Chéri, Tu Penses Que Je Suis Une Salope ?
"Chéri, tu penses que je suis une salope ?
" Cest en ces termes, qui correspondaient plus à lexpression dune affirmation quà la traduction dun doute, que sexprima ma jolie maîtresse, alors quelle était alanguie sur le lit
En ce début daprès-midi, nous venions de faire lamour dans la chambre de lhôtel habituel sur la zone commerciale à la sortie de Rennes.
Je métonnais de sa remarque :
- " Mais enfin chérie, quest-ce qui te fais dire ça ?!... "
-" Oh, rien de précis
Cest comme ça, lorsque je repense à des choses qui se sont passées il y a quelques années
" Dans la foulée, elle me fit le très joli récit suivant :
" Jétais à lépoque avec mon premier mari, javais 27 28 ans. Nous venions d'emménager dans notre nouvelle maison avant que les travaux ne soient complètement terminés comme cest souvent le cas. Et alors que nous occupions la maison, il y avait de temps en temps des ouvriers qui passaient pour venir faire les finitions de la maison.
Je me souviens, c'était l'été, un matin, Jojo mon mari était en voyage pour son travail ; il était commercial. Je m'apprêtais à aller jouer au tennis
. Jétais en train denfiler un léger polo directement sur la peau, sans soutien gorge pour être plus à laise, un mini slip blanc, et la jupette blanche de tennis, quand le téléphone sonna... Je décrochai du poste de la chambre.
J'eus l'agréable surprise d'entendre Jojo, qui ayant du temps devant lui, en profitait pour m'appeler. Très vite il me dit qu'il avait très envie que nous nous caressions ensemble, là maintenant, au téléphone... Je fus dabord décontenancée, puis, plutôt très excitée par ses paroles
Dans le fond cela mamusait et je me disais que je préférais qu'il se soulage ainsi avec moi plutôt qu'en me trompant avec une autre ! Aussi jentrais bien vite dans le jeu. Je commençais à me caresser les seins à travers mon polo, puis assez rapidement, ma main libre se posa sur mon slip pour aller plus bas.
- " Déshabille-toi
, me dit-il. Mets-toi nue, chérie
Je veux te savoir à poil ; je t'imagine et cest encore plus fort pour moi !"
Je fis ce qu'il me demandait et envoyai mon slip à l'autre bout de la pièce, puis me réinstallai sur le lit, allongée sur le dos, les jambes écartées, le combiné coincé sur mon épaule, les deux mains à hauteur de ma petite chatte, écartant les lèvres, titillant mon clito pour le faire saillir, je commençais à sérieusement méchauffer quand soudain... La sonnette ! On sonne à la porte.
-" Qu'est ce que c'est ?" me demanda mon mari à l'autre bout du fil
-" Je ne sais pas, c'est à la porte, je vais voir..."
-" Oui, fais vite... Vas voir et reviens vite, chérie. J'attends..."
Sans prendre le temps de remettre mon slip, je descendis en catastrophe pour aller voir qui cela pouvait être, vêtue seulement de mon polo et de ma jupette blanche.
Jentrouvris la porte et passais la tête pour voir qui pouvait venir à cette heure de la matinée. Un homme de forte carrure sencadrait dans la porte.
- " Bonjour madame, nous sommes venus prendre les dimensions de la pièce pour la moquette que nous devons venir vous poser en fin de semaine. Cest bien ici ? "
- " Ah oui, cest vrai
je n'y pensais plus !... Oui, cest ici, cest la pièce là
, fis-je en leur montrant le salon. Je vous laisse, je suis occupée au premier
"
- " Ne vous en faites pas, nous allons nous débrouiller tout seuls
Ce sera vite fait
Et ne vous dérangez pas, en partant nous fermerons la porte derrière nous, ne vous inquiétez pas !..."
Bien évidemment, ça m'arrangeait... Très vite je remontais dans la chambre du premier pour rejoindre mon mari au téléphone.
- " C'était qui ? " me demanda-t-il
- " Les types pour la moquette, ils sont venus pour prendre les dimensions. J'avais complètement oublié qu'ils devaient venir aujourd'hui..."
- " Pourquoi "Ils" ?.... Ils sont plusieurs ?.
- " Oui, ils sont trois... "
- " Hein ?!, continua-t-il surpris. Trois pour prendre des mesures ! Ca va pas ?! "
- " Oui, chérie, et ils viendront à dix pour la poser ", dis-je en plaisant.
- " Tu avais remis ton slip ? " me demanda t-il.
- " Euh
Euh
, non, fis-je surprise moi-même de ne lavoir pas fait. Je n'ai pas eu le temps "
- " Quoi ?!... Ne me dis pas que tu es allé leur ouvrir le cul nu ?... "
- " Oui, mais
Cest que
Je ne pouvais pas faire autrement..."
- " Et ca t'excite d'être allée ouvrir à ces hommes, la chatte à l'air ?... Je vois ça !...", me dit-il. Sans doute très excité par cette situation imprévue
- " Et ils ont vu que tu avais le cul à l'air ?..."
- " Non, tu penses ! Ils ne pouvaient pas le voir,... mais..." Jhésitais un instant.
- " Quoi ?... Quest-ce quil y a ?..." demanda t-il d'une voix impatiente.
- " Je ne sais pas trop mon chéri
je me rends compte maintenant que le plus vieux des trois regardait fixement ma poitrine, il a du voir que je n'avais pas de soutien gorge sous mon polo."
- " Ah bon, fit-il avec une légère inquiétude dans la voix
Et quand tu as monté lescalier, tu ne crois pas qu'ils en ont profité pour essayer de regarder tes jambes et voir sous ta jupette ? "
- " Non, répondis-je, ils étaient certainement déjà entrés dans le salon quand j'ai commencé à monter l'escalier
"
- " Mais tu n'en es pas sûre ! " me dit-il. Je le savais aussi inquiet quexcité. Il insista :
- " Ils ont certainement vu tes fesses, tu sais que ta jupe de tennis est très courte !..."
- " Non, tu exagères ; je ne crois pas !" lui dis-je, faussement indignée, mais je dois reconnaître quen moi-même, d'imaginer que ce qu'il me disait ait pu avoir lieu, m'excitait évidemment beaucoup. Il reprit :
- " Tu te caresses en ce moment, chérie ? "
- " Oui, bien sûr, mon amour
J'ai mis le haut parleur pour mieux t'entendre. J'aimes quand tu me parles et que je me caresse.
- " La porte de la chambre est fermée ?... Mets-toi toute nue, chérie
Complètement !... Et maintenant tu te mets à plat ventre sur le lit, relève bien tes fesses, et imagine-toi que je suis derrière toi et que je te regarde
Là comme ça, ma chérie
Caresse-toi, les mains entre tes fesses
Branle-toi bien la chatte."
- " Oh oui, chéri
J'aime, tu te branles aussi, mon amour ?..."
- " Oh oui, oh lala, je bande pour toi..." dit-il d'une voix fiévreuse. Maintenant imagine, chérie, sils montaient et te voyaient dans cette tenue, fesses écartées, chatte béante en train de te caresser... Cela texcite chérie ?... "
- " Oh, oui !!... Mais ils me viendront pas !" lui dis-je. Cependant cette idée extravagante mexcitait beaucoup
Et lui aussi sans doute ! Et pour l'exciter plus encore, j'entrai un peu plus dans le jeu et je lui dis :
- " Chéri, ils sont là
Tu veux que je te les décrive ?... Ils sont trois. Il y en a un vieux, un beau mec bien baraqué et un autre qui m'a plutôt l'air d'un beau gigolo qu'un poseur de moquette."
- " Fermes les yeux, et imagine qu'ils sont là, ils te regardent en train de te caresser... Maintenant, entre tes doigts dans ta chatte
Montre-leur comme tu es large et bien ouverte
Fais-leur voir que tu aimes sentir un gros morceau se frayer un passage dans ta chatte de salope !... Hein, chérie, cest super, tu t'imagines leur tête ? "
- " Oh oui, chéri
Ils sont là
Ils me regardent me branler..." répondis-je, terriblement excitée.
Et là, je me lâchais. A quatre pattes , presque à plat vente, je me caressais la chatte de plus en plus fortement pour me faire jouir. Et jinsistais pour aller plus vite, me doutant que ce moment ne serait pas éternel et que mon mari ne pourrait rester éternellement au téléphone.
-" Tu aimes hein, ca t'excite... Ils se rapprochent de toi
Ils t'entourent
Relève le buste pour leur montrer tes seins de salope.
Je fis ce qu'il me disait, et là, relevant la tête, et ouvrant les yeux je vis, horrifiée, les trois hommes autour de moi, silencieux et avec un sourire vicieux aux lèvres...
Une main s'appliqua sur ma bouche pour m'empêcher de crier. Le plus vieux me fit immédiatement signe de relever le buste. Dabord interdite et morte de peur, je me rendis vite compte quils ne voulaient pas de mal. Bien au contraire !... Juste à côté de ma tête jentendis le zip dune fermeture éclair. Mon regard glissa vers le bruit. Lun des hommes ouvrait sa braguette à 5 cm de mon visage... Le vieux me prenant sous les hanches me retourna sur le lit. Jétais livrée dans ma nudité à leurs regards concupiscents. Jétais à la fois effrayée et très excitée.
- " Que ce passe t-il ? " demanda mon mari à l'autre bout du fil, tu es toujours là ? Tu es déjà entrain de jouir ma salope
Allo !... Allo ? ".
Il me fallait répondre
Lhomme qui me bâillonnait retira lentement sa main de ma bouche et me signe de me taire sur ce qui se passait là
- " Allo !... Allo ? ". entendait-on dans le haut-parleur. Je m'entendis dire :
- " Oui, ils sont là chéri, ils m'entourent
Ils veulent voir mes seins."
- " Super ma chérie, je vois que cela texcite aussi
Fais ce quils souhaitent !... " Tout se passait désormais par gestes
Le vieux me fit signe décarter les cuisses pour quils me voient bien. Javais la chatte trempée
mon mari reprit :
- " Mets toi à quatre pattes, ouvre la bouche, et imagine-toi dans quel état ils sont, ils vont se déshabiller, et te caresser partout, tu vas avoir six mains pour ton joli corps de petite salope..."
Comme javais mis le haut parleur du téléphone, ils entendaient tout, et ainsi ils me faisaient faire à la lettre ce que disait mon mari... Très vite je sentis les caresses avides des hommes qui se précisaient sous les directives de mon mari. Lui, ne se doutait de rien et croyait jouer seul avec moi.
- " Oh non, pas tous ensemble, non !... Arrêtez, je vous en prie
pas le doigt là
Pas dedans !... Noooon !!... ", m'exclamais-je avec une certaine roublardise.
- " Tu aimes hein, petite pute, hein ! Ils sont partout, ils t'ouvrent les lèvres, ils te caressent la chatte."
- " Oh, ils m'écartent les fesses, ils me
Ils me caressent l'anus
Oh, j'ai honte, chéri, je ne veux pas, noooonnn... Pas là, pas dans le trou
Noooonn !!... Pitié !!..."
- " Oui, continue, dis-moi ce qu'ils te font, branle-toi bien ton petit chat."
- " Ils sont en train de se déshabiller, oh non, non, je ne veux pas, dis leur de partir !... Oh les salauds !!... Ils sont nus
Et ils sont monstrueux, ils ont de ces bites !... Des bites énormes, chéri !!... Noooon ! " Il est vrai que lun deux le plus jeune, enfin le beau gigolo, était monté comme un âne ! Le plus vieux avait des couilles énormes et pendantes. Je ne pouvais en détacher mon regard tant jétais impressionnée
- " Oui chérie, j'aime quand tu parles comme cela
Continue ma salope ! Elles sont très grosses leurs bites ?... Tu voudrais quelles te baisent, hein ma cochonne ?!... Ca t'excite ? Ca te plaît hein, petite pute !... Tu vas les branler, maintenant
Dis, ils sont autour de toi ?... Oui ? Alors branle-les, leurs grosses bites ?"
- " Oui, ils sont là, ils veulent que je les prenne en main, ils se caressent sur mon visage !"
- " Mets toi sur le dos, tu en branleras un de chaque coté de ton visage, et le troisième vas se branler entre tes nichons ! Je sais que aimes ça, ma jolie coquine
"
Docilement, je me mis sur le dos, la tête au bord du lit. Les trois salauds, sans bruits se mirent aussitôt comme lavait dit Jojo : un monta sur moi à califourchon et mit sa grosse queue bien au chaud entre mes seins ; les deux autres de chaque coté de ma tête, avec leur bite bien raide au-dessus de mon visage. Vicieusement, j'empoignai ces deux beaux membres qui métaient offert et je me mis à les lécher et les branler en cadence pendant que le troisième empoignant à pleine mains mes nichons, y faisait aller et venir sa pine au milieu de ma poitrine...
-" Fais bien tout comme sils étaient là ma chérie, hein !... J'aimerais t'entendre les sucer."
Ce ne me fut pas difficile de le satisfaire. Je les suçais, à fond, avec une avidité qui m'étonnait moi-même. Jojo aurait eu du mal de ne pas entendre !... J'y prenais un malin plaisir, les avalant puis les branlant, essayant à tout prix de les faire gémir, mais ceux-ci pris au jeu, faisaient des efforts pour ne rien dire, pour ne pas gémir et pour ne pas trahir leur présence auprès de mon mari qui assistait ainsi à son propre cocufiage sans même s'en douter !...
- " Oui, me disait-il, je sais que tu aimes ça hein, les sucer bien à fond
Et lautre que fait-il ? Il se branle entre tes seins ?... Nest-ce pas que tu amies ça, coquine ?! "...
- " Oh, oui chéri ! ", je lui répondais la bouche pleine
- " Maintenant, ma petite salope, ils vont te prendre par tous tes trous."
- " Non, je ne veux pas, chéri !... Ils sont trop gros, ils vont me déchirer. Ils ont de si grosses bites ! Oh chéri, si tu les voyais !..."
- " Ah oui, si seulement je les voyais
, soupira t-il. Mais non, allez, installe-toi sur le premier, prends sa bite, enfonce-là toi bien à fond dans ta chatte
Tu aimes hein, te faire pénétrer par une grosse queue bien raide !..."
Usant de mille précautions pour ne pas trahir leur présence, le premier s'installa sur le lit, la verge dressée, et me fit signe de l'enjamber. Il me regarda m'enfoncer sur son gros pieu dressé. Il avait les yeux fixés sur ma chatte humide et chaude, heureux de pouvoir baiser une bourgeoise et de voir sa grosse bite dressée s'enfoncer dans le con d'une femme "bien", d'une femme mariée plutôt jolie, et jeune, la femme d'un patron, d'un "riche", quoi !...
Le plus vieux s'approcha alors de ma bouche pour se faire sucer... Il avait une bite massive, courte et épaisse, difforme aussi avec le gland énorme et tout cabossé. Il sentait fort le vieux mâle et lurine
Le sucer ne m'enchantait pas vraiment, mais je préférais ça, plutôt que de me faire enculer par ce vieux dégoûtant... Je l'avalais donc, sinon avec gourmandise, du moins avec résignation. Je navais pas trop le choix, au vu des circonstances. Cependant, je dois avouer, malgré mon amour propre, qu'après quelques va-et-vient de sa bite dans ma bouche, je me mis à le sucer avec la même avidité que les autres...
Lautre type sous mes cuisses écartées, me baisait de la plus belle façon. Putain que cétait bon ! Cela me changeait de mon Jojo
Il avait une bite bien longue et bien grosse qui senfonçait loin dans ma matrice, butant et tamponnant au fond à chaque fois que je menfilais dessus
Je sentais que ma mouille coulait abondamment de mon con ouvert et . Je pouvais apercevoir entre mes jambes mon jus couler sur la racine de sa bite et sur ses couilles.
Bientôt le vieux sortit son gros sexe d'entre mes lèvres et me contourna pour venir se placer derrière moi. Mon intuition ne m'avait pas trompée. Sans ménagement, prenant appuis sur mes reins, il s'accroupit derrière moi tout en me faisant basculer en avant et je sentis son gros gland difforme venir appuyer doucement mais fermement sur ma rosette.
- " Non, je ne veux pas, il est trop gros, il va me faire mal ! Chéri, dis-lui de ne pas me forcer le petit trou comme ça !..."
- " Si, si, ma chérie, continue !, me suppliait mon mari qui de toute évidence était en train de s'astiquer énergiquement. J'aime t'entendre
Je me branle en imaginant un gros gland en train de senfoncer ton joli petit cul !... Là, oh, cest extra !... Je m'imagine que tu te fais enculer devant moi."
- " Aaahhh !...Nnoonnn ! Non, il est trop gros, il va me défoncer
Me déchirer le cul ! Oohh!!!...... Oh, jamais je n'aurais cru cela possible
Il est entré
, il est en moi, chéri
Je le sens dans mon cul, il se frotte contre l'autre devant... Ooohhh !, comme il est gros le salaud ! Huuummm... C'est bon !..."
- " Tu vois ! Tu aimes hein ?!... Tu te fais prendre par deux bites, c'est meilleur que ma bite et ton gode, non ?... Dis, chérie ?"
Les trois comparses s'étaient regardés, étonnés de cette révélation : ainsi la salope que j'étais, avait un gode !... Pour pouvoir répondre à mon mari, je repoussais doucement la bite du troisième gars qui debout sur le lit en face de moi, sétait enfoncé dautorité dans ma bouche :
- " Oh, oui, chéri
Ils sont plus gros, je les sens bien ... Oh lala ! "
- " Maintenant tu vas sucer le troisième, j'aimerais t'entendre l'avaler et le sucer bien à fond. On va jouir ensemble, tu veux !?"
- " Oui, il est là, devant ma bouche
, mmumm, mmuunnn !..."
- " Oui, j'aime t'entendre... Tu sais y faire, salope !... On dirait que tu le suces vraiment !"
La suite ne fut plus qu'une succession de gémissements et de succions, les trois gars s'en donnaient à cur joie (si toutefois le cur à quelque chose à voir là dedans...). Sentant la jouissance proche, je sortis la verge de ma bouche pour me laisser aller à mes gémissements de plaisirs. Ma main continuait à le branler, dirigeant sa verge vers ma bouche ouverte
- " Ooouuiii , c'est bon, je vais jouiiiirrrr !!
- " Oh oui, j'adore t'entendre jouir
Moi aussi je vais jouir, ça viens, Ah salope, je jouiiis !!!"
- " Oui, chéri viens, je veux ton sperme dans ma bouche, je sors ma langue
" Joignant le geste à la parole, je me mis à branler la bite du type comme une forcenée pour la faire jouir sur moi, sur ma langue sortie et sur mon visage...
- " Oui, oui, viens, je te veux !..."
Le type déchargea sur moi, minondant de son foutre chaud. Jen avais partout : la bouche, le visage, le cou, les seins
Devant un tel déluge, je partis moi aussi en vrille et je déchargeais sur les bites de mes deux fouteurs.
- " Oh oui, je jouis !.... Ooouuiii !!!... Oh c'est bon, et toi, tu jouis, chéri ?..."
- " Oui... Oh, c'était extra... formidable !..."
Le premier à lâcher sa purée dans linstant qui suivi, fut le vieux qui me déchargea sa liqueur brûlante dans les entrailles. Lautre en dessous suivit de près et minonda le con avec plusieurs jets de sperme qui me mirent lintérieur en surpression
Puis les trois bites sortirent lentement de tous mes trous en se ramollissant doucement. Jétais remplie, comblée et rompue
Jentendis de nouveau Jojo qui se manifestait au téléphone :
- " Chérie ?... Chérie ?... Au fait, les ouvriers, sont-ils partis ?...
- " Oui, mon amour, ils sont partis
", lui avouai-je, éreintée.
- " Tu es sûre ?... Parce que tu as joui si fort, qu'ils auraient tout entendu... Ca hurlait si fort dans le téléphone !..."
- " Non, chéri, sois tranquille. Jai entendu la porte se refermer derrière eux
Ils ont dit qu'ils reviendraient mercredi prochain pour poser la moquette
"
Je l'embrassai, par téléphone interposé, et raccrochai le combiné.
Pendant ce temps, les trois types se rhabillaient devant moi... "
Après ce récit, jétais dans un tel état et elle mavait tellement excité par son histoire que je lai sucée et baisée à fond pendant le reste de laprès-midi, en me disant :
" Alors oui, pour faire un truc comme ça, il faut vraiment être une salope ! "
Et cest sûr, elle létait !
Mais quoi, je nallais pas men plaindre, non ?!
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