Soumission Soft À Mon Amour (Épisode 2) : Vidéo Coquine
Seule à la maison, une fois mon ménage terminé, je mennuyais ferme. Pour couronner le tout, il pleuvait sans arrêt depuis le matin, de quoi réduire à néant une éventuelle envie de faire une promenade dans la campagne. Il me tardait que mon homme rentre et jespérais quil me fasse une de ses visites « sexuelles » surprise (cf. épisode 1). Je métais maquillée et habillée décontractée mais sexy comme il aimait : shorty en lycra moulant ras-les-fesses sans rien dessous et débardeur à fines bretelles, dentelle sur le décolleté, qui baillait sur mon balconnet en satin pigeonnant. Il était déjà 15 heures, il fallait que je me rende à lévidence, cétait déjà trop tard pour quil fasse un saut avant la sortie du bureau. Il restait quelques cartons du déménagement que nous navions pas encore déballés. Jen vis un pas trop grand ni trop lourd annoté « salon ». Jentrepris de le vider. Il était plein de cassettes VHS (on nétait pas encore au temps des dvd). Certaines vidéos étaient des films connus mais dans le fond du carton, je dénichais quelques films X. Jexaminais les photos sur les jaquette, je lu les résumés, fis une liste mentale de ceux quil me plairait de visionner un de ces jours avec mon amour et rangeais le tout dans la partie fermée de la bibliothèque. Je classais les autres films par ordre alphabétique dans les étagères. Il me restait les films « faits maison » libellés à la main « anniversaire de A. au karting» ou « course à pied telle date » par exemple et encore les programmes enregistrés de la TV. Je les déposais à leur tour sur une autre étagère. Il ne restait alors au fond quune cassette sans aucun libellé. Curieuse de nature, jentrepris de la visionner et la glissait dans le magnétoscope.
Dès les premières images, je constatais quil sagissait encore dun film « maison », filmé au caméscope. On y voyait mon Amour, avec ses meilleurs potes : Sylvain et Marc ainsi que Corinne, la femme de Marc. Marc et Sylvain sont athlétiques : grands, musclés, lun aussi brun que lautre est blond.
Sur le film on voyait mon Amour, Sylvain et Corinne assis à table, rigolant. Le son nétait pas très bon mais jai vite reconnu la chanson « joyeux anniversaire » au moment où Marc entrait dans le champ un gâteau surmonté de bougies dans les mains. Il le pose sur la table. Corinne souffle les bougies. Tous applaudissent. On trinque au champagne, on blague sur son âge, on rigole sur ses seins qui vont bientôt tomber et sur le fait quil faut profiter de la vie tant quon est encore jeune. Très bien me dis-je, rien de bien intéressant là-dedans. Je me lève pour aller chercher des étiquettes pour libeller la cassette « anniversaire Corinne ». Je ne les trouve quaprès avoir ouvert tous les tiroirs du bureau et alors que je reviens vers le salon, jentends à la télé la voix de mon Amour :
- Alors tu me les montres pour que je constate sils tombent maintenant ? Je suis comme St- Thomas, je ne crois que ce que je vois ! Et Sylvain qui enchaîne :
- moi, je ne les ai pas vus avant donc mon avis sera impartial ! Puis Marc qui ajoute :
- aller, on est en famille là, ce sont des potes et puis faut que jvous dise que madame na pas froid aux yeux dhabitude. Et là Corinne qui le coupe :
- arrête, tais-toi, pas maintenant. (Je savais ce quil voulait dire : ils étaient déjà allés dans des clubs échangistes, A. men avait parlé parce quil espérait me convaincre de faire de même)
- si tu veux que je me taise, alors laisse-moi faire.
Sylvain :
- attend, jenlève la caméra du trépied, ça, ça mérite un réalisateur compétent ! Parmi les rires jentends Corinne glousser.
Je mapproche à nouveau de la télé pour voir les images. On voit Corinne debout vêtue sa robe dété en voile léger, de ce genre qui se boutonne par devant sur toute la hauteur. Marc est derrière elle, lenserrant de ses bras, ses mains saffairant sur les boutons. Petit à petit il dévoile le décolleté de sa femme. Elle rigole, cache ses beaux seins enserrés dans un soutien-gorge en dentelle dévorée, on devine ses tétons dressés à travers le tissus. Marc la déshabille jusquà la taille et écarte les mains de sa femme. À mon Amour, que jappellerai A. il dit :
- viens un peu maider par ici.
A. sapproche de Corinne. Il ne rigole plus, il est très sérieux. Je ne vois que le haut de son corps mais rien quà ses yeux je sais quil bande déjà. Il caresse les seins à travers le tissus, les soupèse, les pelote. Il pose ses mains sur chacun des seins doigts vers les côtés, titillant les tétons de ses pouces. Corinne lâche un « oh ! » mi- gênée, mi- excitée. Puis il passe ses bras autour delle pour dégrafer le soutien-gorge. Avec son index il baisse le bonnet, découvrant le sein gauche, il en titille le téton avant de lembrasser délicatement. Sylvain zoome. Corinne halète, le souffle court, ses yeux brillent de désir. Sa poitrine ferme et lourde aux larges aréoles oscille au rythme de sa respiration. La langue d A. roule frénétiquement sur le téton. Corinne ne se débat plus ; elle na plus rien à cacher. Marc a donc les mains libres et il a, semble-t-il, perdu toute patience. Il glisse sa main droite par-dessus lépaule de sa femme et lui pelote fermement le sein droit. Le soutien-gorge finit de glisser le long de ses bras et se retrouve au sol. On voit que Marc est en terrain connu. Corinne pousse un gémissement. Toujours placé derrière elle, il glisse sa main gauche entre ses cuisses la contournant par le côté, relevant la robe et découvrant par là-même ses jambes, ses cuisses, et son entrejambe quil fouraille avec ses doigts sous le string. A. sagenouille alors devant elle et déboutonne le reste de la robe qui rejoint le soutien-gorge abandonné sur le sol.
A. glisse délicatement le string le long des jambes de Corinne qui se retrouve entièrement nue. On entend Sylvain commenter quelle est superbe et quil « bande déjà à mort ». A. déplace la main de Marc plus haut sur le pubis de Corinne afin quil nait plus que le bout de son majeur sur le clitoris. Il lui écarte un peu les cuisses et y glisse la tête. On devine quil la lèche, la prend à pleine bouche, lui enfonce le bout de la langue puis il lui insère aussi un doigt puis deux puis trois dans la vulve et commence à la limer à un bon rythme. Elle crie de plaisir « oh ! ouiiiïï ! ».
Devant ce spectacle, je sens le creux de mon ventre se crisper de désir, ma vulve devient humide, se dilate, bientôt le fond de mon shorty sera complètement trempé. Ma main droite, sy glisse sans que jy pense vraiment, cest de lordre du réflexe, je me caresse de haut en bas. Instinctivement mes hanches se cambrent, mon pelvis oscille par petits coups davant en arrière, ma main descend sur mon pubis, mes doigts frôlent le clitoris. Une bouffée de chaleur me monte dans le ventre et la poitrine, la pointe de mes seins se durcit, mon soutien-gorge devenu soudain trop serré. Avec la main quil me reste, les extirpe de leur carcan, ils se dressent fièrement soutenus par en-dessous par les bonnets froissés. Je fais rouler mes tétons, qui ne pourraient pas pointer plus, entre mon pouce et mon majeur. Je presse un peu plus fort pour une douleur exquise. Ma main droite frotte mon clitoris avide de sensations. Ma chatte est tellement glissante que dun petit coup de bassin vers lavant les trois plus grands de mes doigts atteignent ma fente. Je les y engouffre sans hésitation, dedans, dehors, dedans plus profond dehors, dedans je presse sur le renflement que fait mon point G déjà gonflé : « Oh ! oui, cest bon ! encore ! encore ! » je me dis-je dans ma tête.
Mes yeux qui sétaient instinctivement fermés pour mieux apprécier mon orgasme solitaire souvrent grands quand jentends que les gémissements de Corinne se font plus rauques, elle jouit, je veux me repaître de ses yeux, de son visage tordu par lorgasme. Mais non, elle ne jouit pas, je me suis trompée, je ne comprends pas jusquà ce que
ce qui a provoqué le râle nest autre que le majeur que Marc lui enfile dans lanus. Il abandonne son clito et déboutonne son pantalon. Il tire ensuite sur son boxer doù émerge une bite magnifique : turgescente, pointée comme un obus, longue et large, avec une grosse veine bleu gonflée dun bout à lautre de la tige. Une pensée me traverse lesprit : « whaah, il est monté comme un black ». Jen salive, ma langue gourmande me picote, il faut que je vous lavoue : jadore sucer. Il entreprend de la sodomiser mais la position nest pas adéquate. Il lui fait basculer le bassin en arrière. A. nen prend pas ombrage, prévoyant il lui a lubrifié la rondelle avec sa langue, il nen a pas fini de lui lécher et lui doigter la chatte. Cest alors que Corinne lâche un « huummm » rauque et Sylvain zoome sur le membre de Marc qui disparaît entièrement dans son trou, il lui enfonce jusquà la garde. Il lempoigne par une fesse pour faire onduler son cul en un doux va-et-vient. Il geint de plaisir à chaque coup de queue, elle aussi. A. met du cur à louvrage avec ses doigts et sa langue sur son clito et dans sa chatte. Sa bouche ruissèle de cyprine. La caméra bouge alors dans tous les sens et quand elle redevient stable, Sylvain film sa bite quil vient de sortir de son pantalon. Il sastique de sa main libre. Il recadre sur la scène principale.
Nen pouvant plus je mets sur pause et cours chercher Buddy. Cest ainsi que jai baptisé notre vibromasseur. A. me la offert pas tant pour que je me soulage en solitaire que pour me fourrer la chatte pendant quil mencule pour une double pénétration « maison ». En effet, jai à maintes reprises refusé quon le fasse avec un autre homme
Buddy est large, très large et grand, très grand. Cest A. qui la choisi. Il est un noir, hyperréaliste avec de grosses veines saillantes qui courent le long de la verge ; il est terminé par une paire de couilles qui permettent, posé sur un plan droit, de le faire tenir tout seul. Il est un peu plus gros que la bite de A. - pourtant de taille respectable et là tout de suite il mévoque la magnifique queue de Marc. Dans la précipitation, je ne trouve pas le lubrifiant, tant pis ! Je suis tellement excitée que ma chatte y pourvoira ! Mes seins débordent toujours de mon balconnet mué en redresse-seins sous le débardeur débraillé. Sur le chemin du salon, mon débardeur qui oscille au rythme de mes pas frotte agréablement sur mes tétons. Je magenouille sur le tapis, Buddy dressé à mes côtés, et me caresse longuement les seins puis jappuie sur « play » et les gémissements de Corinne résonnent à nouveau dans la pièce :
- prenez-moi tous les deux, je vous veux tous les deux, dit-elle. Elle fixe avidement A. qui se relève, approche une chaise et sy assoit les fesses au ras du bord, les couilles en apesanteur. Il branle calmement son membre turgescent en matant Corinne laquelle ne perd pas de temps et sempale directement la chatte dessus « haaaah ! ». La bite de Marc sétant échappée de son cul dans le mouvement, elle prend soin - afin de libérer pleinement laccès à son trou - de se pencher, sa poitrine lourde balançant vers lavant, ses larges aréoles aux tétons tendus caressant au passage le torse de A. Elle étouffe un hurlement quand la bite de Marc la défonce à nouveau dun violent coup de rein. Elle se retrouve prise en sandwich, pénétrée simultanément par deux orifices, vagin et anus comblés. Elle narrête pas de gémir et ses amants font de même. Je me rends compte que je la jalouse, être prise par deux hommes me fait envie. A. me le demande depuis longtemps. Je me promets de ne pas refuser la prochaine fois.
Buddy me nargue juste devant moi. Toujours agenouillée sur le sol, je lempoigne, écarte un peu plus mes jambes et le déplace jusquà ce quil soit idéalement placé juste entre mes cuisses son gros gland au ras de ma vulve trempée. Je maffaisse doucement sur le gland de silicone, je le sens glisser entre mes petites lèvres écarlates. Je descends doucement, il force maintenant lentrée de ma vulve. Encore un peu plus bas et je le sens butter contre mon trou trop étroit, il presse contre lentrée de mon vagin quil tente de dilater, douce douleur. Le large diamètre de Buddy et labsence de lubrifiant naident pas. Je presse plus fort mais jai mal. Jondule du bassin et le frotte sur ma vulve pour le lubrifier mais malgré lexcitation lentrée de ma chatte reste trop serrée. Je me relève un peu, écarte ma vulve avec deux doigts et, de lautre main, jenfile de force le gland dans mon trou. Je mappuie de nouveau sur lui et imprime un doux mouvement de piston du haut vers le bas. Lengin glisse à lintérieur senfonçant de quelques centimètres supplémentaires avec chaque aller-retour. Mon vagin se dilate progressivement autour du tronc de silicone, quelques centimètres de plus, oui ! Il senfonce inexorablement, ses aspérités raclant délicieusement les parois mon vagin. Il vient bien vite appuyer sur mon point G marrachant un râle de plaisir au passage. Ma chatte finit par faire la preuve de son élasticité et je me lenfonce au plus profond. Jentame une danse du bassin pour quil me baise en rythme, en haut, en bas, en haut, en bas, ouuïï ! le plus profond que possible ! Ma mouille génère de petits bruits de succion « tchuc, tchuc, tchuc » sur le silicone à chaque mouvement. De petits cris de jouissance méchappent à chaque fois que la tête de Buddy butte sur mon point G. Jimprime un mouvement plus rapide sur la bête plus que lubrifiée maintenant, je me cambre de plaisir, je roule un doigt frénétiquement sur mon clitoris, je sens seins durcir, la chaleur de lorgasme monte en moi, je ferme les yeux, et mimagine à la place de Corinne me faisant défoncer la chatte et le cul en même temps et enfin mes cris dextase se joignent à ceux de la télé. Je jouis profondément, longuement, mon corps brûle dune jouissance absolue. Je suis en sueur, elle perle sur mon front, sur mes reins, entre mes cuisses et mes seins. Je garde le gode en moi encore un moment et ouvre les yeux sur lécran au moment où Marc éjecte sa queue du cul de sa femme pour la placer droit devant sa bouche. Deux mouvements de branlette suffisent pour quil gicle dans la bouche ouverte et, agrippant la tête de sa femme fermement des deux mains, se finit en gorge profonde. A. crie alors « jvais venir, jvais venir » Marc libère promptement Corinne qui se relève, la bite ruisselante de A. toute droite dressée en lair sort de sa chatte. Bouche la première elle se jette dessus mais trop tard : A. lui éjacule en plein visage tout son sperme en longs jets puissants. Surprise, elle tente dattr sa robe au sol pour sessuyer mais Marc lui assène sèchement « non, reste comme ça, tu toccupes de Sylvain maintenant ». Elle se tourne vers Sylvain qui tend la caméra à A. Sylvain commence par lui caresser doucement le visage, y étalant un peu plus les coulées de sperme. Il lui en badigeonne les lèvres avec le pouce avant de le forcer dans sa bouche. Elle comprend le message et sagenouille alors docilement devant ta tige bombée de Sylvain. Marc lencourage « elle est moins grosse que la mienne, ça va être facile, montre-lui comme tu es douée pour sucer ». Elle empoigne doucement la bite la branle et place délicatement le gland sur le bout de la langue qui sactive alors autour. Elle défie Sylvain dun air de défiance qui veut dire « là, je fais de toi ce que je veux ». Elle va vite comprendre quelle a été présomptueuse. Entre elle et Sylvain, Marc privilégie lamitié avec son pote de toujours, il échange un regard entendu avec Sylvain puis se glisse derrière elle, lui prend les deux mains et les maintient fermement derrière son dos. Elle esquisse un « non » mais à peine sa bouche sest-elle entrouverte que Sylvain agrippant des deux mains ses cheveux à larrière de sa tête lui impose le silence en lui baisant la bouche violement et profondément comme il le ferait dans sa chatte, ponctuant chaque coup de bassin dun gémissement : « han ! » puis il ajoute « avale-moi, beauté ». « Shlosh, Shlosh, Shlosh» les bruits de succion humides accompagnent en rythme les coups de bite dans sa bouche. On voit le gland déformer lune ou lautre de ses joues quand il natteint pas directement son but : le fond de la gorge. Des larmes perlent dans les yeux de Corinne, lune séchappe balafrant de sa joue gauche dune coulée de Rimmel. Elle est près d, à chaque fois que le gland atteint la glotte, elle réprime un haut-le-cur. Elle implore A. des yeux mais lui, sourire aux lèvres, appréciant visiblement la scène ne fait que zoomer plus avant sur son visage déformé. Elle comprend quelle nobtiendra aucune aide, son regard se perd dans le vide alors que « han, han, han, han ! » les cris de Sylvain saccélèrent tout comme la cadence quil lui impose. La queue de Sylvain libère enfin sa bouche pour mieux lui souiller le visage de son sperme abondant, un second jet ira mourir en une grosse coulée baveuse sur ses beaux seins quant à la dernière giclée il lui imposera de lavaler. Il reprend alors sa bite en main et, tel un pinceau, étale les coulées de semence sur ses joues et ses lèvres. Il la regarde maintenant lair de dire « alors, lequel a fait de lautre ce quil a voulu ? ». Au même moment moi qui, excitée par ce que je voyais à lécran, avais recommencé à jouer nonchalamment du piston sur Buddy, jatteins un nouvel orgasme. Gros plan sur le visage de Corinne brillant de sperme : on voit quelle est marquée par la violence de cette dernière baise mais elle est sereine, le rouge lui est monté aux joues et, même si elle halète encore pour reprendre son souffle, le sourire sur ses lèvres au bord desquelles sattarde un grumeau blanc, en dit long sur le plaisir quelle a pris. « Joyeux anniversaire ! » lui chantent-ils en cur.
Derrière moi, quelquun applaudit. Mon Amour est rentré sans crier gare et je nai aucun doute sur le fait quil ait assisté à une bonne partie de la scène en voyant son sexe dressé hors de son pantalon. Jai gardé le gode en moi, la cyprine qui séchappe de ma chatte ruisselle le long de sa tige jusque sur le tapis. Placé comme il est derrière moi il doit avoir une vue superbe simultanément sur le gode disparaissant dans ma vulve et mon petit trou anal. Je le regarde penaude.
- Ne bouge pas ! Attend-moi là. Il part vers les étagères et sempare de lappareil photo. Il revient et me mitraille de loin en plan large dabord puis de tout près en plan serré sur mon cul. Il écarte une fesse dune main pour avoir un meilleur angle sur ma chatte pleine. Il prend sa queue dune main et sans même la lubrifier force lentrée de mon cul où il éjacule instantanément (oui, cela devait faire un bon moment se branlait en mobservant) tout cela en gardant le doigt appuyé sur le déclencheur de lappareil photo en mode rafale. Jai mal, je crois bien quil ma déchiré lanus, mon cul est en feu. Je nose pas me plaindre, il est mon Amour, je me suis donnée à lui, il a tous les droits. Je le regarde, il est satisfait, la douleur na plus dimportance.
- On avait dit quoi au sujet du Buddy ? Qui ta autorisée à te baiser avec ? dit-il sur un ton froid mais avec le regard amusé. Maintenant ma petite salope chérie, tu vas devoir tamender. Tes mignonne de me donner des raisons de te punir, jadore ça. Tes vraiment tout ce que jaime.
- Je, enfin, je, je suis désolée
Je, la cassette
javais pas pensé
bafouillais-je.
Il sinstalla sur le canapé et mordonna de rester comme jétais cest-à-dire à moitié nue (je navais plus que mon soutien-gorge avec les seins sortis par-dessus) empalée sur le gode. Il dégrafa son pantalon, sorti sa bite de son caleçon et dit : « Viens-là, garde Buddy dans ton trou ma jolie ptite salope quaime la baise, et branle-moi ! ». Je mexécutais avec application, bougeant bien le poignet comme il me lavait appris et le résultat ne fut pas long à se faire sentir. Sa queue redevint bien dure, le gland rutilant et gonflé. « Suce-moi.» me dit-il en caressant mes cheveux et me jetant un regard amoureux. Sucer me plaisait et mexcitait toujours, il le savait. Je le décalottais entre mes lèvres ma langue lui caressant frénétiquement le pourtour du gland. Il me gratifia de petites fuites de jus. Toujours accroupie sur Buddy, je mouillais à mort et jessayais, en ondulant mes hanches de me donner du plaisir avec, mais il métait difficile de me le fourrer sans laide de mes mains occupées lune à le branler, lautre à lui caresser les couilles et le scrotum. Sapercevant de mes efforts pour tirer du plaisir avec Buddy, il me dit « je tai demandé de le laisser là pour te punir, pas pour que tu te baises avec ! ». Il me fit signe de me relever et, dun coup sec, le tira hors de ma chatte. Ma cyprine coulait à lintérieur de mes cuisses. Il la racla avec un doigt et me le fourra dans la bouche. Sa queue était encore dure et je finissais ma besogne jusquà sa jouissance comme la petite salope soumise et appliquée que jétais.
Il me remplit la bouche de sperme à plusieurs reprises ce soir-là : je dû le sucer pendant quil buvait sa bière puis pendant quil mangeait sa pizza, aussi pendant quil matait le foot et encore quand il téléphona à Marc et Sylvain pour leur raconter ce qui venait de se passer en sextasiant sur la ferveur de la rédemption de sa ptite salope sur sa bite et jaugeant de la quantité de cyprine qui me coulait entre les cuisses
mais jamais ne dénia-t-il me baiser autre chose que la bouche, ce fut ma punition la plus sévère. Je mendormais cette nuit-là le ventre gonflé de désir inassouvi, un fort goût du sperme au fond de la gorge et me réveillais au matin la mâchoire courbaturée de lavoir tant pompé. Il finissait de shabiller dans la salle de bain. Je lentourais de mes bras, lui donnais un baiser sur la bouche et lui susurrais à loreille « cest quand tu veux pour un plan à trois ».
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!