2013, il sest passé quelque chose dincroyable et jai toujours du mal à men remettre. Je vous rassure, ce nest pas un moment pénible que nous avons passé ensemble, bien au contraire. Florian est un jeune homme qui a poussé très vite lorsquil était adolescent. Il ne fait pas loin du mètre quatre-vingt-quinze, est svelte, a la peau blanche mais surtout, ses cheveux sont bruns et courts tandis que ses yeux sont marrons.
Ce gosse vit seul avec sa mère et il en est très proche. Tout comme moi, son père la abandonné assez tôt et cela explique le fait quil soit souvent triste et que je me suis pris daffection pour lui. Dailleurs, je le considère comme un second petit frère et il en est de même de son côté. Combien de fois, au moment de le quitter, je lentendais me dire « à bientôt grand frère » ? Au début de notre amitié, je le voyais souvent dans le quartier avec lune de ses petites amies.
Néanmoins, au lieu de marcher à ses côtés comme le ferait un véritable amoureux transi, il se tenait à plusieurs centimètres devant cette dernière.
Hier soir, alors que je me posais sur mon canapé, mapprêtant à regarder une émission à la télévision, jentendis mon téléphone sonner. La sonnerie était courte et donc, je compris que je venais de recevoir un sms. Son envoyeur nétait autre que Florian qui me disait bonsoir, avant de me demander sil pouvait passer me voir. Naturellement, je lui répondis par le positif tout en lui précisant que jétais en petite tenue puisque je sortais de la douche. Ce détail navait aucune importance pour lui et à la fin de cette conversation, jattendais sa venue.
Au bout de plusieurs secondes, la sonnette retentit à lintérieur de mon appartement. En me levant de mon canapé, jattrapai mon peignoir bleu clair qui reposait sur le dossier dune chaise et lenfila très vite. Lorsque jarrivai devant la porte dentrée, je fis un nud à la ceinture et ouvris. Face à moi se tenait Florian, revêtu dun pantalon noir, dun sweat de la même couleur et dont la capuche recouvrait sa tête. Vu le froid quil régnait dehors à ce moment, il était normal que Florian se présente dans une telle tenue.
Rapidement, je le fis entrer chez moi et une fois la porte fermée, je lui proposai de me suivre jusquau salon. Une fois dans la pièce, je lui demandai sil voulait boire quelque chose et sa réponse fut négative. Comme mon émission était sur le point de commencer, je linvitai à sinstaller avec moi sur le canapé, ce quil accepta. Ma jambe gauche pliée sur le canapé tandis que la seconde était au sol, jétais assis de telle sorte que jétais tourné vers lui, au cas où Florian voudrait faire la conversation.
Soudain, Florian me demanda décarter un peu mes jambes pour quil puisse sinstaller confortablement au milieu. Cette proposition métonna un peu mais bon, du fait quon se considère comme des frères, je vis cela comme un comportement fraternel et rien de plus. Du coup, il fit basculer sa capuche derrière sa tête et vint coller son bassin contre le mien. Rapidement, je me retrouvai avec sa chevelure brune sous le nez et je nai pas hésité une seule seconde à humer le parfum qui sen dégageait. Une chose est sûre, cest quil avait dû prendre une douche avant de venir car ses cheveux dégageaient une légère odeur de pomme verte.
«Tu sens très bon.» lui dis-je.»
Et il me répondit après un rire.
«Merci mais toi aussi puisque tu sors de la douche.»
Et tout naturellement, je lui fis un bisou sur la joue. Là, il mimita mais ne se limita pas quun à seul baiser. Allait-il mal ? Avait-il besoin dêtre réconforté ? Je voulais lui poser la question lorsquil me fit un autre bisou mais dans le cou cette fois. Ensuite, Florian me demanda la chose suivante :
«Je peux poser ma tête sur ton torse pour regarder la télévision avec toi ? »
Bien sûr quil pouvait et cest avec plaisir que jacceptai. Du coup, il sinstalla tout à son aise et posa sa tête sur mon torse, comme il me lavait demandé. Je me sentais bien avec lui et il ne broncha pas lorsque jentourai sa taille avec mes bras. Là, javais vraiment limpression quon était frangins et que ce lien invisible quétait lamitié avait disparu depuis quelques secondes. On commença à regarder la télévision et on commenta dès quon vit une personne quon ne pouvait pas apprécier.
Tout à coup, Florian me dit quil aimait mon ventre car ce jeune homme avait la sensation dêtre installé contre un coussin géant. Jétais parti pour le prendre plutôt mal car je sais me montrer susceptible par moment, surtout lorsquil sagit de mon physique que je naime pas du tout et voilà quil se tourna vers sa droite.
Il me fit comprendre une seconde fois quil adorait mon ventre et mon torse en rajoutant que jétais le plus beau. Cette remarque me fit rire et je lui ai répondu que cétait lui, le plus adorable de nous deux. Suite à cela, il me dit :
«Merci, cest gentil. Je taime, chou. »
Jouvris les yeux en grands car cétait bien la première fois quil me disait je taime. Là encore, jignorai quoi comprendre mais le fait dêtre blond de naissance ne devait pas aider je pense. Alors que je lui rappelai que jétais en couple avec un garçon que jaimais réellement, il ne fut pas déçu pour autant. Au contraire, il me dit que je ne devais pas minquiéter car il maimait par amitié. Sur ce coup-là, javais du mal à le croire mais bon, je jugeai bon de ne rien ajouter.
On recommença à regarder la télévision et pendant ce temps, je ne lavais pas vu mettre sur lui la couette qui reposait à lautre bout de mon canapé. Tandis que lémission en était déjà à son premier jeu, Florian tourna sa tête pour me regarder et mindiqua quil avait chaud. Je lui demande de se retirer pour aller éteindre un radiateur et là, le jeune homme sempressa de me répondre quil se sentirait bien mieux sil pouvait retirer son pantalon, son sweat et son maillot. Pour cela, le garçon avait juste besoin de mon accord. Naïvement, je répondis oui car je navais toujours pas compris que son comportement était tout sauf innocent.
Je le saurai bientôt dailleurs. Peu après, il se repositionna contre moi et reprit ses caresses en me faisant un nouveau compliment :
«Jaime ta peau, elle est toute douce.»
Et comme je lui caressai à nouveau sa joue, je rétorquai que la sienne aussi était un délice à cajoler.
- Dis-moi Florian ?
- Oui.
- Ta peau est toute douce partout ou cest uniquement au niveau de tes joues.
- Non, cest partout. Tu peux le vérifier si tu veux.
- Daccord.
Et voilà que je commençai à éloigner ma main de sa joue pour la promener sur son torse. Là, je caressai son ventre du bout du doigt, en mattardant par moments sur son nombril et ensuite, je remontai ma main pour dessiner des cercles autour de ses tétons. Par gourmandise, je mamusai aussi à les pincer légèrement et je sentis des frissons lui parcourir le corps. Visiblement, Florian appréciait ce que je lui faisais lorsquil se mit en mouvement. Je cessai mes manigances manuelles pour savoir ce quil sapprêtait à faire.
Et là encore, grande surprise de ma part. Cette fois, le garçon écarta les pans de mon peignoir à hauteur de mes tétons et commença à men lécher un tandis que le second était caressé par lune de ses mains. Mon érection déformait de plus en plus mon caleçon et il devait le sentir puisque son bassin était posé contre le mien. Dailleurs, je me concentrai pour savoir sil était dans le même état que moi et jétais très heureux de constater quil était autant excité. Maintenant, je voulais savoir jusquoù il voulait aller.
«Mais tu penses que ta peau est vraiment toute douce. Je veux dire, aux autres endroits ?»
Et il me questionna sur lendroit où je voulais risquer mes mains.
«A ton avis ?» Répondis-je.
Il a dû saisir mon allusion car Florian minforma quil aimait quon lui caresse larrière du caleçon. Rapidement, je glissai ma main sous le tissu de son sous-vêtement et me voilà en train de lui caresser les fesses. A cet endroit aussi, sa peau se montre douce et jétais vraiment aux anges de pouvoir lui administrer ce plaisir sur cette zone. Pendant ce temps, il arrêta de me lécher le téton pour promener sa langue un peu plus bas, jusquà sarrêter à hauteur de mon nombril. Bien sûr, ma cicatrice ombilicale reçut un bon nombre de baisers et à mon tour, je fus parcouru dagréables frissons.
Doucement, je lui demandai si je pouvais promener lun de mes doigts entre ses fesses et il mindiqua que je pouvais même lui enfoncer si cela pouvait me faire plaisir. En clair, on était parti sur un plan cul et cette idée ne me déplaisait pas du tout. Rapidement, je glissai mon index sur sa raie et celui-ci alla très vite lui titiller lentrée de son intimité. Là encore, je ressentis le besoin de lui dire que je trouvais son fondement très chaleureux et confortable. Tout en rigolant, il me dit que lintérieur de son anus létait et voilà quil se frotta à mon caleçon.
Après quelques caresses, Florian se releva et se mit en mouvement pour retirer son sous-vêtement. Il me dévoilait sa verge qui était en érection et au premier coup dil, je compris quelle était plus longue et plus grosse que la mienne. Le jeune homme sallongea dans lautre sens afin que je me retrouve nez-à-nez avec son joli petit trou tout rose. Jaime faire des anulingus et en voyant les plis de son intimité, je réalisai enfin à quel point jallais me montrer gourmand. De son coté, Florian mattrapa le sexe dans lune de ses mains et me masturba tout doucement.
Alors que ma langue se promenait une première fois sur son anus, le jeune homme ferma sa bouche sur mon gland lorsque de premiers gémissements se manifestèrent. Visiblement, mon jeune amant était très sensible de larrière-train et plus je passais mon organe à lintérieur et moins il se montrait discret. De plus, Florian avait du mal à se concentrer sur la fellation quil était en train de me faire tellement je me régalais à lui flatter lintérieur de son petit trou. Plusieurs secondes sécoulèrent lorsquil me proposa de lui enfoncer des doigts. Inutile de me le répéter deux fois.
Jéloignai ma bouche de son anus pour remplacer ma langue par un premier doigt. Je fus très étonné de voir mon index disparaitre aussi facilement en lui et je le soupçonnai davoir déjà eu des rapports avec des garçons. A ce moment, je commençai aussi à songer que lun de ces hommes aurait pu être mon petit frère. Je lui poserai la question lorsque nous aurons terminé car je ne voudrais pas tout gâcher à cause de cette interrogation. De plus, je men voudrai car jai toujours trouvé Florian très beau et jai la chance de lavoir rien que pour moi ce soir, moffrant une merveilleuse opportunité par la même occasion.
Tandis quon se faisait du bien, je voulais pousser davantage lexpérience en lui enfonçant deux doigts. Là encore, aucun problème dintromission et désormais, jétais persuadé que ma queue allait pouvoir sy glisser sans trop de difficultés. Faut encore quil accepte dêtre passif pour ce soir. Dailleurs, je me sentais le besoin de lui poser la question et cest ce que je fis aussitôt.
- Dis-moi Flo ?
- Ouais.
- Tu veux que je te pénètre après ?
- Bien sûr. Tu me fais tout ce que tu veux, je suis à toi, chou.
Ce garçon est vraiment un amour mais jai vraiment du mal avec ce « chou ». Ben ouais, il a dix-huit ans et moi vingt-neuf, je ne suis plus en âge dêtre nommé ainsi ou alors, jai du retard sur les nouvelles relations. Alors que jimprimai un mouvement de va-et-vient avec mes doigts, Florian reprit sa fellation lorsquil enfonça ma queue entièrement dans sa bouche, marrachant un râle par la même occasion. Ce garçon est vraiment génial et je tiens à lui prouver que moi aussi, je suis très doué à ce petit jeu. Je soulève ma tête et ouvrit la bouche.
Je pus ainsi me saisir de sa tige et je commençai à lui sucer en la masturbant à sa base avec ma seconde main qui, pour le moment, était toujours inoccupée. Désormais, Florian se retrouva avec son gros sexe jusquau fond de ma gorge et deux de mes doigts dans son petit cul. Désormais, les rôles étaient inversés puisque cétait lui qui se mettait à gémir et pas très discrètement. Vu le regard que ma jeté ma vieille voisine ce matin, je pense quon la un peu dérangé mais bon, je men branle totalement. Je suis chez moi, je suis libre daccueillir qui je veux, coucher avec qui je veux et si elle nest pas contente, elle peut toujours déménager.
Lenvie était désormais trop forte et je voulais mettre ma verge ailleurs que dans sa bouche.
- Florian, je peux te prendre ?
- Bien sûr que oui mon chéri, mon anus peut tout accueillir tu sais.
Et je voulais absolument le vérifier. On cessa de se caresser et on discuta de la position à prendre. Lui nen avait pas de favorite et moi non plus. Cette petite conversation dura quelques secondes lorsquil vint sassoir sur mon bassin. Très vite, jérigeai ma verge à son maximum et Florian sempala dessus.
Il descendit lentement afin de shabi à ses dimensions et une fois que ma queue était entièrement dans son cul, le jeune homme se mit en mouvement. Pendant que Florian se faisait masser lintérieur de son fondement par ma queue bien raide, il se pencha sur moi afin de membrasser fougueusement. Pour être sûr que je ne méloigne pas de ses lèvres, il ressentit le besoin de glisser sa main derrière son cou pour le ménager. Le jeune majeur était vraiment excité et je dois avouer quil nétait pas le seul à être dans cet état. Soudain, il sinquiéta dun sujet et se figea.
- Au fait, tu mas enculé à sec ou avec une capote ? Me demanda-t-il.
- Ben à sec puisque tu tes empalé dessus direct.
- Mince. Et tu as une capote ?
- Ouais mais elles sont loin du canapé, là. A la limite, lorsque je sentirai que je vais éjaculer, je te le dis et tu te retires.
- Pas de souci. De toute façon, je veux ton sperme dans la bouche.
- Ca marche.
Et après cette petite conversation, on reprit là où on sétait arrêté. Il se repencha sur moi une nouvelle fois et nos lèvres se scellèrent. Cette fois, nos langues franchirent cette barrière et jouèrent ensemble, mélangeant nos salives par la même occasion. Florian éloigna ensuite son visage pour plonger son regard dans le mien.
«Jadore ta bouche.»
Et il recommença à membrasser presquaussitôt. Pendant ce temps, je posai mes mains sur chaque côté de son bassin et je pris le commandement des choses concernant les coups de reins que je lui administrais depuis quelques minutes. A ce moment, il gémissait de plus en plus et je nhésitai plus à lenculer franchement. Son visage se posa sur mon torse et il put se prononcer entre deux râles.
«Jadore sentir ta queue dans mon cul, chou. Mon anus est tout dilaté mais cest ça qui est bon.»
Après avoir prononcé ces quelques mots, le voilà qui déposa de nouveaux baisers sur mon cou. Peu après, je sentis que je nallais pas tarder à éjaculer. Je ralentis le rythme et dis à mon compagnon que jallais venir. De suite, il sortit ma verge hors de son cul et se déplaça un peu sur le canapé pour placer son visage au-dessus de ma queue. Très vite, il me la masturba et lorsque je sentis que jallai cracher, je lui fis savoir.
Ce fut un enchantement de sentir mon membre se libérer dans sa bouche humide mais chaleureuse. Comme il me lavait dit plus tôt, Florian se montra très gourmand en avalant chacun de mes jets. Il vérifia par la même occasion si mes couilles étaient bien vides et me suça à fond pour récupérer les dernières gouttes qui tardaient à sortir. Une fois lappareil bien vidangé, il lâcha mon sexe pour sallonger sur moi. De nouveaux baisers furent échangés mais un détail me préoccupait.
- Tu nas pas éjaculé toi ? Lui dis-je.
- Non et ce nest pas grave.
- Tu vas voir si ce nest pas grave. Allez, viens me la mettre dans la bouche quon continue à bien samuser.
Et cest ce quil fit. Cette fellation ne dura pas très longtemps car Florian était encore très excité par ce qui venait de se passer entre nous deux. Son sperme se répandit dans ma bouche très rapidement et tout comme lui, je pris soin de lavaler afin de men régaler lestomac. Une fois ses testicules entièrement soulagées, il retira sa verge pour sallonger confortablement. On sembrassa de longues minutes, comme pour conclure ce magnifique moment sur une touche agréable.
Maintenant, je pouvais lui poser cette question qui me taraudait depuis plusieurs minutes et je souhaite quil se montre franc.
- Dis-moi Florian, ce nest pas la première fois que tu couches avec un mec nest-ce pas ?
- Pourquoi me demandes-tu ça ?
- A cause de la facilité que jai eu à glisser mes doigts dans ton joli petit cul.
- Tu as parfaitement deviné.
- Jen étais sûr. Mon petit frère fait partie de ces chanceux ?
- Ouais et jai limpression que vous êtes tous très doués dans ce domaine.
Il membrassa une dernière fois avant de poser sa tête sur mon torse. Là, je lui caressai les cheveux et je ne fus pas du tout choqué de savoir que mon frère était passé avant moi. Au contraire, cela me fit sourire lorsque Florian me demanda un truc :
- Tu ne regrettes pas ce quon a fait ?
- Bien sûr que non. Et toi ?
- Non, depuis le temps que je voulais le faire. »
Un silence sinstalla avant quil reprenne.
- Je pourrais revenir ?
- Oui, tu sais très bien que tu nas pas besoin de me le demander.
- Et on pourra recommencer ?
- Aussi vite que possible.
Et suite à ce délicieux moment que nous avons passé ensemble, je décidai de le garder à la maison pour quon puisse dormir ensemble.
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