Première Fois En Tunisie (2)
A mon réveil, mon bellâtre nétais déjà plus là. Je trouvais ça bien étonnant vu lheure quil était, à peine 07H00 du matin. Encore endormi et légèrement perdu dans mes pensées de ce que javais fait la veille, bon ok javais pris du plaisir, même un plaisir certain, dailleurs les draps sen souviennent (humour quand tu nous tiens), néanmoins, je ressentais comme une sorte de culpabilité malsaine. Les affres dune éducation chrétienne jimagine.
Bref, une bonne douche me fera sans doute du bien. Nu comme un ver, je me dirige donc vers la salle de bain qui jouxte la chambre et me place sous la douche. 30 minutes plus tard, je suis nettoyé, habillé et me dirige vers la salle commune pour prendre le petit déjeuner. Je jette un bref coup dil, à la recherche de mon entrepreneur entreprenant, bizarre, je ne le vois nulle part. Bon, il doit être sorti. Je commence à me dire quil cherche à méviter.
Je me sers de quoi me restaurer, café, pain, un verre de jus d'orange et surtout un cendrier... Ce qui est bien dans ce genre de pays, cest quon peut encore fumer à lintérieur. Confortablement installé, je commence à allumer ma cigarette quand juste derrière moi je suis interrompu :
- Tu sais, ça nest pas bien de fumer, surtout pour quelquun de si jeune que toi...
- Ca donne de la contenance et tu sais, je ne fume que par plaisir. Ten veux une ?
- Non merci, niveau plaisir je préfère lactivité physique, me dit-il en me faisant un clin dil. Son aplomb me surprend. Habituellement JE suis le petit con aux répliques acerbes et dans un pays si conservateur, je ne m'attendais pas à être aussi quémandé. Je rougis un instant puis lui rétorque :
- Bon alors, bien dormi ?
- Non pas assez, la personne avec qui jai partagé ma chambre men a empêché!
- Ah oui ? dis-je dune manière faussement étonné, et bien figure toi que moi non plus! Mon voisin de chambrée narrêtait pas de bouger, au point de se retrouver parfois sur moi!
Il sourit.
- Brian, quest ce que tu fous là ?! Ca fait bien 1/2 heure que jessaye de te joindre sur ton portable, bordel ! Je suis passé à ta chambre, tu ny étais pas et en plus je ne te raconte pas l'odeur épouvantable de sueur que j'ai trouvé en entrant, taurais pu mettre en marche le climatiseur, ça t'aurai empêché de transpirer comme un buf sous cette chaleur d'au moins 50 degrés !
Je commence à me confondre en excuses quand soudain Mehdi linterpelle.
- Désolé Monsieur Adrien, cest ma faute, jai demandé à Brian de maider pour mon projet, du coup on a du sortir de bonne heure et pour la chambre, je ne supporte pas lair conditionné mais je ferai en sorte de corriger tout ça rapidement. Encore toutes mes excuses...
- Bon, laissez tombe les gars mais dépêchez vous de déjeuner, nous sommes déjà à la bourre, nous devons être au centre ville pour 09H00, soit dans moins d'une heure ! Mehdi, est ce que ça te dérange daccompagner Brian pour sa première fois en taxi, je dois terminer les derniers préparatifs pour la session de ce matin ?
- Non non, je serai bien content de laccompagner pour toutes ses premières fois ! Dit il avec un sourire pervers.
- Bon, voilà qui est réglé, à tout à l'heure au bas de la grande horloge !
- Ouf! J'ai bien cru qu'on allait se faire griller, merci d'avoir trouvé une excuse bidon, faudrait pas trop qu'on se fasse remarquer aujourd'hui, et même après, surtout qu'on est amené à se voir pendant un bon mois ! Et puis, imagine si les autres entrepreneurs étaient au courant.
- Il a dit dans une heure c'est ça ?
- Quoi ? Qui ? As tu au moins écouté ce que je viens de dire ?
- Oui je sais! Mais il nous reste bien une heure ?
- Oui et alors ?
- Et bien, pour se rendre en ville, il nous faut juste 10 minutes, ce qui nous laisse grosso modo un bon 3/4 d'heure pour s'amuser un petit peu, si tu vois ce que je veux dire.
Je reste bouche bée devant sa demande mais bien sur que oui, je vois où il veut en venir. En moins de temps qu'il ne faut pour le dire, nous nous retrouvons donc dans la chambre - où l'odeur d'animal en rut y règne effectivement - et à peine ai je le temps de refermer le loquet de la porte que Mehdi me roule un patin passionné. Il est totalement hors de contrôle et j'aime ça. La position est inconfortable. Il me plaque violemment contre la porte et me baise littéralement au travers de nos pantalons. Je sens son sexe gonfler contre le mien au rythme effréné de son bassin. Bien vite, mon bas ventre brule de désir et je n'en peux plus. Il commence à m'insulter. Il parle en arabe, je ne comprends pas un mot mais cette autorité m'excite au plus haut point. Grand dieu, me dis je intérieurement, je vais me brûler les ailles dans cette histoire. Mais à cet instant, c'est Mehdi qui brûle d'envie dans mes bras. Il me regarde d'un air lubrique, m'arrache, que dis-je, me déchire la chemise. Je fais de même et profite pour baisser le reste de ses vêtements. Sa bite déforme complètement son slip. Ceux qui disent que les slips sont pour les vieux, je peux vous dire que vous n'avez pas vu un Mehdi en porter.
Il abaisse ma tête. Je comprends vite ce qu'il veut. Je me place à genoux et retire donc le dernier bout de tissu qui me sépare de mon objet sexuel à moi. En pleine lumière, je vois encore mieux la beauté de ce sexe puissant, viril à souhait. 25 cm de chairs, veiné comme pas possible, avec un gland énorme, complètement circoncis. Je crache dessus, lui lèche la hampe et englouti comme un affamé ce phallus de tous mes désirs.
- ooohhh oui c'est trop bon, tu suces bien ma petite salope, t'aimes ça la bite hein ? Dis moi que t'aimes ma grosse bite d'arabe.
- oui j'a....d...ore, lui répondis-je entre deux succions.
N'en pouvant plus, il me relève, nous avons peu de temps devons nous. Il me déshabille entièrement, me soulève et me déplace violemment sur une table et sur le dos. Il me relève les jambes en les plaçant sur ses épaules. Il introduit directement deux doigts dans mon cul, qui rentrent sans difficultés. Il faut croire que je suis désormais bien dilaté et je suis tellement excité que je mouille presque de l'anus.
Sans crier gare, il m'enfonce ses 25cm dans le cul. Ouch ça fait mal mais il en a cure. Il commence à me besogner comme la pute que je suis à cet instant. La commode tremble sous les assauts de mon bellâtre. C'est quasiment un tremblement de terre que subit maintenant la chambre.
Il me défonce, je n'en peux plus, et j'en veux encore plus :
- Plus vite, plus fort, vas y baise moi bien profondément, oh oui c'est trop bon !!!
Il me branle en même temps. Je me contorsionne davantage pour l'embrasser. Nos lèvres se touchent mais l'effort physique demandé les sépare bien vite. Nous manquons d'air mais nous sentons mutuellement nos souffles chauds.
Nos cris de plaisir inondent maintenant la pièce. Je ferme les yeux et mabandonne à la volupté. Je ne suis plus quun cul qui reçoit un plaisir immense et qui s'élargit de plus en plus, à ce quil me semble, au point dêtre énorme. En même temps, je sais quil ne sagit que dune impression et quil sera de plus en plus ouvert à se faire dorloter par la bite experte de Mehdi. Brusquement, je sens le plaisir monter de mes reins et se propager vers ma queue
Jessaie de me retenir pour faire durer ce merveilleux instant mais mes sens me trahissent et je me sens jouir dans cette merveilleuse enculade en même temps quun spasme violent me traverse, mélectrisant les nerfs de tout le corps, suivi dautres décharges de plaisir moins violentes mais qui semblent ne plus vouloir finir.
Il se retire de moi, me soulève encore les jambes et me fait un anulingus pour terminer cette partie de jambe en l'air de folie. Il lèche son propre sperme pour me nettoyer le cul. Je me relève, et viens l'embrasser en partageant sa semence.
- Woaw, c'était intense et teeeellllement bon!
- J'en peux plus, tu m'as vidé...
- ...et toi tu m'as remplis.
Nous éclatons de rires.
Merde, il est 8H40 déjà, une douche rapide, on s'habille, on s'empresse pour prendre le premier taxi, direction le centre ville. Définitivement, une drôle histoire commence.
(A SUIVRE).
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