Les Origines De La Saga Des Esclaves Au Château... (Épisode 181)

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --


Année 1785 - Une cérémonie, une annonce et un châtiment... - (suite de l'épisode N°178)-

L'église avait été richement pavoisée, ornée de bouquets fleurs blanches pour lesquelles, en plein hiver, Le Marquis d'Evans n'avait pas regardé à la dépense. Un grand ‘’Trois Mats’’ venant des Nouvelles Amériques du Sud avait livré cette cargaison de fleurs exotiques, jusqu’au port de la Rochelle. Le trajet de plusieurs jours en carrosse fut des plus sécurisés de la côte océanienne jusqu’aux Terres des Evans. Ce jour de janvier 1785 se devait d'être exceptionnel. Parce qu'il marquait la fin des auditions de con-fesse par l'abbé et qu'il s'agissait maintenant d'établir le bilan des entretiens, mais surtout parce que le Seigneur de la contrée avait prévenu qu'il profiterait de l'occasion pour faire une annonce de toute première importance. Dès le petit matin, des esclaves étaient venus au village, portant de nombreux paniers de fleurs, mis à leur disposition, afin de mettre en place l'ornementation des lieux.

Car si l'église avait fait l'objet d'une décoration particulièrement riche, c'est tout le centre du village qui avait profité des largesses Du Seigneur. Revêtus de leurs plus beaux atours, tous les villageois s'étaient donc rendus en l'édifice religieux, prenant place sur les bancs des travées, tandis que tous les esclaves Du Domaine se tenaient agenouillés au coeur de la nef, depuis la double-porte d'entrée jusqu'au transept. Les femelles d'une part, les mâles de l'autre. Au delà de l'autel, au centre du choeur, une grande croix de Saint-André avait été dressée, sur laquelle l'esclave émeline était nue et écartelée offerte aux regards curieux et impressionnés de tous. Le Marquis d'Evans et Son ami de Sade avaient pris place dans l'abside où deux confortables fauteuils avaient été transportés depuis le Château. Tout le bâtiment bruissait de conversations chuchotées, seule la masse servile des esclaves demeurant silencieuse, sous la surveillance d'un garde muni pour l'occasion d'une long et brillant fouet tressé de cuir noir qu'il laissait traîner un peu à sa suite, effleurant parfois les chairs pâles et nues des esclaves agenouillés nus, tête baissée, privés de toute ornementation, même pas leurs colliers qui pour l'occasion avaient été ôtés de leurs cous.

- "Quelle belle solennité que celle qui règne ici !" s'exclamait Le Marquis de Sade
- "C'est que le moment est... important, mon Cher Ami. J'ai gardé même envers vous le secret de ce que j'ai aujourd'hui à révéler à mes paysans, mes manants et mes esclaves..." rétorqua, avec un sourire des plus courtois à son vieil ami, Le Marquis d’Evans ...

Sur un geste de Ce Dernier, l'abbé alla glisser un ordre à l'oreille d'un garde qui se rendit jusqu'au clocher, afin de faire retentir les cloches et d'appeler les ouailles à l'attention et au recueillement. Lorsqu'en fin le silence tomba sur na vaste nef, l'abbé s'avança :

- "Bonnes gens Du Domaine, soyez les bienvenus en ce jour de janvier ! Comme il est de tradition, vous allez assister à la procession des esclaves de Notre Bien Aimé Seigneur et Maître des Terres d’Evans. Et vous saurez lesquels seront livrés à la vindicte populaire ! Mais en ce jour exceptionnel, sachez que votre Noble Seigneur, Le Marquis d'Evans a une annonce à vous faire. Levez-vous et écoutez !"

Comme un seul "homme", toute la populace regroupée sur les bancs se leva, dans un brouhaha de banquettes entrechoquées. Mais dès que tous furent debout, le silence retomba net et respectueux. Le Marquis put alors s'avancer jusque devant l'autel. Silencieux, Il contemplait l'église bondée, le peuple endimanché, les esclaves nus emplissant l'allée centrale de la nef, symboles de Sa Toute Puissance sur Ses Terres, totalement dévouées à Sa Famille depuis des siècles. Le Marquis savourait cette image, Ses gens tous réunis, les uns respectueusement debout osant à peine Le regarder, les autres servilement agenouillés et les yeux rivés vers le sol en signe de totale soumission... Il n'oubliait pas dans ce savoureux tableau, l'esclave émeline ‘’crucifiée’’ derrière Lui, offerte dans la plus totale nudité, l'exhibition la plus avilissante, la plus obscène, jambes bien écartelées montrant à tous un large sexe épilé et bien ouvert...

Oui, Le Seigneur Marquis d'Evans savourait cet instant, mais celui-ci n'était pas encore tout à fait complet. Pour que le tableau fut parfait, il manquait une pièce au tableau. Aussi frappa-t-il dans Ses mains à trois reprises, les claquements résonnant bruyamment dans le vaste espace silencieux... Une porte grinça alors et, du côté du transept apparut une silhouette évanescente… .Une femme, belle, très belle, comme ses formes ni sa tenue ne pouvaient le cacher avançait lentement... Cette splendide silhouette était toute de dentelle blanche vêtue... Une dentelle fort transparente laissait deviner les formes ondulantes de la créature de rêve qui s'avançait... Le Marquis appréciait le travail effectué par les quatre dentellières qui étaient venues spécialement de Bruxelles, afin de Lui livrer cette luxueuse dentelle particulièrement onéreuse et de confectionner cette robe aussi élégante qu'indécente. Un voile de tulle couvrait sans le dissimuler le visage de l'esclave laëtitia qui venait à Lui dans un déhanché à faire damner tous les Saints, si ceux-ci avaient osé franchir le pas de cet édifice dont la vocation religieuse avait désormais un sens tout à fait particulier...

Tous dans l'assemblée semblaient suffoqués par la beauté presque fantomatique de cette apparition. la robe de soie toute de blanche dentelle épousait au plus près les courbes de la femelle, ne s'évasant que fort tard, bien au-dessous des genoux, pour former une parure et se terminant en une longue traîne... laëtitia vint ainsi jusqu'à son Maître et dans une révérence, s'inclina respectueusement devant Lui, posant un genoux au sol... Il la regarda un instant, ainsi humblement positionnée à Ses Pieds, puis Son Regard revint vers le public. Ce n'est qu'alors qu'Il prit la parole d’une voix forte, puissante et solennelle, qui résonnait jusqu’au fond de l’édifice sans qu’il n’eut besoin de hurler, tant l’acoustique était parfaitement étudiée :

- "Moi, Marquis Charles-Alexandre d'Evans, Seigneur de Ce Domaine, Maître de Ces Terres et de ces gens, j'ai une annonce de la plus haute importance à faire ! Il est grand temps, pour Moi, de donner un héritier afin que perdure Le Noble Nom d'Evans. Ma Noble Descendance doit être assurée. Je ne saurai choisir épouse qui ne soit digne de Mon Nom et qui ne mérite d'être la plus désirable des Femmes ! Aussi ai-je choisi Ma belle et fidèle Laëtitia qui deviendra donc La Marquise Laëtitia d’Evans. Elle aura l’honneur de porter Mon Nom, Mon titre… et Mon héritier, si Dieu (il leva la tête devant le Christ de l’autel et le fixa des yeux) veut bien me l’accorder. Oui Ô Seigneur Jésus, daignez rendre féconde ma bien-aimée… Je vous le demande par Ma Prière, ici dans Votre Sainte Maison, devant tous Mes sujets qui sont aussi les Vôtres"

Puis, Il Se Tourna et pencha vers Laëtitia et lui saisissant la main, la fit se relever et faire face à la foule... Puis Il enleva lentement le voile de tulle afin de révéler à tous, le visage de celle qui serait bientôt Son épouse légitime ... Nul ne bronchait, observant avec admiration l’angélique visage et la plastique parfaite de la future Marquise... Mais ils furent cependant fort surpris lorsque, dégrafant lentement les minuscules boutons de nacre qui garnissaient tout le dos de la robe... Lorsqu'Il eut terminé, il fit glisser la dentelle sur les épaules de l'esclave et révéla à tous son buste ferme aux tétons maquillés pour l'occasion et fit lentement descendre la robe le long de son corps, jusqu'à ce qu'elle s'étale comme une vaste corolle aux pieds d'une laëtitia désormais nue. Le Marquis fit un geste du bras et une servante s'avança vers Lui afin de Lui donner une splendide rose blanche, fort incongrue en cette froide saison... Le Marquis s'en saisit et la tendit à laëtitia qui la prit, sentit son doux parfum et la tint ensuite devant elle, la base de la queue devant sa fente intime, les pétales venant orner le pli entre ses seins...

- "Elle sera Mon épouse (poursuivit Le Marquis) et tous lui devront respect ... Mais elle demeure également mon esclave et par cet acte, je serai plus que jamais son Seigneur et Maître. Il était bon que cela se sût. C'est chose faite, que la cérémonie se poursuive !" lança Le Marquis.

Il sourit à sa future tout en regagnant son fauteuil, suivi de laëtitia qui abandonnait là les riches dentelles de sa robe qu'une servante vint débarrasser. Le Marquis de Sade regardait son ami, interloqué...

- "Eh bien ! ... je ne sais que Vous dire, mon Ami ... "
- "Surpris ?" sourit Le Marquis d'Evans
- "Le mot est bien faible ! Abasourdi serait plus juste ! Mais à contempler à nouveau cette délicieuse esclave, comme-je Vous comprends ! Si Dieu le veut, elle vous donnera un bel héritier …"
- "D'autant qu'elle est de noble naissance et sera à sa place. Il était temps que Je pense à Ma Lignée ! Afin que perdure par ma Descendance, mon Art de vivre… D’ailleurs, je me demande si dans 200 ans, un de mes Descendants continuera tout cela !" Dit-il rêveur en hochant la tête tout en y réfléchissant... (NDLA : Oui 200 ans après, c’est bien le cas : Lire la Saga … !)

La cérémonie pouvait donc commencer. Le peuple était assis et, un à un, les esclaves s'avançaient à quatre pattes jusqu'à l'autel. Là, l'abbé énonçait les fautes et les pénitences endurées par chacune et chacun. Puis, il accordait le Pardon au nom Du Marquis et refermait le collier d'esclave au cou de celle ou celui qui se tenait à ses pieds et pouvait alors regagner sa place, toujours à quatre pattes en signe de total asservissement. Un à un, telle une communion, les esclaves venaient ainsi recevoir le collier qui signifiait que leur Seigneur et Maître consentait à les garder pour une année encore à Son service. Mais pour cinq d'entre eux, il n'en alla cependant pas ainsi. trois femelles et deux mâles,dont l'abbé dénonça le manque de repentance et le mauvais esprit. Ceux-là ne furent pas renvoyée dans la travée centrale, mais restèrent agenouillés près de l'autel, tournant le dos à la nef. Lorsque tous eurent obtenu leur collier, l'abbé fit revenir les cinq devant l'assemblée. D'un geste, il fit signe à un garde de s'approcher et celui-ci vint, tenant à la main un long ciseau et une lame fine et très aiguisée (l’ancêtre du rasoir).

- "Fais ton office" dit le prêtre.

L'homme s'approcha du premier esclave et entreprit de couper ses cheveux. Les mèches tombaient vers le sol en un lent ballet... Puis vint le tour de l'esclave voisine. Les belles boucles blondes jonchèrent rapidement le sol autour d'elle qui en silence sanglotait. Dans le plus lourd silence, les cinq esclaves fautifs furent ainsi entièrement rasés, tout le sol désormais couvert de leurs cheveux. Puis, un autre garde vint lier leurs mains dans le dos tandis que l'abbé reprenait la parole

- "Comme le veut la tradition de Cette Contrée, les esclaves fautifs sont exclus du cheptel de leur Seigneur pour le temps qu'il faudra à leurs cheveux afin de repousser jusqu'aux épaules ! Ils vont être lâchés nus et entravés dans le village et pour le temps qui vient, chacun ici pourra user de leurs orifices, pour tout ce qu'il lui plaira. Mais pour un jour à la fois seulement, afin que tous puissent en bénéficier. Il n'est rien qu'ils puissent refuser, nulle tâche à laquelle ils puissent se soustraire. Si toutefois, tel était le cas, que le fautif soit ramené au Château où sera alors prononcée une sentence définitive !"

Le Marquis d'Evans se leva alors, marquant ainsi la fin de la cérémonie. Avec laëtitia, entièrement nue, marchant à Son côté droit et Le Marquis de Sade à Sa gauche, il rejoignait lentement la double-porte entre les esclaves mâles et femelles Lui formant comme une haie d'honneur... Et c'est ainsi qu'Il rejoignit Son carrosse qui l'attendait, dans lequel il monta en compagnie de Sade et laëtitia, afin de regagner Le Château. A Sa suite, les esclaves furent menés vers l'extérieur sous le claquement des fouets des gardes. Toujours alignés et la tête basse, ils avançaient d'un pas rapide, pressés de gravir le chemin qui les ramenait vers Le Château où les attendait une douce chaleur et les tâches serviles qui composaient leur quotidien. Heureux d'avoir échappé au châtiment que devraient subir durant de longs mois les cinq punis.

Justement, tandis que la foule se dispersait lentement sur la place du village, les cinq esclaves privés de collier furent expulsés hors de l'église. Les mains entravées, un collier d'acier sans marque ni signe distinctif autour du cou, ils furent ainsi jetés nus sur le parvis... A peine étaient-ils ainsi "livrés" qu'une foule vint se former autour d'eux... Tels du bétail à la foire agricole, des mains venaient palper leurs croupes, soupeser les seins des femelles, écarter leurs lèvres et juger la qualité de leurs dentitions... Une vieille femme s'approcha de l'un des deux mâles et sans hésitation ni gêne, lui saisit à pleine main les couilles et la queue ! Autour, tous s'amusèrent bruyamment du visage cramoisi de l'esclave tandis que la vieille soupesait le paquet et, s'en disant satisfaite, l'entraîna en pressant fortement sur l'ensemble afin de le forcer à la suivre.

- "Allons mon, garçon, viens donc ! Il était temps qu'une langue agile vint nettoyer mon con !"

Dans le même temps, les trois femelles faisaient l'objet de bien des attentions. Les femmes mariées avaient entraîné au plus vite leurs époux vers le domicile, pour les éloigner des créatures. Mais tous les célibataires des environs étaient bien là. Et tous s'intéressaient à celles qui, pour un long temps, allaient devenir de dociles servantes pour leurs désirs les plus pervers. Deux d'entre elles étaient plutôt mignonnes, même si la façon malhabile dont elles avaient eu le crâne rasé atténuait quelque peu leurs charmes... Déjà en groupe s'était saisi de celle qui avait été blonde et l'entraînait. une grange proche allait sans nul doute abriter de nombreuses et savoureuses saillies... L'autre, qui sans doute avait été châtain, si l'on en croyait quelques touffes de cheveux encore présentes, avait été saisie au collier par l'aubergiste qui la menait déjà vers son établissement. Ce soir, elle constiait un divertissement original qui devrait attirer de nombreux clients. Même si dès le lendemain, l'aubergiste devrait la relâcher afin que d'autres puisse en user, voire r... Mais pour ce soir, il allait lui inculquer quelques préceptes qui lui assureraient succès et pièces sonnantes et trébuchantes. La troisième, plus âgée que ses consoeurs, avait cependant déjà trouvé preneur. Un couple s'était immédiatement emparé d'elle, car ils la destinaient à leur fils, quelque peu attardé et qui n'avait jamais connu les plaisirs de la chair. Cette femelle, mûre et sans doute expérimentée serait une première expérience parfaite se disaient les parents qui avaient hâte de voir leur fils heureux de ce cadeau si peu onéreux. Car fort pauvres, ils n'avaient pu, jusque là, le mener au bordel à la ville de Lyon et cette esclave leur ferait parfaitement l'usage !

Enfin, discrètement, deux gardes avaient entraîné avec eux le deuxième mâle. Un jeune homme fluet qu'ils avaient choisi dès le début de la cérémonie afin de le plier à leurs jeux préférés. à travers bois, ils l'avaient ainsi conduit jusqu'à une cabane, dans laquelle étaient conservés des vêtements de femmes. C'était de vieilles vêtures dont on avait plus l'usage au Château et que, parfois, ces deux gardes récupéraient. Ils aimaient ensuite en revêtir un jeune mâle dont ils usaient pour leurs plaisirs. Ainsi, pour la fin de cette journée et pour la nuit qui suivrait, l'esclave fut revêtu de vieilles soieries et puis troussé à maintes reprises, les deux gardes prenant son cul l'un après l'autre et puis forçant sa bouche aux lèvres tendres à les sucer longuement avant que, par pure perversité accrue, ils ne l'enculent encore et encore ! Ainsi, les premières heures des cinq esclaves punis donnaient à celles-ci et ceux-là un avant-goût de ce qu'ils auraient à subir durant les mois à venir, jusqu'à ce que leurs cheveux aient assez repoussé pour qu'ils soient à nouveau conduits devant Le Marquis, qui déciderait alors de leur sort....

Dans l'église, nul ne s'était plus soucié d'émeline. L'esclave était toujours exposée sur la grande croix de Saint-André et l'abbé, assis au premier rang des bancs la contemplait. Le jour couchant laissait passer au travers des vitraux une lumière diffuse qui nimbait l'esclave crucifiée d'une aura presque mystique... Le prêtre savourait en silence ce délicieux spectacle. Et l'esclave exhibée, subissait humblement cette exhibition, et la pénétration qui en suivit par le volumineux sexe de l’ecclésiastique qui n’y tenant plus, venait se soulager en de grands coups de bites dans cette chatte béante. émeline se faisant baiser sans bouger, était heureuse de savoir que dès le lendemain elle retrouverait son Maître en Son Château...

(à suivre)